Les approximations et contre-vérités de Sarah Knafo à propos de l’Agence française de développement

[Corvo]

Knafo a tout faux.

Dans le sillage de Donald Trump aux Etats-Unis, l’extrême droite française attaque l’aide au développement en France, qui serait coupable de «gaspiller» l’argent du contribuable. Au prix de plusieurs erreurs. L’AFD dénonce une campagne de désinformation.

Alors que le démantèlement brutal par Donald Trump d’USaid, l’agence qui gérait quelque 40 milliards de dollars (environ 38,3 milliards d’euros) d’aides dans le monde, provoque de nombreuses inquiétudes, l’extrême droite française y voit un exemple à suivre. Aussi bien le RN que Reconquête qui multiplient depuis quelques jours les attaques contre l’Agence française de développement (AFD) qui serait coupable de «gaspiller» l’argent du contribuable. Sur CNews lundi 17 février, Sarah Knafo, eurodéputée de Reconquête, qui s’était déjà illustrée par quelques propos approximatifs sur le sujet de l’aide au développement, a ainsi vivement attaqué l’action de l’AFD, s’attardant notamment sur la Chine, érigée en exemple de la gabegie du système : «On donne 130 millions d’euros par an à la Chine, première puissance économique, ça ne manque pas de saveur, alors que chez nous on manque de tout», a-t-elle lancé, évoquant deux projets en lien avec l’environnement, «la restauration écologique du district de Pingnan, province du Fujian [dans le sud-est du pays, ndlr]», et la «protection de la source du fleuve Qianjiang et le développement urbain durable de Kaihua», d’un montant respectif de 40 millions et 65 millions d’euros, pour des périodes de financement de vingt ans.

Outre la Chine, Sarah Knafo a également cité cinq autres projets, concernant d’autres pays : 151 millions d’euros pour la «budgétisation sensible au genre» en Jordanie (sur la période 2022-2025), 51 millions d’euros pour le renforcement de l’égalité de genre en Albanie (2021-2033), 30 000 euros pour le cirque comme vecteur d’avenir pour la jeunesse d’Afrique du Sud, 44 millions d’euros pour la sécurisation hydrique et alimentaire à Gaza, et enfin 600 000 euros pour un programme de préservation de l’agrobiodiversité en Algérie. «En tant que contribuable française, je trouve ça scandaleux, a conclu l’eurodéputée. On ne prend pas la mesure de ce que c’est de prendre l’argent dans la poche des Français pour aller l’envoyer comme ça au monde entier pour gaspiller dans des projets ubuesques. C’est terrifiant de voir ça. Ce qui est rassurant c’est qu’on voit avec l’exemple des Etats-Unis qu’il suffit d’un trait de plume pour aller supprimer ces folies. Il suffirait de le vouloir pour dire tout ça on arrête et on rend cet argent aux Français.» La sortie de Knafo a été reprise par différents médias, comme le Figaro, ou encore le JDD, qui évoque des «révélations chocs»… à propos de projets pourtant largement détaillés sur le site de l’AFD.

Confusion entre financement et argent public
Auprès de CheckNews, l’AFD dénonce une «campagne de désinformation». Si tous les projets évoqués sont bien réels, il est d’abord reproché à Sarah Knafo d’entretenir à dessein la confusion sur la question du financement et sur le fonctionnement de l’agence. « Il est trompeur de dire que l’AFD distribue l’argent du contribuable. L’agence fonctionne comme une banque », dit-on au sein de l’organisme. « Contrairement aux idées reçues, et à ce que suggère Sarak Knafo, l’agence ne puise pas la majorité de ses ressources dans les caisses de l’État. Ainsi, 85 % de son financement provient d’emprunts contractés auprès d’investisseurs privés, de fonds de pension ou encore de banques centrales. Seuls les 15 % restants sont des subventions publiques, notamment donc de l’État français et de l’Union européenne. »

Par ailleurs, et concernant les bénéficiaires, «Sarah Knafo assimile aussi des prêts à des dons ou des subventions, déplore-t-on au sein de l’AFD. Ainsi, pour reprendre l’exemple chinois, l’AFD ne “donne” pas des millions d’euros à la Chine, l’AFD prête des millions à un client chinois et ces millions d’euros vont nous être remboursés avec le paiement d’un taux d’intérêt.» De fait, sur le site de l’ADF, à la page «Chine», on lit explicitement : «Les projets financés par l’AFD, via des prêts aux conditions de marché, permettent de mobiliser l’expertise et les savoir-faire français au service d’une coopération avec la Chine pour la préservation de la biodiversité et la lutte contre le changement climatique. Aucune ressource du budget de l’Etat français n’est mobilisée dans ce cadre.».

