La décapitation , comme celle de Samuel Paty, est un truc apporté par la diversité .Puisque cela vient de la diversité , la gauche considère qu'il s 'agit d'une nouvelle richesse.
Cette dame a tout mon respect car elle a osé décrire une réalité dérangeante.berger141 a écrit : ↑01 décembre 2023 20:54La décapitation , comme celle de Samuel Paty, est un truc apporté par la diversité .Puisque cela vient de la diversité , la gauche considère qu'il s 'agit d'une nouvelle richesse.
En conséquence, il est probable que les auteurs des menaces soient aussi eux-mêmes une richesse apportée par la diversité.
En outre cette maire n'a fait que décrire une situation. Maintenant dire la vérité c'est courageux car on est menacé de mort.scorpion3917 a écrit : ↑02 décembre 2023 13:12Cette dame a tout mon respect car elle a osé décrire une réalité dérangeante.berger141 a écrit : ↑01 décembre 2023 20:54
La décapitation , comme celle de Samuel Paty, est un truc apporté par la diversité .Puisque cela vient de la diversité , la gauche considère qu'il s 'agit d'une nouvelle richesse.
En conséquence, il est probable que les auteurs des menaces soient aussi eux-mêmes une richesse apportée par la diversité.
Et ce n est pas une extrémiste me semble t'il.
Elle a eu le courage que beaucoup de politicards planqués n ont pas, de dénoncer le quotidien de ces maires livrés à eux mêmes.
Et voilà les menaces de mort.
En s attaquant à elle, on s attaque à la France, à nos valeurs et à tout ce qui fait la richesse de notre pays.
Un sursaut s impose face à ce déni de réalité.
Et peu importe la couleur que les bien-pensants vont placarder dans le dos de ceux qui tiennent de tels propos.
Ce sont eux le problème en fait.
.......Ni celle de ceux qui ne font rien pour elle et la laisse dans un état pitoyable aux génération futures.
C'est ça notre France! Pas celle des croquemitaines comme Marion, Zemmour et la Marine
Quand 2anifestations sont prévues et que l'on interdit une (comme par hasard celle d'ultra droite ) et pas l'autreCorvo a écrit : ↑02 décembre 2023 17:39 Justice pour Thomas vraiment ?...Un p'tit passage au détecteur de mensonge nous réserverait sans doute des surprises.
Bras tendus
A Paris, une manifestation d’extrême droite «pour Thomas» et contre «l’Etat»
Environ 200 sympathisants et militants d’extrême droite ont réclamé «justice» pour le jeune homme tué. D’abord interdite, la manifestation vendredi 1er décembre au soir a été autorisée au dernier moment par la justice.
«Notre manifestation est autorisée ! Tous au Panthéon !» Le message a été publié vendredi 1er décembre à 18 h 20 sur le groupe Telegram du mouvement d’extrême droite parisien Les Natifs. Il a contribué au rassemblement de 200 militants et sympathisants d’extrême droite dans le VIe arrondissement de la capitale, pour un rendez-vous d’hommage au jeune Thomas. Poignardé à la fin d’un bal dans la commune de Crépol (Drôme), dans la nuit du 19 au 20 novembre, l’adolescent de 16 ans est devenu un symbole de l’extrême droite, qui prétend l’honorer et le venger.
Comme plusieurs autres rassemblements similaires en France ces derniers jours, celui-ci avait fait l’objet d’une interdiction préfectorale, mercredi soir, au motif qu’il était susceptible de créer des troubles à l’ordre public, en raison «des propos tenus qui sont des propos d’incitation à la haine et à la violence».
Mais vendredi en début de soirée, le tribunal administratif a annulé l’arrêté préfectoral, y voyant une «atteinte grave à la liberté de manifester» et jugeant «pas établi que la préfecture de police ne serait pas en mesure d’assurer le maintien de l’ordre public». Le même soir, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin s’est dit «scandalisé par la manifestation à Paris».
Rassemblée dans le froid et sous haute surveillance policière devant le Panthéon, sur fond de sapins de Noël illuminés, la petite foule, où figuraient des individus au visage masqué a repris des slogans tels que «Justice pour Thomas» ou «Français, réveille-toi, tu es ici chez toi». Elle a aussi, plus brièvement, conspué les forces de l’ordre et les journalistes. De la foule sont sortis des gestes de supporters – des «clappings» aux bras bien tendus – ainsi que des «saluts de Kühnen», un geste à trois doigts utilisé comme une alternative au salut nazi.
