Guerre d'Israël à Gaza: un comité de l'ONU voit les "caractéristiques d'un génocide"

[scorpion3917]

avec cet énième coup dimanche, on peut facilement dire que les Israéliens avec leurs frappes ne valent pas mieux que les terroristes du Hamas qui les ont attaqués le 7 oct.

Appelons les choses par leur nom : c'est du terrorisme d'état.

"Lors de guerres les États peuvent mener des actions pouvant entrer, pour certaines, dans la définition de terrorisme. Ainsi, des bombardements massifs sur des civils, s'ils visent un objectif de terreur, peuvent être définis comme terrorisme d'État. "

Source : "Terrorisme d'Etat" : https://fr.wikipedia.org/wiki/Terrorisme_d%27%C3%89tat

Certaines sources nous disent qu'il ne faut pas tenir compte des chiffres annoncés qui se veulent catastrophiques .
Il s'agirait d'une forme de propagande pour faire pleurer dans les chaumières.

[scorpion3917]

Pendant un certain temps les représailles d'Israël contre Gaza ont été justifiées. Ensuite on a pu dire c'est assez. Aujourd'hui Israël va trop loin et l'UE a raison de condamner ces excès qui tuent trop de civils innocents. Malheureusement seul Trump semble avoir le poids politique nécessaire pour faire cesser cette boucherie.

Non papibilou.
Israël ne va pas trop loin, cet état se livre à un massacre en règle .
Macron manque de courage en parlant de honte.
Pourquoi tant de mots choisis, de précautions quand il s'agit d'Israël ????

La shoa est une tâche indélébile, la pire monstruosité qu'un système meurtrier a mis en place. Mais ce génocide ne doit pas être utilisé pour d'autres actions meurtrières sur des populations sans défense ne disposant quant à elle que de lance pierres. Et où il est interdit de faire la moindre critique sous peine d'être accusé d'antisemite.....auquel cas il n'y a plus de limites.....
Des millions de morts dans des conditions que le cerveau humain ne peut imaginer.
Mais en même temps, ce que fait Israël depuis le 7 octobre , du moins ce gvt extrémiste laissera des traces terribles pour les générations futures.
Comment ce pays va t il pouvoir se relever, la tête haute et les mains propres face à cette catastrophe humanitaire ?
Que dira un jour l'HISTOIRE, avec le recul nécessaire de cette boucherie organisée ?

Car il s'agit bien d'une éradication systémique qui d'ailleurs permet le maintien au pouvoir de ce gvt et de son chef.

[Victor]

Arrêter le massacre à Gaza
« Sauver une vie, c’est sauver l’humanité. Or, par ses crimes, le gouvernement de Benyamin Netanyahou a renversé le postulat. À Gaza, la folle ambition d’éradiquer le Hamas justifie de raser tout, jusqu’aux hôpitaux. C’est aux amis d’Israël d’arrêter le bras meurtrier de Netanyahou. Ses crimes sont devenus une menace pour son propre pays », écrit Laurent Marchand, rédacteur en chef délégué, éditorialiste chargé de l’Europe et de l’international.

Durant plus de onze semaines, depuis le 2 mars, le gouvernement israélien a empêché tout convoi humanitaire de venir secourir la population civile de Gaza. En violation du droit humanitaire le plus élémentaire. Après dix-neuf mois de bombardements intensifs. Nul ne minimise la barbarie des massacres du 7 octobre 2023 orchestrés par le Hamas. Mais aucune légitime défense ne peut justifier une telle disproportion dans la réaction.

Durant plus de onze semaines, depuis le 2 mars, le gouvernement israélien a empêché tout convoi humanitaire de venir secourir la population civile de Gaza. En violation du droit humanitaire le plus élémentaire. Après dix-neuf mois de bombardements intensifs. Nul ne minimise la barbarie des massacres du 7 octobre 2023 orchestrés par le Hamas. Mais aucune légitime défense ne peut justifier une telle disproportion dans la réaction.