Selon l’AFD, sur les 12 milliards correspondant au montant des projets validés par le conseil d’administration de l’agence, on compte environ un milliard et demi d’euros de subventions dont la gestion est déléguée à l’AFD par l’Etat français, et un milliard d’euros d’argent de dons dont l’Union européenne délègue la gestion. Le solde, soit 9,5 milliards, consiste en des prêts.

Conditions préférentielles
L’AFD dénonce cette même «confusion» entre les prêts et les dons dans la présentation de Sarah Knafo à propos des 151 millions pour la Jordanie ou des 51 millions d’euros en Albanie : «Ce sont aussi essentiellement de prêts qui vont être remboursés.» Avec une petite différence, toutefois, avec l’exemple chinois : comme cela est spécifié sur le site dans l’exposé du projet concernant le cas de la Jordanie, il s’agit d’un prêt dit «concessionnel», c’est-à-dire octroyé à des conditions préférentielles, avec un taux d’intérêt inférieur aux taux du marché.

Enfin, une partie des aides versées par l’AFD relève bien de la subvention. C’est le cas des deux projets (d’un montant nettement moindre) évoqués par Sarah Knafo en Afrique du Sud et en Algérie. C’est aussi le cas concernant l’aide à Gaza, également mentionné. Même si le montant cité par l’eurodéputé est erroné, selon l’AFD, concernant la contribution française : «La subvention de 44 millions est apportée pour partie par la France (à hauteur d’environ 13 millions), pour partie par le Fonds mondial pour l’environnement (24 millions) et pour partie par l’équivalent AFD côté irlandais (8 millions).» Une répartition que l’on retrouve sur l’une des pages de l’Agence, datant de 2019.

Au-delà des imprécisions ou erreurs de l’eurodéputée, l’AFD déplore que le principe même de l’aide au développement soit aujourd’hui attaqué, «à un niveau inédit», en résonance avec l’actualité américaine. Une inquiétude qui semble partagée par le ministre délégué chargé de la Francophonie et des Partenariats Internationaux, Thani Mohamed-Soilihi, qui a dénoncé sur X, à propos des déclarations de Sarah Knafo, des «manipulations grossières» visant l’agence.

https://www.liberation.fr/checknews/lag ... 5UCVXPUK4/

[Victor]

Je trouve qu'elle a entièrement raison de dénoncer ces gaspillages complètement délirants alors que les finances publiques françaises sont dans le rouge vif.
Merci à elle.

[Corvo]

Je trouve qu'elle a entièrement raison de dénoncer ces gaspillages complètement délirants alors que les finances publiques françaises sont dans le rouge vif.
Merci à elle.

Libre à vous de remercier une menteuse.

https://www.afd.fr/fr

[papibilou]

Knafo a tout faux.

Dans le sillage de Donald Trump aux Etats-Unis, l’extrême droite française attaque l’aide au développement en France, qui serait coupable de «gaspiller» l’argent du contribuable. Au prix de plusieurs erreurs. L’AFD dénonce une campagne de désinformation.

Alors que le démantèlement brutal par Donald Trjump d’USaid, l’agence qui gérait quelque 40 milliards de dollars (environ 38,3 milliards d’euros) d’aides dans le monde, provoque de nombreuses inquiétudes, l’extrême droite française y voit un exemple à suivre. Aussi bien le RN que Reconquête qui multiplient depuis quelques jours les attaques contre l’Agence française de développement (AFD) qui serait coupable de «gaspiller» l’argent du contribuable. Sur CNews lundi 17 février, Sarah Knafo, eurodéputée de Reconquête, qui s’était déjà illustrée par quelques propos approximatifs sur le sujet de l’aide au développement, a ainsi vivement attaqué l’action de l’AFD, s’attardant notamment sur la Chine, érigée en exemple de la gabegie du système : «On donne 130 millions d’euros par an à la Chine, première puissance économique, ça ne manque pas de saveur, alors que chez nous on manque de tout», a-t-elle lancé, évoquant deux projets en lien avec l’environnement, «la restauration écologique du district de Pingnan, province du Fujian [dans le sud-est du pays, ndlr]», et la «protection de la source du fleuve Qianjiang et le développement urbain durable de Kaihua», d’un montant respectif de 40 millions et 65 millions d’euros, pour des périodes de financement de vingt ans.