Parmi les prises de parole, celles de l’intellectuel identitaire Jean-Yves Le Gallou, qui a estimé que «le pouvoir veut interdire toute manifestation critique parce qu’il veut imposer chaque année l’entrée de 500 000 étrangers supplémentaires en France». Au micro, un militant identitaire a aussi déclaré : «On savait déjà tous que l’Etat ne défendait plus son peuple. Maintenant, on sait aussi que sa justice, ses préfets, ses sbires jouent tous complètement contre nous et créent même des alliances de circonstances avec la racaille des cités, comme samedi soir dans la cité de la Monnaie.»
Nouvelles interdictions préfectorales
L’allusion renvoyait à la descente violente de plusieurs dizaines de militants violents dans ce quartier populaire de Romans-sur-Isère, dont sont originaires certains des acteurs du drame de Crépol. Les manifestants, armés de barres de fer, avaient été interceptés par la police. Plusieurs ont été condamnés à de la prison ferme, notamment pour des violences contre les forces de l’ordre.
Interrogé par l’AFP, le porte-parole des Natifs, «Antoine», qui n’a pas souhaité donner son nom de famille, a assuré que la manifestation parisienne rassemblait «les personnes qui ont été choquées» par la mort de Thomas pour «dénoncer le laxisme juridique.» A Nice et Bordeaux, en revanche, l’interdiction des rassemblements d’extrême droite prévu vendredi soir a bien été maintenue. Des rendez-vous similaires à Valence et Montpellier, prévus samedi 2 décembre au soir, font eux aussi l’objet d’une interdiction préfectorale.
https://www.liberation.fr/politique/a-p ... TYK2LU4DQ/
Je préfère ces jeunes certes un peu bruyants et aux discours parfois limites mais eux au moins ne tuent personne et leurs slogans ne me choquent pas outre mesure et pourtant je pense être un modéré, démocrate et républicain.Corvo a écrit : ↑02 décembre 2023 17:39 Justice pour Thomas vraiment ?...Un p'tit passage au détecteur de mensonge nous réserverait sans doute des surprises.
Bras tendus
A Paris, une manifestation d’extrême droite «pour Thomas» et contre «l’Etat»
Environ 200 sympathisants et militants d’extrême droite ont réclamé «justice» pour le jeune homme tué. D’abord interdite, la manifestation vendredi 1er décembre au soir a été autorisée au dernier moment par la justice.
«Notre manifestation est autorisée ! Tous au Panthéon !» Le message a été publié vendredi 1er décembre à 18 h 20 sur le groupe Telegram du mouvement d’extrême droite parisien Les Natifs. Il a contribué au rassemblement de 200 militants et sympathisants d’extrême droite dans le VIe arrondissement de la capitale, pour un rendez-vous d’hommage au jeune Thomas. Poignardé à la fin d’un bal dans la commune de Crépol (Drôme), dans la nuit du 19 au 20 novembre, l’adolescent de 16 ans est devenu un symbole de l’extrême droite, qui prétend l’honorer et le venger.
Comme plusieurs autres rassemblements similaires en France ces derniers jours, celui-ci avait fait l’objet d’une interdiction préfectorale, mercredi soir, au motif qu’il était susceptible de créer des troubles à l’ordre public, en raison «des propos tenus qui sont des propos d’incitation à la haine et à la violence».
Mais vendredi en début de soirée, le tribunal administratif a annulé l’arrêté préfectoral, y voyant une «atteinte grave à la liberté de manifester» et jugeant «pas établi que la préfecture de police ne serait pas en mesure d’assurer le maintien de l’ordre public». Le même soir, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin s’est dit «scandalisé par la manifestation à Paris».
Rassemblée dans le froid et sous haute surveillance policière devant le Panthéon, sur fond de sapins de Noël illuminés, la petite foule, où figuraient des individus au visage masqué a repris des slogans tels que «Justice pour Thomas» ou «Français, réveille-toi, tu es ici chez toi». Elle a aussi, plus brièvement, conspué les forces de l’ordre et les journalistes. De la foule sont sortis des gestes de supporters – des «clappings» aux bras bien tendus – ainsi que des «saluts de Kühnen», un geste à trois doigts utilisé comme une alternative au salut nazi.