Tardivement, les gouvernements européens semblent avoir enfin compris que leurs silences devenaient une forme de complicité. Londres, allié indéfectible d’Israël, a menacé cette semaine de suspendre des négociations d’un accord de libre-échange. La commission européenne annonce le réexamen du respect par Israël de l’accord d’association qui le lie à l’Union européenne. Dix-sept pays, dont la France, ont soutenu cette position. L’Allemagne, plombée par son passé, estime ne pas pouvoir franchir ce pas. L’Italie de Giorgia Meloni non plus, davantage pour une question d’alignement sur la position américaine.

https://www.ouest-france.fr/reflexion/e ... 0af7605eff

Israël a démontré que leurs frappes sont chirurgicales y compris au Liban
C'est un appartement dan un immeuble qui est ciblé et pas le voisin
Là où ils frappent c'est qu'il y a un objectif militaire ou terroriste à détruire et que l'on se serve d'un hôpital , d'une école ou de boucliers humains cela n'empêche pas la frappe chirurgicale
Aujourd'hui il suffit qu'un point GPS soit verrouillé pour que le missile frappe là est pas ailleurs
Que le Hamas se rende sans condition et tout s'arrêtera

Tout à fait vivarais. Vous avez entièrement raison.
Il suffit que le hamas relâche les otages et arrêtent les combats et les opérations anti-terroristes menées par Israël s'arrêteront.
Mais le hamas a des relais d'influence en occident et l'on voie des fonck , once ou d'autres forumeurs tomber dans leur piège et imaginer être du bon côté alors qu'ils ne font que soutenir les tueurs et les violeurs du 07/10.

[da capo]

Appelons les choses par leur nom : c'est du terrorisme d'état.

"Lors de guerres les États peuvent mener des actions pouvant entrer, pour certaines, dans la définition de terrorisme. Ainsi, des bombardements massifs sur des civils, s'ils visent un objectif de terreur, peuvent être définis comme terrorisme d'État. "

Source : "Terrorisme d'Etat" : https://fr.wikipedia.org/wiki/Terrorisme_d%27%C3%89tat

Non. S'il était question de bombardements massifs sur des civils (sic) Tsahal aurait tiré à l'aveugle sur des immeubles habités et la population aurait été réduite d'un bon quart, voire davantage et non de 1,5 à 2 %.
C'est un acte de guerre visant le Hamas, sans intention préméditée de frapper des civils dont le nombre ne tient pas à une volonté délibérée des attaquants, mais à la tactique cynique des terroristes mêlés à la population.
L'expression terrorisme d'État est aussi outrancière que celle de génocide.
A-t-on déjà vu dans l'histoire une offensive ayant laissé 97 % de survivants et qualifiée de génocide ?

[Corvo]

"La mort est plus douce que ce supplice" : on vous raconte le drame vécu par un couple de médecins qui a perdu neuf enfants dans un raid israélien à Gaza
Publié le 26/05/2025 16:36
Mis à jour il y a 12 minutes

La maison de la famille al-Najjar a été visée par deux tirs de missiles. Neuf enfants ont perdu la vie dans ce bombardement, le père de famille et l'un des fils ont été gravement blessés et sont hospitalisés.

Une famille décimée. La défense civile de la bande de Gaza a annoncé samedi la mort de neuf enfants d'un couple de médecins palestiniens à Khan Younès. Les faits, qui ont depuis fait le tour du monde, se sont produits vendredi 23 mai dans le sud de la bande de Gaza. Selon le récit de CNN(Nouvelle fenêtre), le docteur Hamdi al-Najjar rentrait chez lui après avoir accompagné sa femme, la pédiatre Alaa al-Najjar, au travail à l'hôpital Nasser quand il est "témoin d'un tir de missile sur leur maison, qui n'explose pas. Il se précipite à l'intérieur pour sauver ses enfants, mais [la maison est] touchée par une seconde frappe israélienne". Des frappes menées, selon les proches, sans avertissement.