Outre la Chine, Sarah Knafo a également cité cinq autres projets, concernant d’autres pays : 151 millions d’euros pour la «budgétisation sensible au genre» en Jordanie (sur la période 2022-2025), 51 millions d’euros pour le renforcement de l’égalité de genre en Albanie (2021-2033), 30 000 euros pour le cirque comme vecteur d’avenir pour la jeunesse d’Afrique du Sud, 44 millions d’euros pour la sécurisation hydrique et alimentaire à Gaza, et enfin 600 000 euros pour un programme de préservation de l’agrobiodiversité en Algérie. «En tant que contribuable française, je trouve ça scandaleux, a conclu l’eurodéputée. On ne prend pas la mesure de ce que c’est de prendre l’argent dans la poche des Français pour aller l’envoyer comme ça au monde entier pour gaspiller dans des projets ubuesques. C’est terrifiant de voir ça. Ce qui est rassurant c’est qu’on voit avec l’exemple des Etats-Unis qu’il suffit d’un trait de plume pour aller supprimer ces folies. Il suffirait de le vouloir pour dire tout ça on arrête et on rend cet argent aux Français.» La sortie de Knafo a été reprise par différents médias, comme le Figaro, ou encore le JDD, qui évoque des «révélations chocs»… à propos de projets pourtant largement détaillés sur le site de l’AFD.

Confusion entre financement et argent public
Auprès de CheckNews, l’AFD dénonce une «campagne de désinformation». Si tous les projets évoqués sont bien réels, il est d’abord reproché à Sarah Knafo d’entretenir à dessein la confusion sur la question du financement et sur le fonctionnement de l’agence. « Il est trompeur de dire que l’AFD distribue l’argent du contribuable. L’agence fonctionne comme une banque », dit-on au sein de l’organisme. « Contrairement aux idées reçues, et à ce que suggère Sarak Knafo, l’agence ne puise pas la majorité de ses ressources dans les caisses de l’État. Ainsi, 85 % de son financement provient d’emprunts contractés auprès d’investisseurs privés, de fonds de pension ou encore de banques centrales. Seuls les 15 % restants sont des subventions publiques, notamment donc de l’État français et de l’Union européenne. »

Par ailleurs, et concernant les bénéficiaires, «Sarah Knafo assimile aussi des prêts à des dons ou des subventions, déplore-t-on au sein de l’AFD. Ainsi, pour reprendre l’exemple chinois, l’AFD ne “donne” pas des millions d’euros à la Chine, l’AFD prête des millions à un client chinois et ces millions d’euros vont nous être remboursés avec le paiement d’un taux d’intérêt.» De fait, sur le site de l’ADF, à la page «Chine», on lit explicitement : «Les projets financés par l’AFD, via des prêts aux conditions de marché, permettent de mobiliser l’expertise et les savoir-faire français au service d’une coopération avec la Chine pour la préservation de la biodiversité et la lutte contre le changement climatique. Aucune ressource du budget de l’Etat français n’est mobilisée dans ce cadre.».

Selon l’AFD, sur les 12 milliards correspondant au montant des projets validés par le conseil d’administration de l’agence, on compte environ un milliard et demi d’euros de subventions dont la gestion est déléguée à l’AFD par l’Etat français, et un milliard d’euros d’argent de dons dont l’Union européenne délègue la gestion. Le solde, soit 9,5 milliards, consiste en des prêts.

Conditions préférentielles
L’AFD dénonce cette même «confusion» entre les prêts et les dons dans la présentation de Sarah Knafo à propos des 151 millions pour la Jordanie ou des 51 millions d’euros en Albanie : «Ce sont aussi essentiellement de prêts qui vont être remboursés.» Avec une petite différence, toutefois, avec l’exemple chinois : comme cela est spécifié sur le site dans l’exposé du projet concernant le cas de la Jordanie, il s’agit d’un prêt dit «concessionnel», c’est-à-dire octroyé à des conditions préférentielles, avec un taux d’intérêt inférieur aux taux du marché.

Enfin, une partie des aides versées par l’AFD relève bien de la subvention. C’est le cas des deux projets (d’un montant nettement moindre) évoqués par Sarah Knafo en Afrique du Sud et en Algérie. C’est aussi le cas concernant l’aide à Gaza, également mentionné. Même si le montant cité par l’eurodéputé est erroné, selon l’AFD, concernant la contribution française : «La subvention de 44 millions est apportée pour partie par la France (à hauteur d’environ 13 millions), pour partie par le Fonds mondial pour l’environnement (24 millions) et pour partie par l’équivalent AFD côté irlandais (8 millions).» Une répartition que l’on retrouve sur l’une des pages de l’Agence, datant de 2019.