Parmi les prises de parole, celles de l’intellectuel identitaire Jean-Yves Le Gallou, qui a estimé que «le pouvoir veut interdire toute manifestation critique parce qu’il veut imposer chaque année l’entrée de 500 000 étrangers supplémentaires en France». Au micro, un militant identitaire a aussi déclaré : «On savait déjà tous que l’Etat ne défendait plus son peuple. Maintenant, on sait aussi que sa justice, ses préfets, ses sbires jouent tous complètement contre nous et créent même des alliances de circonstances avec la racaille des cités, comme samedi soir dans la cité de la Monnaie.»
Nouvelles interdictions préfectorales
L’allusion renvoyait à la descente violente de plusieurs dizaines de militants violents dans ce quartier populaire de Romans-sur-Isère, dont sont originaires certains des acteurs du drame de Crépol. Les manifestants, armés de barres de fer, avaient été interceptés par la police. Plusieurs ont été condamnés à de la prison ferme, notamment pour des violences contre les forces de l’ordre.
Interrogé par l’AFP, le porte-parole des Natifs, «Antoine», qui n’a pas souhaité donner son nom de famille, a assuré que la manifestation parisienne rassemblait «les personnes qui ont été choquées» par la mort de Thomas pour «dénoncer le laxisme juridique.» A Nice et Bordeaux, en revanche, l’interdiction des rassemblements d’extrême droite prévu vendredi soir a bien été maintenue. Des rendez-vous similaires à Valence et Montpellier, prévus samedi 2 décembre au soir, font eux aussi l’objet d’une interdiction préfectorale.
https://www.liberation.fr/politique/a-p ... TYK2LU4DQ/
Pas de bol pour vousCorvo a écrit : ↑02 décembre 2023 17:39 Justice pour Thomas vraiment ?...Un p'tit passage au détecteur de mensonge nous réserverait sans doute des surprises.
Bras tendus
A Paris, une manifestation d’extrême droite «pour Thomas» et contre «l’Etat»
Environ 200 sympathisants et militants d’extrême droite ont réclamé «justice» pour le jeune homme tué. D’abord interdite, la manifestation vendredi 1er décembre au soir a été autorisée au dernier moment par la justice.
«Notre manifestation est autorisée ! Tous au Panthéon !» Le message a été publié vendredi 1er décembre à 18 h 20 sur le groupe Telegram du mouvement d’extrême droite parisien Les Natifs. Il a contribué au rassemblement de 200 militants et sympathisants d’extrême droite dans le VIe arrondissement de la capitale, pour un rendez-vous d’hommage au jeune Thomas. Poignardé à la fin d’un bal dans la commune de Crépol (Drôme), dans la nuit du 19 au 20 novembre, l’adolescent de 16 ans est devenu un symbole de l’extrême droite, qui prétend l’honorer et le venger.
Comme plusieurs autres rassemblements similaires en France ces derniers jours, celui-ci avait fait l’objet d’une interdiction préfectorale, mercredi soir, au motif qu’il était susceptible de créer des troubles à l’ordre public, en raison «des propos tenus qui sont des propos d’incitation à la haine et à la violence».
Mais vendredi en début de soirée, le tribunal administratif a annulé l’arrêté préfectoral, y voyant une «atteinte grave à la liberté de manifester» et jugeant «pas établi que la préfecture de police ne serait pas en mesure d’assurer le maintien de l’ordre public». Le même soir, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin s’est dit «scandalisé par la manifestation à Paris».
Rassemblée dans le froid et sous haute surveillance policière devant le Panthéon, sur fond de sapins de Noël illuminés, la petite foule, où figuraient des individus au visage masqué a repris des slogans tels que «Justice pour Thomas» ou «Français, réveille-toi, tu es ici chez toi». Elle a aussi, plus brièvement, conspué les forces de l’ordre et les journalistes. De la foule sont sortis des gestes de supporters – des «clappings» aux bras bien tendus – ainsi que des «saluts de Kühnen», un geste à trois doigts utilisé comme une alternative au salut nazi.