L'oncle de la fratrie, Ali al-Najjar, accourt sur place. "Je suis arrivé et j'ai trouvé [mon neveu] Adam allongé sur le sol, couvert de sang, raconte-t-il sur la chaîne de télévision Al Araby(Nouvelle fenêtre). Mon frère était au sol, la tête en sang, la main arrachée, enseveli sous les gravats." Et de poursuivre : "J'ai sorti Adam, brûlé, et je l'ai conduit à l'hôpital. Les secouristes ont transporté Hamdi." Il décrit une "maison réduite à l'état de ruine", comme le montrent des images diffusées par France 2. Il explique avoir ensuite tenté de fouiller les décombres à mains nues avec les ambulanciers pour retrouver les autres enfants.

De garde à l'hôpital, la pédiatre Alaa al-Najjar apprend qu'une maison du quartier a été visée par une frappe. "C'est comme si Alaa avait senti. Elle est sortie d'un coup de l'hôpital et s'est mise à courir vers chez elle", raconte le directeur du département de pédiatrie, Ahmed Al-Fara, dans Le Monde(Nouvelle fenêtre). "Alaa est arrivée en courant, il n'y avait pas de véhicule. Quand elle a vu les corps carbonisés, elle s'est mise à crier", décrit Ali al-Najjar. Sur place, la mère fait ses adieux à Yahya, 12 ans, Rakan, 10 ans, Eve, 9 ans, Gubran, 8 ans, Raslan, 7 ans, Rival, 5 ans, Sideen, 3 ans, Luqman, 2 ans, et Sidar, 7 mois, liste Mounir Albourche, directeur du ministère de la Santé gazaoui, administré par le Hamas, sur le réseau social X(Nouvelle fenêtre).

"Alaa est brisée"
Sahar al-Najjar est également présente : "Neuf enfants étaient brûlés, méconnaissables. Le dixième et leur père sont dans un état critique. Je n'ai pas pu reconnaître les enfants dans les linceuls. Leurs traits avaient disparu", confie-t-elle en pleurs à l'AFP. Gravement blessé, Hamdi al-Najjar est hospitalisé avec son fils Adam, 10 ans, en soins intensifs à l'hôpital Nasser. Selon des sources médicales, il a subi de multiples opérations à l'hôpital de campagne jordanien, où les médecins ont dû lui retirer une grande partie du poumon droit. Dix-sept poches de sang lui ont été transfusées. Son fils Adam a été amputé d'une main et souffre de brûlures sur tout le corps.

C'est le chirurgien britannique Graeme Groom, actuellement à l'hôpital Nasser, qui l'a opéré. "Mon dernier patient aujourd'hui était un petit garçon de 11 ans qui paraissait bien plus jeune quand je l'ai soulevé pour l'installer sur la table d'opération", raconte-t-il sur Instagram. "Le petit garçon pourrait survivre, mais nous ne savons rien de son père", a-t-il ajouté auprès de la BBC(Nouvelle fenêtre), précisant n'avoir connaissance d'"aucun lien politique ou militaire" d'Hamdi al-Najjar avec des organisations considérées comme terroristes par Israël.

"C'est une perte immense. Alaa est brisée", confie Mohammed, un proche de la famille. Mais Ali al-Najjar redoute désormais le réveil de son frère. "Je ne sais pas comment lui dire. Dois-je lui annoncer que ses enfants sont morts ? Je les ai enterrés dans deux tombes." "Il n'y a pas d'endroit sûr à Gaza, souffle-t-il. La mort est plus douce que ce supplice."

De son côté, l'armée israélienne a précisé à l'AFP qu'un de ses aéronefs avait "frappé plusieurs individus soupçonnés d'opérer depuis une structure" se trouvant à proximité de ses soldats dans cette zone. "L'affirmation concernant les dommages causés à des civils non impliqués est en cours d'examen", a-t-elle ajouté.

https://www.franceinfo.fr/monde/proche- ... =DM1105799

[scorpion3917]

"La mort est plus douce que ce supplice" : on vous raconte le drame vécu par un couple de médecins qui a perdu neuf enfants dans un raid israélien à Gaza
Publié le 26/05/2025 16:36
Mis à jour il y a 12 minutes

La maison de la famille al-Najjar a été visée par deux tirs de missiles. Neuf enfants ont perdu la vie dans ce bombardement, le père de famille et l'un des fils ont été gravement blessés et sont hospitalisés.