Au-delà des imprécisions ou erreurs de l’eurodéputée, l’AFD déplore que le principe même de l’aide au développement soit aujourd’hui attaqué, «à un niveau inédit», en résonance avec l’actualité américaine. Une inquiétude qui semble partagée par le ministre délégué chargé de la Francophonie et des Partenariats Internationaux, Thani Mohamed-Soilihi, qui a dénoncé sur X, à propos des déclarations de Sarah Knafo, des «manipulations grossières» visant l’agence.

https://www.liberation.fr/checknews/lag ... 5UCVXPUK4/

Non, elle n'a pas tout faux.
D'abord parce qu'il y a bien une partie d'argent public.
Ensuite parce que certains projets restent d'un intérêt douteux.
Prenons quelques exemples:
- La fondation pour la mémoire de l'esclavage. subvention près d'1 million.
- Accès au droit sexuel pour les jeunes dans la Sierra Leone subvention 1,4 millions.
- Programme en faveur de l'abolition de la peine de mort, 1,4 millions.
- en Afrique et au Moyen-Orient, soutien des jeunes féministes pour des sociétés justes et inclusives. subvention : 2 805 000 €.

L'AFD est une de ces multiples agences suceuses de fric dans lesquelles il ne serait pas inutile de faire un gros ménage. La Chine a-t-elle besoin d'un prêt de l'AFD pour s'attaquer au changement climatique ?
https://data.aide-developpement.gouv.fr ... fres_cles/

[Victor]

Knafo a tout faux.

Dans le sillage de Donald Trump aux Etats-Unis, l’extrême droite française attaque l’aide au développement en France, qui serait coupable de «gaspiller» l’argent du contribuable. Au prix de plusieurs erreurs. L’AFD dénonce une campagne de désinformation.

Alors que le démantèlement brutal par Donald Trjump d’USaid, l’agence qui gérait quelque 40 milliards de dollars (environ 38,3 milliards d’euros) d’aides dans le monde, provoque de nombreuses inquiétudes, l’extrême droite française y voit un exemple à suivre. Aussi bien le RN que Reconquête qui multiplient depuis quelques jours les attaques contre l’Agence française de développement (AFD) qui serait coupable de «gaspiller» l’argent du contribuable. Sur CNews lundi 17 février, Sarah Knafo, eurodéputée de Reconquête, qui s’était déjà illustrée par quelques propos approximatifs sur le sujet de l’aide au développement, a ainsi vivement attaqué l’action de l’AFD, s’attardant notamment sur la Chine, érigée en exemple de la gabegie du système : «On donne 130 millions d’euros par an à la Chine, première puissance économique, ça ne manque pas de saveur, alors que chez nous on manque de tout», a-t-elle lancé, évoquant deux projets en lien avec l’environnement, «la restauration écologique du district de Pingnan, province du Fujian [dans le sud-est du pays, ndlr]», et la «protection de la source du fleuve Qianjiang et le développement urbain durable de Kaihua», d’un montant respectif de 40 millions et 65 millions d’euros, pour des périodes de financement de vingt ans.

Outre la Chine, Sarah Knafo a également cité cinq autres projets, concernant d’autres pays : 151 millions d’euros pour la «budgétisation sensible au genre» en Jordanie (sur la période 2022-2025), 51 millions d’euros pour le renforcement de l’égalité de genre en Albanie (2021-2033), 30 000 euros pour le cirque comme vecteur d’avenir pour la jeunesse d’Afrique du Sud, 44 millions d’euros pour la sécurisation hydrique et alimentaire à Gaza, et enfin 600 000 euros pour un programme de préservation de l’agrobiodiversité en Algérie. «En tant que contribuable française, je trouve ça scandaleux, a conclu l’eurodéputée. On ne prend pas la mesure de ce que c’est de prendre l’argent dans la poche des Français pour aller l’envoyer comme ça au monde entier pour gaspiller dans des projets ubuesques. C’est terrifiant de voir ça. Ce qui est rassurant c’est qu’on voit avec l’exemple des Etats-Unis qu’il suffit d’un trait de plume pour aller supprimer ces folies. Il suffirait de le vouloir pour dire tout ça on arrête et on rend cet argent aux Français.» La sortie de Knafo a été reprise par différents médias, comme le Figaro, ou encore le JDD, qui évoque des «révélations chocs»… à propos de projets pourtant largement détaillés sur le site de l’AFD.

