Brexit: Le débat

[vincent]

le sujet est une analyse des couts pour le RU du brexit, avec ou sans accord , pas le cout pour l' UE .
Je n' ai pas a me rassurer , ce sont les anglais qui ne sont pas rassurés....et il y a de quoi .

J' attends depuis 2 ans que vous nous donniez la liste des entreprises qui s' implantent au RU , car parai il on n' en parlait pas......je pensais qu' avec votre fille , vous disposiez d' informations.......votre silence n 'est pas trés rassurant

Pour mémo , le Brexit n' avait que des avantages.......

Pour l'instant le Brexit n'est pas le gros problème du Royaume Uni et il y a Covid 19 qui empêche de tirer le moindre bilan valable.

c 'est votre opinion , non démontrée

Si ce n'est que le Royaume Uni étant un peu libéré des lourdeurs de l'U.E. pourra proposer beaucoup plus tôt que nous une offre vaccinale à ses citoyens.

Aucun rapport avec les sujet : la facture du Brexit

Un peu de patience avant de pouvoir tirer des conclusions pertinentes sur leur Brexit.

les présidents d université , les entreprises automobiles (japonnaises en particulier ) , les éleveurs de moutons ( entre autre ) , les entreprises bossant pour Airbus ne l' entendent pas comme vous .

Perso je suis beaucoup plus inquiet pour l'économie Française empêtrée dans le piège de l'U.E.

Rien a voir avec la facture du Brexit . Vous n' avez aucune inquiétude pour le RU , je crois que nombre d ' anglais en ont .

La peur, une porte de sortie pour le Brexit ?
Un Brexit sans accord, couplé aux effets de la pandémie, serait catastrophique pour le Royaume-Uni, soudain moins rétif à l’UE.

Olivier Berger | Publié le26/11/2020 Partager Twitter
Il reste moins de 40 jours avant le 31 décembre, date à laquelle le Royaume-Uni de Boris Johnson, qui a officiellement quitté l’UE le 31 janvier, cessera d’appliquer les normes européennes de manière transitoire.Il reste moins de 40 jours avant le 31 décembre, date à laquelle le Royaume-Uni de Boris Johnson, qui a officiellement quitté l’UE le 31 janvier, cessera d’appliquer les normes européennes de manière transitoire. - PHOTO AFP
À un mois de la fin de la période de transition, un accord de libre-échange post-Brexit entre l’UE et le Royaume-Uni reste en suspens. La conclusion interviendra-t-elle au sommet européen du 10 décembre ? Une fois les herses des règles de concurrence, de la gouvernance et de la pêche levées ?

Côté britannique, la prise de conscience des dégâts causés par une sortie sans accord, doublé de la crise du Covid-19, pourrait aider. On évoque la pire contraction du PIB depuis plus de trois cents ans (– 11,3 % en...

Pour lire la suite de cet article :

que pour celle du Royaume Uni libre de ses initiatives.

et combien ça rapporte d' être "libre de ses intitiatives ?

Il nous manque pour l'instant le recul nécessaire pour avoir une vision exacte de la situation et il ne sert à rien de pérorer.

je ne fais que citer des rapports écris par des anglais

Pérorer
Discourir d'une façon prolixe et prétentieuse

je ne vois pas en quoi un rapport d' analyse économique établi a partir de modéles économiques , de calculs peut être prétentieux .Mais vous allez sans doute nous l' expliquer

Je me permet de vous poser une question :

d' où vient votre optimisme sur les résultats du Brexit ?

quelles sont les informations qui vous ont permis d' établir votre analyse ?

d 'où viennent ces informations ? car je n ose croire que cela serait le fruit de vos propres analyses personnelles....vous seriez surprise en pleine activité de pérorage.....

[Peracetic]

Bonjour à vous tous
une autre étude à mettre en perspective avec celle citée par Vincent
« Un no deal aurait des conséquences variables sur l'économie française, selon les secteurs. 
Le commerce. La facture pourrait s'élever à 3,6 milliards d'euros de pertes d'exportations pour l'Hexagone, d'après une étude d'Euler Hermes d'octobre 2020. Pour l'ensemble de l'Union européenne, le coût se chiffrerait à 33 milliards d'euros. En cas de sortie du Royaume-Uni sans accord, les relations économiques entre Londres et Bruxelles basculeraient sous le régime de l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Concrètement, les deux parties appliqueraient des droits de douane supplémentaires. L'étude avance que l'industrie automobile serait l'un des secteurs les plus affectés par ce changement.

D'autres seraient tout particulièrement concernés, dont les exportateurs français de vins et de spiritueux. En 2019, une bouteille exportée sur huit avait pour destination le Royaume-Uni, deuxième plus gros client en valeur du secteur. Plus généralement, les 30 000 entreprises françaises qui exportent au Royaume-Uni - et a fortiori les 3 000 qui s'y sont installées - risquent de subir de lourdes pertes en cas de no deal.