Une famille décimée. La défense civile de la bande de Gaza a annoncé samedi la mort de neuf enfants d'un couple de médecins palestiniens à Khan Younès. Les faits, qui ont depuis fait le tour du monde, se sont produits vendredi 23 mai dans le sud de la bande de Gaza. Selon le récit de CNN(Nouvelle fenêtre), le docteur Hamdi al-Najjar rentrait chez lui après avoir accompagné sa femme, la pédiatre Alaa al-Najjar, au travail à l'hôpital Nasser quand il est "témoin d'un tir de missile sur leur maison, qui n'explose pas. Il se précipite à l'intérieur pour sauver ses enfants, mais [la maison est] touchée par une seconde frappe israélienne". Des frappes menées, selon les proches, sans avertissement.

L'oncle de la fratrie, Ali al-Najjar, accourt sur place. "Je suis arrivé et j'ai trouvé [mon neveu] Adam allongé sur le sol, couvert de sang, raconte-t-il sur la chaîne de télévision Al Araby(Nouvelle fenêtre). Mon frère était au sol, la tête en sang, la main arrachée, enseveli sous les gravats." Et de poursuivre : "J'ai sorti Adam, brûlé, et je l'ai conduit à l'hôpital. Les secouristes ont transporté Hamdi." Il décrit une "maison réduite à l'état de ruine", comme le montrent des images diffusées par France 2. Il explique avoir ensuite tenté de fouiller les décombres à mains nues avec les ambulanciers pour retrouver les autres enfants.

De garde à l'hôpital, la pédiatre Alaa al-Najjar apprend qu'une maison du quartier a été visée par une frappe. "C'est comme si Alaa avait senti. Elle est sortie d'un coup de l'hôpital et s'est mise à courir vers chez elle", raconte le directeur du département de pédiatrie, Ahmed Al-Fara, dans Le Monde(Nouvelle fenêtre). "Alaa est arrivée en courant, il n'y avait pas de véhicule. Quand elle a vu les corps carbonisés, elle s'est mise à crier", décrit Ali al-Najjar. Sur place, la mère fait ses adieux à Yahya, 12 ans, Rakan, 10 ans, Eve, 9 ans, Gubran, 8 ans, Raslan, 7 ans, Rival, 5 ans, Sideen, 3 ans, Luqman, 2 ans, et Sidar, 7 mois, liste Mounir Albourche, directeur du ministère de la Santé gazaoui, administré par le Hamas, sur le réseau social X(Nouvelle fenêtre).

"Alaa est brisée"
Sahar al-Najjar est également présente : "Neuf enfants étaient brûlés, méconnaissables. Le dixième et leur père sont dans un état critique. Je n'ai pas pu reconnaître les enfants dans les linceuls. Leurs traits avaient disparu", confie-t-elle en pleurs à l'AFP. Gravement blessé, Hamdi al-Najjar est hospitalisé avec son fils Adam, 10 ans, en soins intensifs à l'hôpital Nasser. Selon des sources médicales, il a subi de multiples opérations à l'hôpital de campagne jordanien, où les médecins ont dû lui retirer une grande partie du poumon droit. Dix-sept poches de sang lui ont été transfusées. Son fils Adam a été amputé d'une main et souffre de brûlures sur tout le corps.

C'est le chirurgien britannique Graeme Groom, actuellement à l'hôpital Nasser, qui l'a opéré. "Mon dernier patient aujourd'hui était un petit garçon de 11 ans qui paraissait bien plus jeune quand je l'ai soulevé pour l'installer sur la table d'opération", raconte-t-il sur Instagram. "Le petit garçon pourrait survivre, mais nous ne savons rien de son père", a-t-il ajouté auprès de la BBC(Nouvelle fenêtre), précisant n'avoir connaissance d'"aucun lien politique ou militaire" d'Hamdi al-Najjar avec des organisations considérées comme terroristes par Israël.

"C'est une perte immense. Alaa est brisée", confie Mohammed, un proche de la famille. Mais Ali al-Najjar redoute désormais le réveil de son frère. "Je ne sais pas comment lui dire. Dois-je lui annoncer que ses enfants sont morts ? Je les ai enterrés dans deux tombes." "Il n'y a pas d'endroit sûr à Gaza, souffle-t-il. La mort est plus douce que ce supplice."