Parmi les prises de parole, celles de l’intellectuel identitaire Jean-Yves Le Gallou, qui a estimé que «le pouvoir veut interdire toute manifestation critique parce qu’il veut imposer chaque année l’entrée de 500 000 étrangers supplémentaires en France». Au micro, un militant identitaire a aussi déclaré : «On savait déjà tous que l’Etat ne défendait plus son peuple. Maintenant, on sait aussi que sa justice, ses préfets, ses sbires jouent tous complètement contre nous et créent même des alliances de circonstances avec la racaille des cités, comme samedi soir dans la cité de la Monnaie.»
Nouvelles interdictions préfectorales
L’allusion renvoyait à la descente violente de plusieurs dizaines de militants violents dans ce quartier populaire de Romans-sur-Isère, dont sont originaires certains des acteurs du drame de Crépol. Les manifestants, armés de barres de fer, avaient été interceptés par la police. Plusieurs ont été condamnés à de la prison ferme, notamment pour des violences contre les forces de l’ordre.
Interrogé par l’AFP, le porte-parole des Natifs, «Antoine», qui n’a pas souhaité donner son nom de famille, a assuré que la manifestation parisienne rassemblait «les personnes qui ont été choquées» par la mort de Thomas pour «dénoncer le laxisme juridique.» A Nice et Bordeaux, en revanche, l’interdiction des rassemblements d’extrême droite prévu vendredi soir a bien été maintenue. Des rendez-vous similaires à Valence et Montpellier, prévus samedi 2 décembre au soir, font eux aussi l’objet d’une interdiction préfectorale.
https://www.liberation.fr/politique/a-p ... TYK2LU4DQ/
selon le rapport d'RMC ce matin, qui a probablement lu l'article, l'altercation a commencé bien avant dans la salle des fêtes.Chaïd A., « Chiquita » et le bal mortel de Crépol : ce que révèlent les premières déclarations des suspects
INFO LE PARISIEN. En garde à vue, les suspects du meurtre de Thomas ont commencé à donner leur version du déroulé de la soirée mortelle. Certains évoquent une première altercation liée à des moqueries sur la chevelure de l’un d’entre eux à l’intérieur de la salle des fêtes, loin de la thèse d’une agression extérieure préméditée.
https://www.francetvinfo.fr/faits-diver ... 23491.htmlNeuf suspects ont été mis en examen dans cette affaire. Parmi les principaux suspects, ceux soupçonnés d'avoir porté le coup de couteau fatal à Thomas, l'un d'eux a 22 ans et s'appelle Ilyès, prénom d'origine maghrébine. Un deuxième, âgé de 17 ans, porte lui un prénom d'origine française, qu'on ne peut pas révéler puisqu'il est mineur, tout comme celui de son petit frère, qui est d'ailleurs en fuite depuis les faits.
La description physique de ces trois suspects faite par les témoins complique le travail des gendarmes car tous ont les cheveux longs. La coupe de cheveux d'Ilyès est possiblement le déclencheur de cette fin de soirée tragique. Le suspect raconte la moquerie d'un jeune rugbyman de Crépol, qui tire sur sa chevelure au moment où passe la chanson "Tchikita" du rappeur Jul, chanson qui parle d'une petite fille. C'est le début de l'altercation. Ce rugbyman a été entendu dire par au moins une amie qu'il avait envie de taper "des bougnoules".
Une quinzaine de jeunes arrivent plus tard dans la soirée
L'enquête est loin d'être terminée sur le déroulé de cette soirée et sur les motivations des uns et des autres. Ce que l'on sait, c'est qu'au moins quatre jeunes de Romans-sur-Isère ont participé à une bonne partie de la fête du village dans la salle des fêtes sans poser de difficulté, d'après une bonne partie des participants interrogés par les enquêteurs. D'autres participants évoquent au contraire leur air défiant. Le reste de la troupe est arrivé un peu plus tard : au total, une quinzaine de jeunes arrivés à bord de trois à cinq voitures, certains armés de couteaux d'après des témoins.
Neuf participants ont fait part aux gendarmes de propos "hostiles aux blancs". Mais le procureur de Valence répétait dans la soirée lundi 4 décembre à franceinfo qu'à ce stade, les éléments ne sont pas suffisants pour parler d'un crime raciste. Il ne se l'interdit pas pour autant. Simplement l'enquête est loin d'être terminée.
sauf que vous vous venez (où peut pas
) d'une culture où on ne se sert pas pour autre chose 