L'agriculture et l'alimentaire. Le Royaume-Uni est, plus généralement, le troisième client du secteur agricole français. Ce dernier a dégagé, en 2018 et 2019, un excédent d’environ 3 milliards d’euros en moyenne vis-à-vis du pays. Un montant cependant en baisse depuis 2016, date à laquelle les Britanniques ont voté "oui" à un retrait de l'Union européenne. Sur les seuls produits laitiers, les droits de douane pourraient atteindre 41 % ! Impliquant donc une baisse potentiellement importante des échanges agricoles entre la France et le Royaume-Uni. D'après Euler Hermes, les pertes pour les secteurs de l'alimentation, des boissons, de l'alcool et des cigarettes seraient de l'ordre de 305 millions d'euros.

Le Brexit impacte également plusieurs lignes budgétaires du cadre financier pluriannuel, notamment la Politique agricole commune, dont l'Hexagone est le premier bénéficiaire. L'accord conclu le 21 juillet 2020 au Conseil européen prévoit que son budget passe de 388 à 336 milliards d'euros pour la période 2021-2027. 

La pêche. Autre secteur très inquiet d'un no deal : celui des marins-pêcheurs français. En cas de retrait brutal le 31 décembre, le Royaume-Uni sortirait immédiatement de la Politique commune de la Pêche (PCP). Et pourrait alors bloquer l'accès à ses eaux, les plus poissonneuses d'Europe. Celles-ci seraient dès lors uniquement régies par son droit, pour tous les pêcheurs européens. Or ces derniers y effectuent 30 % de leurs captures, voire 60 % à 90 % pour certains poissons.

Les régions qui seraient les plus touchées par un no deal sont sans conteste celles situées sur le littoral de la Manche : à savoir les Hauts-de-France, la Bretagne et la Normandie. Par leur situation géographique, elles sont intimement liées à la Grande-Bretagne dans leurs échanges.

Pour conclure sur les perspectives dramatiques sur la GB d’un Brexit tracées par certains,que ceux ci se préparent à voir arriver en France un afflux de migrants économiques anglais affamés et qu’ils devront accueillir au nom des droits de l’homme inscrit sur le fronton de l’UE !!!
Salut à tous

[Victor]

Après pour être complet il faut aussi mettre ce rapport a coté d'un autre qui calcule ce que gagne le RU en sortant de l'UE...

Et bien cela a été calculé dans le rapport indépendant = -4% de PIB. C'est à dire une récession.

[vincent]

Bonjour à vous tous
une autre étude à mettre en perspective avec celle citée par Vincent
« Un no deal aurait des conséquences variables sur l'économie française, selon les secteurs. 
Le commerce. La facture pourrait s'élever à 3,6 milliards d'euros de pertes d'exportations pour l'Hexagone, d'après une étude d'Euler Hermes d'octobre 2020. Pour l'ensemble de l'Union européenne, le coût se chiffrerait à 33 milliards d'euros. En cas de sortie du Royaume-Uni sans accord, les relations économiques entre Londres et Bruxelles basculeraient sous le régime de l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Concrètement, les deux parties appliqueraient des droits de douane supplémentaires. L'étude avance que l'industrie automobile serait l'un des secteurs les plus affectés par ce changement.

Tout est exact , ce sont des études sur l'impact économique du Brexit . Comme la France est le premier partenaire du RU , nous seront les plus impactés . Tout cela a sa place dans un sujet " Impact du Brexit sur les pays de l' UE " On l' a dit depuis le début , c' est du "perdant perdant"



La pêche. Autre secteur très inquiet d'un no deal : celui des marins-pêcheurs français. En cas de retrait brutal le 31 décembre, le Royaume-Uni sortirait immédiatement de la Politique commune de la Pêche (PCP). Et pourrait alors bloquer l'accès à ses eaux, les plus poissonneuses d'Europe.


Celles-ci seraient dès lors uniquement régies par son droit, pour tous les pêcheurs européens. Or ces derniers y effectuent 30 % de leurs captures, voire 60 % à 90 % pour certains poissons.

Les régions qui seraient les plus touchées par un no deal sont sans conteste celles situées sur le littoral de la Manche : à savoir les Hauts-de-France, la Bretagne et la Normandie. Par leur situation géographique, elles sont intimement liées à la Grande-Bretagne dans leurs échanges.

Exact , mais exact aussi que ( j' ai pas retrouvé les chiffres ) environ 70 % ( de mémoire ) des poissons pêchés par le RU sont traités dans les ports de l' UE

Pour conclure sur les perspectives dramatiques sur la GB d’un Brexit tracées par certains,que ceux ci se préparent à voir arriver en France un afflux de migrants économiques anglais affamés et qu’ils devront accueillir au nom des droits de l’homme inscrit sur le fronton de l’UE !!!
Salut à tous

ce ne sont pas les anglais " affamés" qui risquent de débarquer mais ....