De son côté, l'armée israélienne a précisé à l'AFP qu'un de ses aéronefs avait "frappé plusieurs individus soupçonnés d'opérer depuis une structure" se trouvant à proximité de ses soldats dans cette zone. "L'affirmation concernant les dommages causés à des civils non impliqués est en cours d'examen", a-t-elle ajouté.

https://www.franceinfo.fr/monde/proche- ... =DM1105799

Vous perdez votre temps corvo.
Ce sont des attaques ciblées nous dit on.
Voilà, c'est la faute à pas de chance....

[scorpion3917]

Lorsque des armes utilisées en pleine conscience tuent femmes, enfants, vieillards et que l'émotion somme toute n'est que de circonstance nous atteignons le même degré de barbarie que les ennemis que l'on veut combattre.

Il n'y a plus d'humanité et tous ces crimes perpétrés rabaissent l homme à l'état d'animal sauvage.
Pourtant même les animaux ont une conscience et éprouvent parfois une forme de pitié.

[Corvo]

"Journée de Jérusalem" : marche et provocations ultranationalistes dans la Vieille Ville

Le ministre israélien d’extrême droite Itamar Ben Gvir a visité lundi l'esplanade des Mosquées lors de la Journée de Jérusalem, provoquant l'ire de Paris et d'Amman. Cette marche ultranationaliste sous tension intervient sur fond de guerre à Gaza. Des jeunes juifs israéliens ont scandé "Mort aux Arabes".

Un ministre israélien d'extrême droite s'est rendu dans la matinée du lundi 26 mai sur l'esplanade des Mosquées à Jérusalem, secteur occupé et annexé par Israël, au début des célébrations annuelles en Israël de la Journée de Jérusalem.

Troisième lieu saint de l'islam et site le plus sacré du judaïsme, l'esplanade est une poudrière où le moindre incident peut dégénérer au point d'embraser la région.

"Yom Yerushalaïm" ("Journée de Jérusalem" en hébreu) commémore pour les Israéliens ce qu'ils estiment être la "réunification" de la ville, depuis l'occupation de sa partie orientale en 1967.

Chaque année, à l'occasion de cette journée, des milliers de nationalistes israéliens, en majorité religieux, marchent dans les rues de Jérusalem, surtout dans la Vieille Ville, en brandissant des drapeaux israéliens, dansant, et chantant.


Pour de nombreux Palestiniens, ce défilé sous haute surveillance est perçu comme une provocation délibérée.

"Je suis monté sur le Mont du Temple pour la Journée de Jérusalem et j'ai prié pour la victoire dans la guerre (à Gaza), pour le retour de tous nos otages et pour le succès du nouveau chef du Shin Bet, le général de division David Zini. Joyeux Jour de Jérusalem !", a écrit le ministre de la Sécurité nationale israélien, Itamar Ben Gvir, dans un message sur Telegram, accompagné de photographies le montrant sur l'esplanade des Juifs.

Paris condamne une "nouvelle provocation inacceptable"
La Jordanie, qui administre l'esplanade mais dont les points d'entrée sont contrôlés par Israël depuis la prise de Jérusalem-Est en 1967, a condamné "les pratiques de ce ministre extrémiste" qui "ne remettent pas en cause le fait que Jérusalem-Est est une ville occupée".

La France a elle aussi condamné la visite d'Itamar Ben Gvir sur l'Esplanade des Mosquées, "en violation du statu quo historique des Lieux saints à Jérusalem", y voyant une "nouvelle provocation inacceptable". Paris "appelle le gouvernement israélien à prendre toutes les mesures nécessaires pour faire respecter le statu quo historique sur les Lieux saints à Jérusalem", selon une déclaration du ministère des Affaires étrangères.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a lui promis de garder Jérusalem "unifiée" sous souveraineté israélienne


https://www.france24.com/fr/moyen-orien ... ille-ville

[vivarais]

Lorsque des armes utilisées en pleine conscience tuent femmes, enfants, vieillards et que l'émotion somme toute n'est que de circonstance nous atteignons le même degré de barbarie que les ennemis que l'on veut combattre.

