Panzer Kunst a écrit :
1) Si le sujet ne sont pas les intervenants, montrez l'exemple, de manière à ce que vos préceptes franchisent le cap de la crédibilité. En effet, quand je ne me permets pas de vous railler, vous, par contre, vous prenez hautement la liberté de le faire.
je parle toujours des sujets,et des idées des gens,le reste,le type d'invectives comme vous le faites,ne m’intéresse pas.
pour finir,comme je l'ai bien précisé précédemment,si vous avez des requêtes faites les par Messagerie privée,polluer les forums a le don de m'irriter au plus haut point,je vous déconseille donc d'y continuer,et de respecter la charte de ce forum.
Truculent de lire ça, quand on sait qu'au sein de la l'école classique libérale, ce leitmotiv eut libre champ pendant 200 ans et a encore des admirateurs dans l'imperium capitaliste.
Aussi, on peut glousser devant tant de naïveté quand on sait, en substance, que certains libéraux rejettent les libertés individuelles et fondamentales de l'individu et le droit du travail qu'ils considèrent comme une entrave à leur propre liberté d'entreprendre, à l'obligation de contributions ou encore à la meilleure réalisation de copieux ou juteux profits. (N'entrave pas ma liberté de paupériser !)
La morale libérale peut se résumer par un seul précepte : Tu ne violeras pas les droits naturels d’un autre être humain. Elle laisse chacun libre de choisir ses propres fins, ses propres moyens et sa propre morale, dans la mesure où il n’empêche pas les autres d’en faire autant.
La notion de liberté est liée à celle d'égalité en droit : la liberté des autres implique de leur reconnaître les mêmes droits que ceux qu'on s'accorde. Pour les libéraux, tous les êtres humains doivent être traités comme des égaux quelles que soient leurs différences.
Le libéralisme n'est pas l'anomie comme absence de règles de droits. Le droit est formé d’une part par le droit naturel, et d’autre part par le droit positif qui est le produit des contrats passés entre les individus.
vous confondez le libéralisme et le capitalisme.
Ensuite, il faudrait déjà situer sur quelle ligne libérale vous vous situez, car il en existe deux variantes (Classique, Néoclassique, au moins).
il en existe d'avantage.
Néanmoins, quelque soit votre choix, j'ai quand-même l'impression que cela ne saurait sauver votre approximation et tattonement dans "ce registre économique". L'essence même du libéralisme économique, sa quête ou recherche, est un accroissement de capital et cela de manière exponentielle, sans connaître la moindre entrave (intérieur et extérieur) . Caractéristique propre également au capitalisme, me direz-vous, le libéralisme, néanmoins, rejette, dans sa version la plus pure, l'encadrement légal (Et encore...Quand les juridictions du pays où il perdure n'invoquent pas la sacro-sainte liberté d'entreprendre, voire même n'est pas carrément au service du grand capital). Si vous pensez que cela ne va pas trop vous fatiguer, rien que concernant notre territoire national, n'hésitez pas à reluquez du côté de la loi "Florange" répudiée, ce jour, par le conseil constitutionnel).
vous confondez encore une fois le capitalisme et le libéralisme.pire,vous les mélangez.
pour ma ^part,je pense qu'il n'y a aucun vrai libéralisme économique en ce bas monde,je ne crois pas avoir croisé de pays qui en soit un.
c) Pour Goldman sachs, il va falloir faire l' effort d'aller au delà de vos raisonnements académiques (C'est presque mignon, tant de candeur) pour être un peu plus pragmatique. Intéressez vous réellement aux agissements de cette banque (J'aurais pu en citer d'autres) et de son rayon d'action, vous pourrez constater que cet établissement est l'élixir du pire de ce libéralisme que vous défendez avec "bec et ongles". (Emprunt grec, Subprimes, entrisme politique au plus haut niveau des Etats et des Commissions (Mario Monti, ancien N°2 Goldman Sachs Europe))
Vilains banquiers,vilains banquiers hors sujet !Vilain banquier capitalistes !
faut bien en trouver un.
Faites donc un sujet sur la goldmann sachs,ça vous soulagera.