c'était déjà comme ça il y a trente ans.avrilou a écrit : En gros ça veut dire qu'aujourd'hui on n'a plus le choix, on doit forcément opter pourla bonne filière.
T'as fait psycho, fallait faire boucherie!"
faut être un peu intelligent dans la vie.d'ailleurs,c'est ce que l'on demande à un master en théorie.Les titulaires de masters ou autres jeunes diplômés qui ont bossé comme des malades, donner leur temps et toute leur énergie positives pour acquérir un bagage bien complet, sont forcément découragés ensuite par le peu de perspectives annoncées ...
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ya certains master qui ne sont pas plus utiles à l'étranger qu'en france.pas mal de diplômés se barrent à l'étranger, normal on n'a pas besoin d'eux en France...
ils sont payés selon la loi....et au SMIC.d'ailleurs,un employé CAPne vaut pas plus que le smic.s'ils avaient un BTS,ils gagneraient plus,et seraient chef d'équipe.Ceux qui trouvent une place dans la société et de fixent en France c'est souvent par réseaux, par connaissances.
Quant aux jeunes titulaires d'un CAP ou en apprentissage, dans certaines filières, ils sont complètement exploités par leurs employeurs. Une bonne insertion dans le monde du travail, OK, mais à quel prix!
quelle révolte?Bref, de quoi avoir les boules...néanmoins je pense que bien que légitimes, ces révoltes resteront dispersées, déclencheur ou mouvement porteur, il n'y aura pas de révolution en profondeur.
Tout le monde revendique en ce moment mais chacun pour sa cause...
ya des jeunes qui trouvent du boulot,et d'autres non avec les même diplômes.
ceux qui sont ouvert en trouvent;les autres restent chez papa maman.
aujourd’hui,il faut être mobile.
récemment,un jeune m'a dit : on vient de me chasser pour bosser chez BMW.je commence à 4000 euros net par mois.en france,pour le même job,on me proposait 2300 euros.
il a finit par : "les gars,vous êtes pas prêt de me revoir en france"
il est parti hein,il ne s'est pas fait prier.et il a eu raison.