Confusion entre financement et argent public
Auprès de CheckNews, l’AFD dénonce une «campagne de désinformation». Si tous les projets évoqués sont bien réels, il est d’abord reproché à Sarah Knafo d’entretenir à dessein la confusion sur la question du financement et sur le fonctionnement de l’agence. « Il est trompeur de dire que l’AFD distribue l’argent du contribuable. L’agence fonctionne comme une banque », dit-on au sein de l’organisme. « Contrairement aux idées reçues, et à ce que suggère Sarak Knafo, l’agence ne puise pas la majorité de ses ressources dans les caisses de l’État. Ainsi, 85 % de son financement provient d’emprunts contractés auprès d’investisseurs privés, de fonds de pension ou encore de banques centrales. Seuls les 15 % restants sont des subventions publiques, notamment donc de l’État français et de l’Union européenne. »

Par ailleurs, et concernant les bénéficiaires, «Sarah Knafo assimile aussi des prêts à des dons ou des subventions, déplore-t-on au sein de l’AFD. Ainsi, pour reprendre l’exemple chinois, l’AFD ne “donne” pas des millions d’euros à la Chine, l’AFD prête des millions à un client chinois et ces millions d’euros vont nous être remboursés avec le paiement d’un taux d’intérêt.» De fait, sur le site de l’ADF, à la page «Chine», on lit explicitement : «Les projets financés par l’AFD, via des prêts aux conditions de marché, permettent de mobiliser l’expertise et les savoir-faire français au service d’une coopération avec la Chine pour la préservation de la biodiversité et la lutte contre le changement climatique. Aucune ressource du budget de l’Etat français n’est mobilisée dans ce cadre.».

Selon l’AFD, sur les 12 milliards correspondant au montant des projets validés par le conseil d’administration de l’agence, on compte environ un milliard et demi d’euros de subventions dont la gestion est déléguée à l’AFD par l’Etat français, et un milliard d’euros d’argent de dons dont l’Union européenne délègue la gestion. Le solde, soit 9,5 milliards, consiste en des prêts.

Conditions préférentielles
L’AFD dénonce cette même «confusion» entre les prêts et les dons dans la présentation de Sarah Knafo à propos des 151 millions pour la Jordanie ou des 51 millions d’euros en Albanie : «Ce sont aussi essentiellement de prêts qui vont être remboursés.» Avec une petite différence, toutefois, avec l’exemple chinois : comme cela est spécifié sur le site dans l’exposé du projet concernant le cas de la Jordanie, il s’agit d’un prêt dit «concessionnel», c’est-à-dire octroyé à des conditions préférentielles, avec un taux d’intérêt inférieur aux taux du marché.

Enfin, une partie des aides versées par l’AFD relève bien de la subvention. C’est le cas des deux projets (d’un montant nettement moindre) évoqués par Sarah Knafo en Afrique du Sud et en Algérie. C’est aussi le cas concernant l’aide à Gaza, également mentionné. Même si le montant cité par l’eurodéputé est erroné, selon l’AFD, concernant la contribution française : «La subvention de 44 millions est apportée pour partie par la France (à hauteur d’environ 13 millions), pour partie par le Fonds mondial pour l’environnement (24 millions) et pour partie par l’équivalent AFD côté irlandais (8 millions).» Une répartition que l’on retrouve sur l’une des pages de l’Agence, datant de 2019.

Au-delà des imprécisions ou erreurs de l’eurodéputée, l’AFD déplore que le principe même de l’aide au développement soit aujourd’hui attaqué, «à un niveau inédit», en résonance avec l’actualité américaine. Une inquiétude qui semble partagée par le ministre délégué chargé de la Francophonie et des Partenariats Internationaux, Thani Mohamed-Soilihi, qui a dénoncé sur X, à propos des déclarations de Sarah Knafo, des «manipulations grossières» visant l’agence.

https://www.liberation.fr/checknews/lag ... 5UCVXPUK4/

Non, elle n'a pas tout faux.
D'abord parce qu'il y a bien une partie d'argent public.
Ensuite parce que certains projets restent d'un intérêt douteux.
Prenons quelques exemples:
- La fondation pour la mémoire de l'esclavage. subvention près d'1 million.
- Accès au droit sexuel pour les jeunes dans la Sierra Leone subvention 1,4 millions.
- Programme en faveur de l'abolition de la peine de mort, 1,4 millions.
- en Afrique et au Moyen-Orient, soutien des jeunes féministes pour des sociétés justes et inclusives. subvention : 2 805 000 €.