Brexit : ces Anglais qui veulent devenir français
LE PARISIEN WEEK-END. Le Royaume-Uni devrait sortir de l’Union européenne le 31 octobre. Inquiets, certains de ses ressortissants ont demandé la nationalité française.
Jenny Webb, installée dans le Lot-et-Garonne depuis 2006, vient d’obtenir la nationalité française.

Par Véronique Bury
Le 18 octobre 2019 à 15h10
A première vue, rien ne laisse penser que Jenny Webb est anglaise. Sur la façade de sa maison, à Castillonnès (Lot-et-Garonne), petite bourgade de 1500 âmes à 25 km au sud de Bergerac (Dordogne), trônent deux drapeaux : celui de l'Union européenne (UE) et celui de la France. Le fanion tricolore est venu rejoindre la bannière étoilée après le référendum de juin 2016, au cours duquel le Royaume-Uni a voté pour une sortie de l'UE, qui devrait être effective le 31 octobre.

Brexit : le bilan 2017 des transferts des banques de la City ...news.efinancialcareers.com › fr-fr › brexit-la-liste-a-co...
4 janv. 2018 — Citigroup a demandé une licence en France pour ses activités de marché, selon ... D'ici mai 2019, une soixantaine de financiers de la banque ... Goldman Sachs qui va transférer un grand nombre de traders et de ... les collaborateurs pourraient être à Paris, aux Pays-Bas, à Madrid ou ailleurs dans l'UE ».

en France , Allemagne kif kif

Ruffin va faire la gueule
Lemaire va se frotter les mains

[bonobobo]

Bien curieux calculs, dans tous les cas il y a beaucoup trop d'argent qui disparait!

- Les médias ont annoncé qu le Brexit entrainerait un affaiblissement économique de l 'europe et que cela couterait plus cher à la france
- Ces mêmes médias et sujet de ce fil que le Brexit couterait une fortune au royaume-uni

Alors je n'ai qu'une question, il est passé tout ce fric perdu autant par l'europe que le RU ? On ne se foutrait pas encore de notre gueule ?
Les français ne savent pas compter et réduire le niveau de maths de l'EN est une excellente idée pour les rendre encore plus abrutis.

[gare au gorille]

Bonjour à vous tous
une autre étude à mettre en perspective avec celle citée par Vincent
« Un no deal aurait des conséquences variables sur l'économie française, selon les secteurs. 
Le commerce. La facture pourrait s'élever à 3,6 milliards d'euros de pertes d'exportations pour l'Hexagone, d'après une étude d'Euler Hermes d'octobre 2020. Pour l'ensemble de l'Union européenne, le coût se chiffrerait à 33 milliards d'euros. En cas de sortie du Royaume-Uni sans accord, les relations économiques entre Londres et Bruxelles basculeraient sous le régime de l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Concrètement, les deux parties appliqueraient des droits de douane supplémentaires. L'étude avance que l'industrie automobile serait l'un des secteurs les plus affectés par ce changement.

D'autres seraient tout particulièrement concernés, dont les exportateurs français de vins et de spiritueux. En 2019, une bouteille exportée sur huit avait pour destination le Royaume-Uni, deuxième plus gros client en valeur du secteur. Plus généralement, les 30 000 entreprises françaises qui exportent au Royaume-Uni - et a fortiori les 3 000 qui s'y sont installées - risquent de subir de lourdes pertes en cas de no deal.

L'agriculture et l'alimentaire. Le Royaume-Uni est, plus généralement, le troisième client du secteur agricole français. Ce dernier a dégagé, en 2018 et 2019, un excédent d’environ 3 milliards d’euros en moyenne vis-à-vis du pays. Un montant cependant en baisse depuis 2016, date à laquelle les Britanniques ont voté "oui" à un retrait de l'Union européenne. Sur les seuls produits laitiers, les droits de douane pourraient atteindre 41 % ! Impliquant donc une baisse potentiellement importante des échanges agricoles entre la France et le Royaume-Uni. D'après Euler Hermes, les pertes pour les secteurs de l'alimentation, des boissons, de l'alcool et des cigarettes seraient de l'ordre de 305 millions d'euros.

Le Brexit impacte également plusieurs lignes budgétaires du cadre financier pluriannuel, notamment la Politique agricole commune, dont l'Hexagone est le premier bénéficiaire. L'accord conclu le 21 juillet 2020 au Conseil européen prévoit que son budget passe de 388 à 336 milliards d'euros pour la période 2021-2027. 

La pêche. Autre secteur très inquiet d'un no deal : celui des marins-pêcheurs français. En cas de retrait brutal le 31 décembre, le Royaume-Uni sortirait immédiatement de la Politique commune de la Pêche (PCP). Et pourrait alors bloquer l'accès à ses eaux, les plus poissonneuses d'Europe. Celles-ci seraient dès lors uniquement régies par son droit, pour tous les pêcheurs européens. Or ces derniers y effectuent 30 % de leurs captures, voire 60 % à 90 % pour certains poissons.

