gare au gorille a écrit : ↑19 décembre 2020 10:54
vincent a écrit : ↑19 décembre 2020 10:17
T'as beau ricaner comme une chèvre à la fin de chacun de tes postes, ce n'est pas pour autant que tes propos reflètent la raison.
certes , mais je continuerai a ricaner chaque fois que je lirais des débilités
Tu t'étonnes que le Brexit ne fasse pas bander les marchés boursiers.
oui , mais chez vous , ça n' a pas l' air de faire sourciller vos croyances
Tu devrais savoir toi qui te vantes sans cesse de ton intelligence et de tes hautes connaissances dans le domaine économique que rien n'est plus volage et influençable que le domaine boursier.
il n' y a de la volatilité que dans un domaine , voir 1 entreprise lorsque des rumeurs arrivent .
Lorsque c' est LA BOURSE dans son intégralité qui plonge , on ne parle pas de volatilité .
Qu'une rumeur suffit à le faire décoller et qu'il est davantage basé sur la peur ou à l'inverse sur l'euphorie que sur la réalité des choses.
Quelques rumeurssuffisent a faire décoller ou plonger 1 titre , 1 secteur , aucune rumeur ne fait plonger......sauf si c'est un géant Lehman Brothers par exemple .Au RU , rien de tout cela , c' est toute la bourse qui plonge et la seule explication est le Brexit
Dans le domaine de la santé, avec les vaccins Le Royaume Uni vient de nous démontrer sa rapidité réactive face à la lourdeur administrative de la technocratie Bruxelloise.
voila ce que c' est que de mettre son nez uniquement sur les" sites interdits" , ils diffusent ce que vous avez envie d' entendre .
Le vaccin au RU distribué rapidement , n'est pas le signe d 'une réactivité que ne pourrait avoirl' UE
. Le conseil de l' UE qui autorise la vaccination covid N EMET QU UN AVIS CONSULTATIF AUCUNE OBLIGATION TOUS LES PAYS DE L UE AURAIENT PU FAIRE COMME LE RU
la procédure d' urgence était accéssible a tous les pays . C 'est la prudence qui fait vacciner aprés le RU , et non pas les régles de l' UE dont le RU se serait abstenu
Une autorisation britannique rapide... mais temporaire
En réalité, les Britanniques ont mis en œuvre une procédure d'urgence... permise par la législation pharmaceutique de l'Union européenne. Cette mesure permet dans les situations de crise comme celle du coronavirus d'avoir temporairement recours à un nouveau traitement pour cibler une population spécifique, à l'échelle d'un État seulement, et non de l'ensemble de l'UE.
De leur côté, les 27, estimant qu'il s'agit d'un sujet très important, ont préféré s'en remettre à l'Agence européenne du médicament (EMA), qui mise sur une procédure plus traditionnelle, certes plus lente, mais qui a l'avantage d'aboutir à une véritable autorisation de mise sur le marché pour une durée plus longue. Deux stratégies opposées alors que les scientifiques britanniques et européens ont eu accès aux mêmes données sur les vaccins. Mais là où, outre-Manche, on a fait le choix de la vitesse, l'Agence européenne des médicaments souhaite examiner en détail la demande d'autorisation européenne du vaccin Pfizer/BioNTech déposée mardi dernier et devrait se prononcer le 29 décembre "au plus tard".