stirnersept9 a écrit : ↑20 juillet 2023 22:04
Patchouli38 a écrit : ↑20 juillet 2023 21:44
Malhonêtes ? Vous parlez du RN, là ?!
Alors commençons par le début :
"Quels sont les critères d’obtention d’un crédit bancaire ?
Les facteurs pris en compte par les établissements de crédit :
Vous avez besoin de réaliser un emprunt bancaire mais n’êtes pas certain de remplir les conditions exigées par les banques. E
n effet, pour donner leur accord de prêt, les établissements bancaires procèdent à une analyse du risque-client. Chaque établissement détermine ses propres conditions d’acceptation mais il est tout de même possible d’identifier les critères les plus récurrents.
1 - Des revenus fixes et réguliers : engloutis par les dettes RN
2 - Un taux d’endettement faible : inexistant au RN => parti le plus endetté de France
3 - Un reste à vivre suffisant : aucun au RN
4 - L’âge : non pris en compte vu que c'est un parti
5 - L’apport personnel : aucun au RN
6 - Une situation financière saine : inexistante au RN
On peut également ajouter que le FN/RN a été plusieurs fois condamnés, plombant encore plus le dossier de demande de crédit.
Le RN ne répondant à aucun de ces critères, il est normal que les banques lui ont claqué la porte au nez.
Bien joli de se vicitimiser, mais la réalité est là, bien présente. Pensez-vous qu'une banque accepterait de prêter de l'argent à un parti lourdement endetté, sans aucun reste à vivre, avec une situation financière malsaine ? Les banques ne prête pas à autrui si toutes les garanties ne sont pas fournies. C'est aussi simple à comprendre.
Alors le RN peut se plaindre, pleurnicher, mais il est seul responsable de sa situation.
Sur les 6 points, dans les premières parties c'est exact pour un prêt bancaire.
Le reste c'est de l'élucubration.
NON, le motif principal est que ce parti devait ne pas pouvoir se présenter.
Vous oubliez que si les banques pouvaient refuser en fonction des critères que vous énumérez
alors pourquoi G. Gantzer a fait pression sur les banques françaises puis européennes ?
Pourquoi Hollande et sa clique n'ont pas laissé les seules banques décider ?.
Pourquoi les socialistes hollandais sont-ils intervenus ?
Quoiqu'il en soit, le sujet est le financement . Refusé par des banques sous pression politique.
Le RN rembourse son prêt.
La banque de l'est a fait une excellente affaire.
On peut se demander si les banques françaises et européennes sont performantes.
Elles voulaient peut-être financer mais elles en ont été empêchées
politiquement.
Pas la peine de sortir un post pour tenter de contrer la vérité.
Jai cherché sur internet une trace de vos affirmations concernant G. Gantzer et je n'ai rien trouvé. Alors, donnez-moi une preuve de vos dires. Sinon, je les considérerai comme non avenus.
Par contre, j'ai découvert cet article :
"Pourquoi les banques refusent de prêter de l'argent au Front national
Contraint de se tourner vers l'étranger, le parti de Marine Le Pen s'estime victime d'une discrimination financière. Mais le problème dépasse le cas du FN."
Un FN toujours sulfureux et insolvable
Le FN est-il réellement boycotté par les banques françaises? Impossible de le vérifier tant le sujet du financement politique privé est sensible en France, le secret bancaire ne contribuant pas à libérer la parole. Restent quelques indices éloquents.
En 2014, déjà confronté à des problèmes de financement et cloué au pilori pour avoir contracté un prêt auprès d'une banque russe, le Front national avait diffusé les lettres de refus de plusieurs établissements hexagonaux. Si la plupart ne motivaient pas leur refus, le CIC avait ouvertement invoqué "la diversité des opinions des clients, sociétaires et administrateurs du groupe" pour se réfugier derrière un principe de neutralité politique.
Autrement dit, certains ne souhaiteraient pas devenir la banque d'un Front national jugé sulfureux et qui plus est insolvable. Car malgré les bons résultats électoraux de ces cinq dernières années, le parti d'extrême droite demeure lourdement endetté et n'est pas à l'abri de déconvenues judiciaires.
S'il semble certain de réunir ses 500 parrainages et les 5% de voix requises au premier tour pour prétendre au remboursement de ses dépenses de campagne, le Front national n'est pas pour autant le débiteur modèle qu'il affirme. En témoigne l'instruction en cours dans l'affaire dite du financement du Front national pour laquelle plusieurs de ses cadres, dont le parti en tant que personne morale, sont mis en examen. La justice soupçonne l'existence d'un système frauduleux, mis en place lors de plusieurs élections, entraînant des surfacturations au préjudice de l'Etat.
Une crise de confiance généralisée
Pas de quoi rassurer des banques déjà échaudées par l'affaire Bygmalion et l'invalidation des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy en 2012. Désormais, aucun candidat, aussi crédible soit-il, n'est à l'abri d'une sanction financière en cas de manquement avéré à ses obligations légales. Ce qui a manifestement conduit des établissements à couper le robinet du crédit aux partis politiques.
"Début 2014, on nous a informés de la décision stratégique de la Société générale de ne plus prêter aux formations politiques. C'est une retombée probable du rejet des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy", estimait en milieu d'année le trésorier du FN Wallerand de Saint-Just.
Depuis, d'autres (petits) partis politiques ont également invoqué une restriction du crédit bancaire, sans toutefois donner de chiffres. Pour contourner cet écueil, les candidats misent sur des campagnes de micro-dons, rendues possibles par les plateformes de campagne numériques. Jean-Luc Mélenchon affirme avoir déjà récolté un million d'euros de la sorte.
Le Front national juge toutefois qu'il revient à l'Etat de garantir le financement des partis politiques. Le parti d'extrême droite milite pour qu'une loi impose aux banques de proposer des prêts aux candidats. Il n'est pas le seul. Chantre de la transparence, le président du Modem François Bayrou préconise la création d'une "banque civique" pour financer les campagnes présidentielles, estimant "totalement anormal" que ce soit aux banques privées de décider qui peut accéder aux financements."
https://www.huffingtonpost.fr/politique ... 91605.html
Pas de connivences politiques au détriment du FN/RN, ses ennuis judiciaires ont terni sa réputation. Les banques ne veulent pas être associés à un parti insolvable, avec des affaires judiciaire sur les bras et déjà condamné, au risque de voir leur image de marque en prendre un coup.
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