Les régions qui seraient les plus touchées par un no deal sont sans conteste celles situées sur le littoral de la Manche : à savoir les Hauts-de-France, la Bretagne et la Normandie. Par leur situation géographique, elles sont intimement liées à la Grande-Bretagne dans leurs échanges.

Pour conclure sur les perspectives dramatiques sur la GB d’un Brexit tracées par certains,que ceux ci se préparent à voir arriver en France un afflux de migrants économiques anglais affamés et qu’ils devront accueillir au nom des droits de l’homme inscrit sur le fronton de l’UE !!!
Salut à tous

Merci de venir confirmer mon point de vue. C'est bien la France qui risque de morfler le plus par le fait de ce Brexit. Ce ne sont pas quelques traders qui font l'économie d'un pays.

[Fonck1]

Bonjour à vous tous
une autre étude à mettre en perspective avec celle citée par Vincent
« Un no deal aurait des conséquences variables sur l'économie française, selon les secteurs. 
Le commerce. La facture pourrait s'élever à 3,6 milliards d'euros de pertes d'exportations pour l'Hexagone, d'après une étude d'Euler Hermes d'octobre 2020. Pour l'ensemble de l'Union européenne, le coût se chiffrerait à 33 milliards d'euros. En cas de sortie du Royaume-Uni sans accord, les relations économiques entre Londres et Bruxelles basculeraient sous le régime de l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Concrètement, les deux parties appliqueraient des droits de douane supplémentaires. L'étude avance que l'industrie automobile serait l'un des secteurs les plus affectés par ce changement.

D'autres seraient tout particulièrement concernés, dont les exportateurs français de vins et de spiritueux. En 2019, une bouteille exportée sur huit avait pour destination le Royaume-Uni, deuxième plus gros client en valeur du secteur. Plus généralement, les 30 000 entreprises françaises qui exportent au Royaume-Uni - et a fortiori les 3 000 qui s'y sont installées - risquent de subir de lourdes pertes en cas de no deal.

L'agriculture et l'alimentaire. Le Royaume-Uni est, plus généralement, le troisième client du secteur agricole français. Ce dernier a dégagé, en 2018 et 2019, un excédent d’environ 3 milliards d’euros en moyenne vis-à-vis du pays. Un montant cependant en baisse depuis 2016, date à laquelle les Britanniques ont voté "oui" à un retrait de l'Union européenne. Sur les seuls produits laitiers, les droits de douane pourraient atteindre 41 % ! Impliquant donc une baisse potentiellement importante des échanges agricoles entre la France et le Royaume-Uni. D'après Euler Hermes, les pertes pour les secteurs de l'alimentation, des boissons, de l'alcool et des cigarettes seraient de l'ordre de 305 millions d'euros.

Le Brexit impacte également plusieurs lignes budgétaires du cadre financier pluriannuel, notamment la Politique agricole commune, dont l'Hexagone est le premier bénéficiaire. L'accord conclu le 21 juillet 2020 au Conseil européen prévoit que son budget passe de 388 à 336 milliards d'euros pour la période 2021-2027. 

La pêche. Autre secteur très inquiet d'un no deal : celui des marins-pêcheurs français. En cas de retrait brutal le 31 décembre, le Royaume-Uni sortirait immédiatement de la Politique commune de la Pêche (PCP). Et pourrait alors bloquer l'accès à ses eaux, les plus poissonneuses d'Europe. Celles-ci seraient dès lors uniquement régies par son droit, pour tous les pêcheurs européens. Or ces derniers y effectuent 30 % de leurs captures, voire 60 % à 90 % pour certains poissons.

Les régions qui seraient les plus touchées par un no deal sont sans conteste celles situées sur le littoral de la Manche : à savoir les Hauts-de-France, la Bretagne et la Normandie. Par leur situation géographique, elles sont intimement liées à la Grande-Bretagne dans leurs échanges.

Pour conclure sur les perspectives dramatiques sur la GB d’un Brexit tracées par certains,que ceux ci se préparent à voir arriver en France un afflux de migrants économiques anglais affamés et qu’ils devront accueillir au nom des droits de l’homme inscrit sur le fronton de l’UE !!!
Salut à tous

Merci de venir confirmer mon point de vue. C'est bien la France qui risque de morfler le plus par le fait de ce Brexit. Ce ne sont pas quelques traders qui font l'économie d'un pays.

ça c'est toi qui le dit, ça fait pourtant partie intégrante de la bourse donc de la richesse d'un pays.

[vincent]

Bien curieux calculs, dans tous les cas il y a beaucoup trop d'argent qui disparait!

????????????????????????????????????????????????????????????