Il n'y a plus d'humanité et tous ces crimes perpétrés rabaissent l homme à l'état d'animal sauvage.
Pourtant même les animaux ont une conscience et éprouvent parfois une forme de pitié.

Avez vous une autre solution pour éradiquer des lâches qui se servent des femmes et de enfants comme bouclier humain
Ces lâches viennent une fois de plus de refuser une trêve et des négociations
Qui sera responsable des futurs morts qu'ils utiliseront comme bouclier humain
Israël est clair , ils élimineront les terroristes même s'ils se terrent derrière un bouclier humain ou des otages
Toutes personnes sensées sachant qu'ils seront quand même éliminée cesseraient de le faire
Mais eux persistent pensant influencer l'opinion internationale qui n'en a rien a foutre même hypocritement les politiques uniquement électoralement mais approuvent l'éradication du Hamas et autres terroristes
cela ne fait larmoyer que quelques pleureuses de toutes les façons anti sionistes
Les animaux eux savent qu'il faut éliminer ceux de leur espèces qui leur seraient nuisible
il n'y a que quelques individus qui démontre de la pitié contre tous ceux qui sont nuisibles et parasites à l'espèce humaine
Sans le Hamas et autres groupes terroristes ; les palestiniens vivraient en paix avec israel comme les autres peuples "druzes (musulmans) et chrétiens " et qui représentent 20 % de la population d'Israël
Pourquoi ce qui est possible pour 20 % serait impossible pour les palestiniens
Inconsciemment certains se font complices du Hamas par humanisme et autres groupes terroristes mais en réalité faisant le malheur des palestiniens depuis 70 ans
Si Israël voulait faire un génocide il ne ferait pas des frappes chirurgicales sur des cibles précises qui ne tuent que quelques victimes collatérales de bouclier humain

[Corvo]

Moyen-Orient. Journée de faux espoirs et de vraies menaces en Israël
Publié le 27 mai 2025 à 05h45, mis à jour le 27 mai 2025 à 05h58

Le Hamas a suggéré un accord sur un cessez-le-feu, vite démenti par les Etats-Unis alors que Benjamin Nétanyahou a semé le doute avec une déclaration sur les otages

Cessez-le-feu à Gaza ou pas ? Lundi, l’agence Reuters a rapporté que le Hamas avait accepté une trêve de soixante-dix jours en échange de la libération de dix otages. “Ce que j’ai vu est complètement inacceptable”, a vite démenti Steve Witkoff sur CNN. La proposition de l’envoyé américain dans la région est différente, a-t-il expliqué. Elle implique la libération de la moitié des otages vivants et le retour des corps d’une partie des otages tués. Les conditions pour un cessez-le-feu provisoire permettrait alors des négociations pour la fin de la guerre. “L’accord est sur la table. Le Hamas devrait s’en saisir”, a-t-il conseillé.

Autre malentendu, celui provoqué par une déclaration de Benjamin Nétanyahou à la télévision lundi soir. Le premier ministre a dit qu’il espérait avoir “quelque chose à annoncer aujourd’hui ou demain concernant les otages”. Ynet a souligné que “malgré l’optimisme apparent de Nétanyahou”, les officiels israéliens ont nuancé le propos. “C’était juste une tournure de phrase”, a assuré l’un d’entre eux.

Mais d’après Times of Israel, le premier ministre “a rendu furieuses les familles des otages”. Dans un communiqué, ces familles ont suggéré que “sur un sujet aussi délicat, on est en droit d’attendre un minimum de sensibilité et une capacité à choisir ses mots soigneusement”. Sur Twitter, la mère de l’otage Matan Zangauker a été jusqu’à parler d’un “terrorisme psychologique contre les familles”.

La proposition américaine pour un cessez-le-feu “arrive à un moment crucial de la guerre”, ajoute CNN. Tsahal prépare une nouvelle offensive sur l’enclave et a demandé aux habitants de quitter la ville de Khan Younès, où vivent de nombreux Palestiniens ayant évacué leur logement.

