Homicide dans la mosquée de la Grand-Combe : les faits filmés par le suspect, la piste islamophobe envisagée

[Victor]

La procureure sait ce qu'est l'islamophobie et ne se priverait nullement de ce mot si elle en était persuadée. Elle n'en est pas persuadée c'est tout. Peut-être changera-t-elle d'avis dans quelque temps.

Vous lui faites dire et penser beaucoup de choses à cette procureure et je ne partage pas du tout votre opinion. Je pense surtout que l'extrême-droite interprète opportunément à sa sauce des non-dits.

De toute façon, il n'y a pas vraiment matière à débat selon moi puisque les articles de presse ont clairement mentionné que "dans la vidéo qu'il avait lui-même réalisée juste après son meurtre, le suspect a insulté la religion de sa victime."

Oui mais cela ne signifie pas qu'il voulait s'attaquer spécifiquement à l'Islam.
C'est peut-être un athée antireligion qui avait prévu de s'attaquer aux fidèles de toutes les religions.
A priori il avait prévu de commettre de nombreux crimes, il voulait devenir un tueur en série.
C'est l'instruction qui permettra de déterminer s'il visait spécifiquement les musulmans.

[da capo]

Ben voilà, tout ce tapage depuis 10 jours à propos d'une islamophobie qui n' était vraisemblablement pas le principal mobile de ce tueur aux motivations confuses.

Et même si cela avait été le cas, c'est un mot accusatoire, victimaire et piégé, employé à tort et à travers pour la plus grande joie de ses inspirateurs islamistes et de ceux qui voudraient le faire entrer par effraction dans la langue du Droit.

L'islamophobie n'est pas un délit et chacun peut exprimer son hostilité ou sa crainte à l'encontre de toute religion sans exception.
Prétendre qu'elle insulterait ses pratiquants, c'est se soumettre à une injonction qui ne concerne qu'eux.

[Fonck1]

Vous lui faites dire et penser beaucoup de choses à cette procureure et je ne partage pas du tout votre opinion. Je pense surtout que l'extrême-droite interprète opportunément à sa sauce des non-dits.

De toute façon, il n'y a pas vraiment matière à débat selon moi puisque les articles de presse ont clairement mentionné que "dans la vidéo qu'il avait lui-même réalisée juste après son meurtre, le suspect a insulté la religion de sa victime."

Oui mais cela ne signifie pas qu'il voulait s'attaquer spécifiquement à l'Islam.
C'est peut-être un athée antireligion qui avait prévu de s'attaquer aux fidèles de toutes les religions.
A priori il avait prévu de commettre de nombreux crimes, il voulait devenir un tueur en série.
C'est l'instruction qui permettra de déterminer s'il visait spécifiquement les musulmans.

Beaucoup d’hypothèses farfelues la dedans .

[Fonck1]

Ben voilà, tout ce tapage depuis 10 jours à propos d'une islamophobie qui n' était vraisemblablement pas le principal mobile de ce tueur aux motivations confuses.

Et même si cela avait été le cas, c'est un mot accusatoire, victimaire et piégé, employé à tort et à travers pour la plus grande joie de ses inspirateurs islamistes et de ceux qui voudraient le faire entrer par effraction dans la langue du Droit.

L'islamophobie n'est pas un délit et chacun peut exprimer son hostilité ou sa crainte à l'encontre de toute religion sans exception.
Prétendre qu'elle insulterait ses pratiquants, c'est se soumettre à une injonction qui ne concerne qu'eux.

Une information judiciaire a été ouverte pour meurtre avec préméditation et à raison de la race ou de la religion, a annoncé la procureure de Nîmes, Cécile Gensac, lundi après-midi.

Pas la peine de chercher à minimiser….

[Once]

Je ne sais pas si la chose a été révélée jusqu'à présent mais le Malien assassiné serait un clandestin sans papiers.

[da capo]

Une information judiciaire a été ouverte pour meurtre avec préméditation et à raison de la race ou de la religion, a annoncé la procureure de Nîmes, Cécile Gensac, lundi après-midi.

Pas la peine de chercher à minimiser….

Un crime est un crime et il n'y a rien à minimiser, mais simplement bien nommer les choses comme l'a fait la procureure de la république vendredi 2 mai :

''Selon Cécile Gensac, le meurtrier, âgé de 20 ans, a « agi dans un contexte isolé, sans revendication idéologique ou lien avec une organisation (…). Les ressorts pour agir de l’agresseur sont très vite apparus comme profondément personnels, l’envie de tuer quelqu’un, quelle que soit la cible », sur fond de « fascination morbide ». Il est passé à l’acte « dans un contexte isolé », guidé par une « envie obsessionnelle de tuer » qu’il avait largement partagée sur les réseaux sociaux.''

Si ça peut remettre les idées en place chez ceux qui ont poussé l'outrance et le clientélisme politique jusqu'à accuser la France d'islamophobie systémique'', c'est une bonne chose.