- Les médias ont annoncé qu le Brexit entrainerait un affaiblissement économique de l 'europe et que cela couterait plus cher à la france
- Ces mêmes médias et sujet de ce fil que le Brexit couterait une fortune au royaume-uni

Alors je n'ai qu'une question, il est passé tout ce fric perdu autant par l'europe que le RU ? On ne se foutrait pas encore de notre gueule ?

la richesse , c' est le résultat d' une création d' activité économique

Les français ne savent pas compter et réduire le niveau de maths de l'EN est une excellente idée pour les rendre encore plus abrutis.

lorsqu' on dispose d' une intélligencecapable d' amener un raisonnement , cela évite de se poser des questions comme vous le faites .

Si vous avez une machine importante qui se met en rideau ex fraiseuse UGV 5 axes , cela va vous " couter" X% de votre CA annuel par baisse d' activité ......ça ne veut pas dire que vous allez devoir faire un chêque .....

"Couter " dans le cadre du Brexit , c' est une perte de PIB ......des recettes qui seront a la baisse dans les universités.par exemple ....... C EST UNE RICHESSE NON CREE OU UNE PERTE DE RECETTE CE N EST PAS DE L ARGENT QUI SE SERAIT VOLATILISE....... c 'est difficile a intégrer pour vous , j' en doute pas

[vincent]

Merci de venir confirmer mon point de vue. C'est bien la France qui risque de morfler le plus par le fait de ce Brexit. Ce ne sont pas quelques traders qui font l'économie d'un pays.

exact , mais il est préférable d' avoir 100 traders de la City que 100 000 GJ ......un trader n' a pas trop de pb pour faire le plein de sa Bentley.......ça consomme plus que la moyenne donc ça fait rentre plus de TVA .....

Mais il n' y a pas que les traders

Bilan industriel 2019] Il s'ouvre de plus en plus d'usines en France
ANNE-SOPHIE BELLAICHE, AVEC CATHERINE HOUBART VENDÉE , AISNE , DRÔME , SOMME , CHARENTE PUBLIÉ LE 18/12/2019 À 07H00

A LA UNE En 2019, quelque 115 sites industriels ont ouvert dans l’Hexagone : 70 nouvelles usines et 45 extensions de sites existants. L’Usine Nouvelle a recensé seulement 40 fermetures. Le bilan reste positif.

Brexit : 130 entreprises britanniques déjà arrivées en Ile-de ...www.francebleu.fr › ... › Infos › Économie - Social
31 janv. 2020 — Alors que le Royaume-Uni quitte officiellement l'Union européenne ce 31 janvier à minuit, la région Ile-de-France se mobilise depuis plusieurs années pour tenter d'attirer chercheurs, financiers et entreprises britanniques



Faut pas faire la gueule ma poule ,c 'est ainsi ........de bonnes nouvelles pour ceux qui y sont entrés , de bien mauvaises nouvelles pour vous

[gare au gorille]

Merci de venir confirmer mon point de vue. C'est bien la France qui risque de morfler le plus par le fait de ce Brexit. Ce ne sont pas quelques traders qui font l'économie d'un pays.

exact , mais il est préférable d' avoir 100 traders de la City que 100 000 GJ ......un trader n' a pas trop de pb pour faire le plein de sa Bentley.......ça consomme plus que la moyenne donc ça fait rentre plus de TVA .....

Mais il n' y a pas que les traders

Bilan industriel 2019] Il s'ouvre de plus en plus d'usines en France
ANNE-SOPHIE BELLAICHE, AVEC CATHERINE HOUBART VENDÉE , AISNE , DRÔME , SOMME , CHARENTE PUBLIÉ LE 18/12/2019 À 07H00

A LA UNE En 2019, quelque 115 sites industriels ont ouvert dans l’Hexagone : 70 nouvelles usines et 45 extensions de sites existants. L’Usine Nouvelle a recensé seulement 40 fermetures. Le bilan reste positif.

Brexit : 130 entreprises britanniques déjà arrivées en Ile-de ...www.francebleu.fr › ... › Infos › Économie - Social
31 janv. 2020 — Alors que le Royaume-Uni quitte officiellement l'Union européenne ce 31 janvier à minuit, la région Ile-de-France se mobilise depuis plusieurs années pour tenter d'attirer chercheurs, financiers et entreprises britanniques



Faut pas faire la gueule ma poule ,c 'est ainsi ........de bonnes nouvelles pour ceux qui y sont entrés , de bien mauvaises nouvelles pour vous

Il te reste à te réjouir de toute la propagande pro U.E. si cela suffit à te faire frétiller, mais pour les véritables bilans tu vas être obligé comme tout le monde de patienter encore un peu.

[vincent]

Il te reste à te réjouir de toute la propagande pro U.E. si cela suffit à te faire frétiller, mais pour les véritables bilans tu vas être obligé comme tout le monde de patienter encore un peu.