L’Orient-le jour rappelle qu’“Israël cherche à contrôler 75 % ” de la Bande de Gaza d’ici deux mois, contre environ 40 % aujourd’hui. Le quotidien libanais recense les quatre étapes de la stratégie israélienne : “l’élimination de la branche armée du Hamas, le démantèlement de ses structures civiles, la conquête territoriale et le contrôle total de l’aide humanitaire pour en empêcher toute récupération par le mouvement islamiste”.

Chants « meurtriers » à Jérusalem
Les attaques n’ont pas autant cessé sur la zone. El País signale qu’un bombardement sur une école, devenue refuge pour des familles déplacées, a fait 36 morts, dont 18 enfants. “Comme en d’autres occasions, le gouvernement de Benjamin Nétanyahou a confirmé l’attaque avec des communiqués dans lesquels, de manière succincte et sans faire référence aux victimes, il se vante d’avoir bombardé 200 sites comme celui-là en 48 heures pour mettre fin à des cellules présumées terroristes”, commente le journal espagnol. “Il y avait de la chair et des membres partout”, raconte un témoin dans le Middle East Eye.

C’est dans ce contexte que la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), un groupe humanitaire soutenu par les États-Unis et Israël qui ne semblent pas faire confiance à l’Onu dans la région, a commencé à distribuer de l’aide alimentaire à Gaza, note le Jerusalem Post. “Il est clair que le Hamas se sent menacé par ce nouveau modèle et fera tout ce qui est en son pouvoir pour qu’il échoue”, a indiqué la fondation dans un communiqué.

Mais le Hamas n’est pas le seul à critiquer le groupe qui “reste dans les limbes”, pointe le Washington Post. Deux des dirigeants de cette organisation privée ont démissionné, doutant de la neutralité d’un projet, qui “a fait face au scepticisme des agences humanitaires sur sa faisabilité et sa moralité depuis le début”.

De son côté, Ha’Aretz évoque une marche de Jérusalem “pleine de haine” pendant laquelle “l’extrême droite israélienne a étalé son véritable objectif pour la guerre de Gaza”. Des milliers de personnes ont défilé dans les rues de la ville, visiblement déterminées à “prouver au monde qu’Israël pratique effectivement l’apartheid, que les soldats de Tsahal sont des criminels de guerre et que le sionisme est du racisme”, regrette le journal de gauche. Il a relevé des slogans scandés comme “Mort aux Arabes” ou “Que brûlent vos villages”. Des slogans pas si nouveaux, insiste Ha’Aretz. “Ce qui est différent cette année, c’est qu’il n’y a plus de fossé entre ces chants ouvertement meurtriers et le gouvernement israélien”, affirme le quotidien.

https://www.courrierinternational.com/a ... ael_231322

[Once]

Appelons les choses par leur nom : c'est du terrorisme d'état.

"Lors de guerres les États peuvent mener des actions pouvant entrer, pour certaines, dans la définition de terrorisme. Ainsi, des bombardements massifs sur des civils, s'ils visent un objectif de terreur, peuvent être définis comme terrorisme d'État. "

Source : "Terrorisme d'Etat" : https://fr.wikipedia.org/wiki/Terrorisme_d%27%C3%89tat

Non. S'il était question de bombardements massifs sur des civils (sic) Tsahal aurait tiré à l'aveugle sur des immeubles habités et la population aurait été réduite d'un bon quart, voire davantage et non de 1,5 à 2 %.

Tsahal a détruit des immeubles entiers pour éliminer un ou deux terroristes en massacrant des dizaines de familles. Tsahal a éliminé des dizaines de journalistes et d' humanitaires visés expressément. Tsahal a détruit des écoles, des hôpitaux et des universités et toutes les infrastructures nécessaires à la vie d'une région.

Le Hamas est simplement le bon prétexte et l'opportunité géniale d'en finir avec Gaza pour Israël.

Avec l'ingénierie dont dispose Israël et sa faculté de pénétration exceptionnelle en territoire ennemi, Israël aurait pu procéder tout autrement pour " détruire" le Hamas.