Seuls les chiffres parlent ( il me semble que c 'est une citation que vous utilisez.....parfois , parfois pas ) .

Pourquoi pensez vous que ces entreprises qui fuient le RU ne patientent pas ? auriez vous des éléments pour freiner cette fuite ? seriez vous plus douée que Bobo ?

Il y a des bilans intermédiaires , vous pensez que les boites qui se sont crées vont partir aprés le 31 décembre ?
Détruire l' emploi , le tissus industriel, avec des impôts , des charges pour les entreprises françaises, desimpôts sur les salaires..... ça fait 40ans que ça dure . Faire fuir des entreprises est long , les faire revenir aussi.... avez vous une idée de ce que représente une implantation en pays étranger ? une délocalisation pour revenir au point de d épart ( RU ) ? j' en doute

Il faudra attendre quoi ? , patienter un peu.......c 'est a dire quand pourra être clos le bilan ? une date SVP

Vous n' en donnerez pas . Mais au cas ou vous vous hasarderiez a le faire , justifiez votre pronostic


Je vous ferais remarquer que vous et toute la clique ( vivarais ,mickey sofa et cie ) complotiste fniste ne donnez JAMAIS des copies d' articles de presse pour étayer vos affirmations .

Le dernier exemple frappant : vivarais qui dit que le Brexit libérera de la place , car la demande est trop forte ,dans les universités anglaises . Ne connaissant rien sur le sujet ( normal vu ses références ) il va a l' explication la plus simpliste qui soit " il y a moins de monde de l' UE .....;donc ça laissera de la place " .........

En suivant l' actualité du Brexit au plus prés , on doit savoir . Arte , avec interview des anglais concernés......les régions avec les plus fort taux de brexiteurs seront les plus impactées....les bassins de l' industrie automobile.

L' éleveur de mouton.....il a peur de perdre ses subventions ...pas vous je sais
le patron d' une boite qui fabrique des ailes d ' Airbus voit les subventions R&D supprimées......et se pose des questions . Il n' y a que les FN français qui ne s' en posent pas

Quand on a pris connaissance , par le passé d' informations , facile de trouver sur Google les articles ....

a force de lire uniquement des sites de merde vous êtes complétements déconnecté(e)s

c 'est vous qui frétillez dans un bocal a tourner en rond ......incapables de sortir du "bocal" pour voir ce quise passe dans le monde réel

[gare au gorille]

Seuls les chiffres parlent ( il me semble que c 'est une citation que vous utilisez.....parfois , parfois pas ) .

Pourquoi pensez vous que ces entreprises qui fuient le RU ne patientent pas ? auriez vous des éléments pour freiner cette fuite ? seriez vous plus douée que Bobo ?

Il y a des bilans intermédiaires , vous pensez que les boites qui se sont crées vont partir aprés le 31 décembre ?
Détruire l' emploi , le tissus industriel, avec des impôts , des charges pour les entreprises françaises, desimpôts sur les salaires..... ça fait 40ans que ça dure . Faire fuir des entreprises est long , les faire revenir aussi.... avez vous une idée de ce que représente une implantation en pays étranger ? une délocalisation pour revenir au point de d épart ( RU ) ? j' en doute

Il faudra attendre quoi ? , patienter un peu.......c 'est a dire quand pourra être clos le bilan ? une date SVP

Vous n' en donnerez pas . Mais au cas ou vous vous hasarderiez a le faire , justifiez votre pronostic


Je vous ferais remarquer que vous et toute la clique ( vivarais ,mickey sofa et cie ) complotiste fniste ne donnez JAMAIS des copies d' articles de presse pour étayer vos affirmations .

Le dernier exemple frappant : vivarais qui dit que le Brexit libérera de la place , car la demande est trop forte ,dans les universités anglaises . Ne connaissant rien sur le sujet ( normal vu ses références ) il va a l' explication la plus simpliste qui soit " il y a moins de monde de l' UE .....;donc ça laissera de la place " .........

En suivant l' actualité du Brexit au plus prés , on doit savoir . Arte , avec interview des anglais concernés......les régions avec les plus fort taux de brexiteurs seront les plus impactées....les bassins de l' industrie automobile.

L' éleveur de mouton.....il a peur de perdre ses subventions ...pas vous je sais
le patron d' une boite qui fabrique des ailes d ' Airbus voit les subventions R&D supprimées......et se pose des questions . Il n' y a que les FN français qui ne s' en posent pas

Quand on a pris connaissance , par le passé d' informations , facile de trouver sur Google les articles ....

a force de lire uniquement des sites de merde vous êtes complétements déconnecté(e)s

c 'est vous qui frétillez dans un bocal a tourner en rond ......incapables de sortir du "bocal" pour voir ce quise passe dans le monde réel

Mais arrête donc de raconter n'importe quoi. Tu débites comme un perroquet la propagande dont tu es gavé jusqu'à ne plus penser par toi même.
Ton histoire de subventions versées par l'U.E. à l'éleveur de moutons est l'exemple même du raisonnement ridicule. Cet argent ne tombe pas du ciel, il n'est rien d'autre que la redistribution d'une partie des sommes que le Royaume Uni devait verser à l'U.E. pour son agriculture. Désormais il pourra le verser directement à l'agriculteur sans passer par ce couteux intermédiaire technocratique qu'est l'U.E.
Des entreprises ont quitté le Royaume Uni, mais combien d'entreprises devront se créer pour répondre au besoin de leur marché intérieur que ce pays pourra protéger à sa guise. Et combien d'entreprises ont quitté la France dans le même temps pour délocaliser l'emploi et laisser du monde sur le carreau. Le seul pays ou la France arrivait à avoir un solde d'exportation positif était le Royaume Uni. Désormais nous devrons nous passer de leur clientèle. l'U.E. essayant de verrouiller les accords commerciaux avec ce pays tellement ils ont peur de voir un Royaume Uni prospérer au lieu de régresser comme annoncé par anticipation idéologique.
T'as beau frétiller encore et toujours en te réjouissant du désastre comme un mauvais oracle, l'avenir ne t'appartient pas et il est bien trop tôt pour en tirer le moindre bilan. En ce qui me concerne et je l'ai déjà dit, je suis beaucoup plus inquiet pour l'équilibre économique de la France que pour celui du Royaume Uni.

[vincent]

Seuls les chiffres parlent ( il me semble que c 'est une citation que vous utilisez.....parfois , parfois pas ) .

Pourquoi pensez vous que ces entreprises qui fuient le RU ne patientent pas ? auriez vous des éléments pour freiner cette fuite ? seriez vous plus douée que Bobo ?

Il y a des bilans intermédiaires , vous pensez que les boites qui se sont crées vont partir aprés le 31 décembre ?
Détruire l' emploi , le tissus industriel, avec des impôts , des charges pour les entreprises françaises, desimpôts sur les salaires..... ça fait 40ans que ça dure . Faire fuir des entreprises est long , les faire revenir aussi.... avez vous une idée de ce que représente une implantation en pays étranger ? une délocalisation pour revenir au point de d épart ( RU ) ? j' en doute

Il faudra attendre quoi ? , patienter un peu.......c 'est a dire quand pourra être clos le bilan ? une date SVP

Vous n' en donnerez pas . Mais au cas ou vous vous hasarderiez a le faire , justifiez votre pronostic


Je vous ferais remarquer que vous et toute la clique ( vivarais ,mickey sofa et cie ) complotiste fniste ne donnez JAMAIS des copies d' articles de presse pour étayer vos affirmations .

Le dernier exemple frappant : vivarais qui dit que le Brexit libérera de la place , car la demande est trop forte ,dans les universités anglaises . Ne connaissant rien sur le sujet ( normal vu ses références ) il va a l' explication la plus simpliste qui soit " il y a moins de monde de l' UE .....;donc ça laissera de la place " .........

En suivant l' actualité du Brexit au plus prés , on doit savoir . Arte , avec interview des anglais concernés......les régions avec les plus fort taux de brexiteurs seront les plus impactées....les bassins de l' industrie automobile.

L' éleveur de mouton.....il a peur de perdre ses subventions ...pas vous je sais
le patron d' une boite qui fabrique des ailes d ' Airbus voit les subventions R&D supprimées......et se pose des questions . Il n' y a que les FN français qui ne s' en posent pas

Quand on a pris connaissance , par le passé d' informations , facile de trouver sur Google les articles ....

a force de lire uniquement des sites de merde vous êtes complétements déconnecté(e)s

c 'est vous qui frétillez dans un bocal a tourner en rond ......incapables de sortir du "bocal" pour voir ce quise passe dans le monde réel

Mais arrête donc de raconter n'importe quoi. Tu débites comme un perroquet la propagande dont tu es gavé jusqu'à ne plus penser par toi même.

je n' ai fais que raconter des interviews d' agriculteurs ecossais , de chef d' entreprise bossant pour Airbus , de personnes des universités britanniques qui tentent de "monter" des franchises avec les autres unversités de l' UE

Toute le pb est dans votre propos : "il pourra ".....ou ne pourra pas.....et visiblement il ne pourra pas , car les rentrées financiéres baisseront d' office . Il serait étonnant qu' ils puissent faire traiter leurs péches dans les ports de l UE .....vont ils faire décortiquer leurs crevettes dans un ex du Commun Wealth ? c'est loin

[vincent]

Des entreprises ont quitté le Royaume Uni, mais combien d'entreprises devront se créer pour répondre au besoin de leur marché intérieur que ce pays pourra protéger à sa guise.

Pourquoi n ' ont ils pas commencer a créer ces entreprises ? "des entreprises devront se créer " ....qu' attendent ils ? des financements de l' UE ?