On sait très bien quel est son projet à présent, il ne s'en cache plus, surtout depuis la réélection de Trump : sous prétexte de " libérer les otages" et de " détruire le Hamas" , terroriser la population civile par des bombardements massifs, l'affamer pour l'affaiblir et la pousser à un exil qui serait " volontaire". Puis reconstruire Gaza et la recoloniser.

Pour parvenir à cette fin cynique et sans pitié, la méthode est bien celle d'un terrorisme d'état que l' expression plaise ou non.

Et ce n'est pas en reprenant mot pour mot la propagande israélienne ou en chipotant sur le nombre de victimes que l'on parviendra à masquer la triste réalité des faits.

Je note en passant que vous n'avez jamais eu un seul mot de compassion pour les victimes innocentes de ce conflit à l'exception de celles qui sont israéliennes : jamais un seul.

Ce n'est pas ma position : ma compassion va autant à celles du 7 octobre, au calvaire des otages qu'à toutes les victimes palestiniennes de Gaza actuellement décimées par la plus grande puissance militaire, nucléaire, économique et politique du Proche-Orient. Voilà ce qui nous différencie.

[Mesoke]

Le pire c'est que ça fait plus d'un an qu'on dit que l'attaque du 7 octobre 2023 était un superbe casus belli pour Israël, pour légitimer un potentiel génocide à Gaza. Parce qu'on voyait déjà ce qu'Israël faisait il y a un an, qu'on entendait déjà les discours de certains de leurs dirigeants. Mais on n'était alors que des méchants antisémites pro-islamistes ...

[papibilou]

Le pire c'est que ça fait plus d'un an qu'on dit que l'attaque du 7 octobre 2023 était un superbe casus belli pour Israël, pour légitimer un potentiel génocide à Gaza. Parce qu'on voyait déjà ce qu'Israël faisait il y a un an, qu'on entendait déjà les discours de certains de leurs dirigeants. Mais on n'était alors que des méchants antisémites pro-islamistes ...

Un peu quand même.

[scorpion3917]

Le pire c'est que ça fait plus d'un an qu'on dit que l'attaque du 7 octobre 2023 était un superbe casus belli pour Israël, pour légitimer un potentiel génocide à Gaza. Parce qu'on voyait déjà ce qu'Israël faisait il y a un an, qu'on entendait déjà les discours de certains de leurs dirigeants. Mais on n'était alors que des méchants antisémites pro-islamistes ...

Un peu quand même.

Un peu quoi ?
Dénoncer des massacres à l'aveugle fait basculer dans le camp des antisémites ?
Je crois que vous mélangez les choses.
L'antisémitisme est un délit qu'il faut combattre assurément.
Là nous dénonçons et condamnons les exactions d'une armée qui sous les ordres de son 1er ministre est en roue libre ou presque. Les images parlent d'elles mêmes.
Ne faudrait il pas s'indigner et si oui sous quelle forme ?
Ce n'est pas pour autant que nous oublions le hamas et ses terroristes qui se sont livrés à une boucherie le 7 octobre sur des civils innocents et qu'ils restent des otages à libérer en souhaitant vivement qu'ils soient toujours vivants.

[papibilou]

Un peu quand même.

Un peu quoi ?
Dénoncer des massacres à l'aveugle fait basculer dans le camp des antisémites ?
Je crois que vous mélangez les choses.
L'antisémitisme est un délit qu'il faut combattre assurément.
Là nous dénonçons et condamnons les exactions d'une armée qui sous les ordres de son 1er ministre est en roue libre ou presque. Les images parlent d'elles mêmes.
Ne faudrait il pas s'indigner et si oui sous quelle forme ?
Ce n'est pas pour autant que nous oublions le hamas et ses terroristes qui se sont livrés à une boucherie le 7 octobre sur des civils innocents et qu'ils restent des otages à libérer en souhaitant vivement qu'ils soient toujours vivants.

Désolé j'ai omis de mettre une pour montrer que je faisais de l'humour.
Pour le reste, il commence à y avoir un accord général pour dire que Tsahal va trop loin maintenant.