Et combien d'entreprises ont quitté la France dans le même temps pour délocaliser l'emploi et laisser du monde sur le carreau.

mon copier /coller d 'une étude de L Usine Nouvelle y a répondu avant que vous ne posiez la question , et preuve de vos ignorances sur ce domaine , et volonté de ne pas savoir sur les chiffres qui fachent ( parmis tant d' autres ) le solde est positif


[Bilan industriel 2019] Il s'ouvre de plus en plus d'usines en ...www.usinenouvelle.com › editorial › bilan-industriel-2...
18 déc. 2019 — L'Usine Nouvelle a recensé seulement 40 fermetures. ... Les fermetures d'usines font toujours les gros titres et l'année 2019 en a apporté son lot, comme ... Depuis 2001, il présentait un solde n.

Le seul pays ou la France arrivait à avoir un solde d'exportation positif était le Royaume Uni. Désormais nous devrons nous passer de leur clientèle. l'U.E. essayant de verrouiller les accords commerciaux avec ce pays tellement ils ont peur de voir un Royaume Uni prospérer au lieu de régresser comme annoncé par anticipation idéologique.

Ne vous posez surtout pas la question de savoir comment le RU .....pays promis a la propsérité....;comment , pourquoi les entreprises font leur valise . Quelle est votre analyse sur ce phénomène incompréhensible ?

T'as beau frétiller encore et toujours en te réjouissant du désastre comme un mauvais oracle,

Un tel désastre ? auriez vous fait un lapsus révélateur ? je le crois

l'avenir ne t'appartient pas et il est bien trop tôt pour en tirer le moindre bilan.

déja répondu a ce propos que vous tenez en permanence

En ce qui me concerne et je l'ai déjà dit, je suis beaucoup plus inquiet pour l'équilibre économique de la France que pour celui du Royaume Uni.

Oui , vous l' avez dit , mais vous ne faites pas partager votre analyse ayant amené a vos propos .....nous les attendons.......vous vous répétez , et moi , je ne vais pas répéter .

mais si

quelles sont vos sources?
qui publie ?,
quelles sont ces analyses ?

Lorsque je vous lis , et je ne dois pas être le seul , je pourrai me trouver dote d' une intelligence trés supérieur , mais il n ' en est rien , on ne peut se targuer d' être supérieur en se comparant a votre auguste personne étant donné votre niveau d' argumentation .

[vincent]

si vous saviez comment je m'en tape de tout cela
moi je ne fais que des constats
pour l'instant avec la covid 19 je ne vais pas en GB chez ma fille , donc je ne sais pas si le bréxit peut m'occasionner une gène ou pas dans mes déplacements
habitant dans la SARRE près de la frontière française que le bréxit soit un succès ou pas cela ne m'impactera pas tout comme pour vous et aussi les anti bréxit

Du temps de votre " splendeur de brexiteur " , vous aviez affirmé que le RU avait toutes les cartes en main , ce qui prouve a postériori que vous ne vous en tappiez pas .

La réalité est encore une fois a l' opposé de vos propos , Bobo n' a aucune carte en main.....il continu a chercher un responsable au No deal qui sera acté


Vu du Royaume-Uni.Brexit : Londres accuse Paris de lui avoir tendu “une embuscade”
EUROPE
ROYAUME-UNI
FRANCE
COURRIER INTERNATIONAL - PARIS
Publié le 04/12/2020 - 20:07
Le Premier ministre Jean Castex, au centre, lors d’une visite du port de pêche de Boulogne-sur-Mer, le 3 décembre 2020. PHOTO AFP/Christophe PETIT TESSONLe Premier ministre Jean Castex, au centre, lors d’une visite du port de pêche de Boulogne-sur-Mer, le 3 décembre 2020. PHOTO AFP/Christophe PETIT TESSON
Le Royaume-Uni accuse la France d’avoir poussé pour que l’Union européenne exige des concessions de dernière minute dans les négociations sur le Brexit. Pour la presse britannique, il semblait inéluctable que le processus aboutisse à “un affrontement classique” entre Paris et Londres.

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Le Royaume-Uni a accusé Emmanuel Macron “de pousser les négociations de Brexit au bord du gouffre” ce vendredi 4 décembre. Selon The Times, le gouvernement britannique considère que le président français a orchestré des demandes de concessions de dernière minute “inacceptables”.

Le quotidien cite des sources gouvernementales britanniques, qui ont déclaré que Michel Barnier, négociateur en chef de l’UE, avait tendu “une embuscade” à ses homologues britanniques la veille en exigeant que le Royaume-Uni “s’aligne sur les règles de Bruxelles en matière d’aides d’État”

cet alignement a toujours fait parti des conditions sinequa none du programme de base des négociations , donc rien de nouveau . Le piége , il se l' est fabriqué tout seul , comme un grand clown populiste qu' il est