L'AFD est une de ces multiples agences suceuses de fric dans lesquelles il ne serait pas inutile de faire un gros ménage. La Chine a-t-elle besoin d'un prêt de l'AFD pour s'attaquer au changement climatique ?
https://data.aide-developpement.gouv.fr ... fres_cles/

Cela permet l'embauche de copains et copines (bien payées) dans ces structures et malheureusement financées avec notre argent.

[vivarais]

Je trouve qu'elle a entièrement raison de dénoncer ces gaspillages complètement délirants alors que les finances publiques françaises sont dans le rouge vif.
Merci à elle.

Libre à vous de remercier une menteuse.

https://www.afd.fr/fr

Dans le sillage de Donald Trump aux Etats-Unis, l’extrême droite française attaque l’aide au développement en France, qui serait coupable de «gaspiller» l’argent du contribuable.
Est ce faux lorsque l'on voit que la france a été chassé par les pays du sahel
Vous croyez par exemple que le Niger va nous indemniser pour les infrastructures des mines d'uranium
En côte d'ivoire pour le lycée français qu'ils ont brulés 4 fois et que l'on a reconstruit
Pour les infrastructures portuaires de Dakar
ETC ETC ETC
Je vous fais grâce de toutes les bases militaires que l'on a rétrocédé en étant obligé de partir
Il ne suffit que ce soit une personne qui le dise pour selon que ce soit faux ou vrai
Si vous voulez 50 ou 10 exemples d ce qui a été fait avec l'argent du contribuable français il suffit de demander
Je vous fait grâce des investissements privés , c'est bien fait pour leur gueule ; je l'ai toujours dit "il y a des pays où il ne faut jamais investir

[vivarais]

Non, elle n'a pas tout faux.
D'abord parce qu'il y a bien une partie d'argent public.
Ensuite parce que certains projets restent d'un intérêt douteux.
Prenons quelques exemples:
- La fondation pour la mémoire de l'esclavage. subvention près d'1 million.
- Accès au droit sexuel pour les jeunes dans la Sierra Leone subvention 1,4 millions.
- Programme en faveur de l'abolition de la peine de mort, 1,4 millions.
- en Afrique et au Moyen-Orient, soutien des jeunes féministes pour des sociétés justes et inclusives. subvention : 2 805 000 €.

L'AFD est une de ces multiples agences suceuses de fric dans lesquelles il ne serait pas inutile de faire un gros ménage. La Chine a-t-elle besoin d'un prêt de l'AFD pour s'attaquer au changement climatique ?
https://data.aide-developpement.gouv.fr ... fres_cles/

Cela permet l'embauche de copains et copines (bien payées) dans ces structures et malheureusement financées avec notre argent.

Mais ces copains et copines maintenant qu'ils nous ont chassé ; il faut créer des postes pour les embaucher

[UBUROI]

Je trouve qu'elle a entièrement raison de dénoncer ces gaspillages complètement délirants alors que les finances publiques françaises sont dans le rouge vif.
Merci à elle.

Oh non! T'en fais trop là. Tu la surjoues Musk. Trop gros.

[Patchouli38]

Tout ceux qui critiquent l'AFD ne se donnent même pas la peine d'aller sur le site de cette agence. Non, ça préfère applaudir les paroles d'une élue blablatant des approximations, des erreurs et des confusions.

Alors, pour les curieux, voici le lien menant au site de l'AFD ou vous obtiendrez tous les renseignements que vous cherchez sur l'utilité de ces aides.

Sarah Knafo nous fait du trumpisme, ni plus ni moins et ne sait même pas de quoi elle parle.

https://www.afd.fr/fr

[vivarais]

Je trouve qu'elle a entièrement raison de dénoncer ces gaspillages complètement délirants alors que les finances publiques françaises sont dans le rouge vif.
Merci à elle.

Oh non! T'en fais trop là. Tu la surjoues Musk. Trop gros.

il y a des vérités dérangeantes qui pour vous sont aussi dérangeantes lorsqu'elles viennent de la macronie
Je vous en cite une venant de Macron : On a même oublié de dire merci
https://www.20minutes.fr/politique/4132 ... se-afrique
Les militaires français présent en Afrique c'est bien les contribuables qui les payaient sur le budget de la défense nationale
Il y a des faux culs et macron malgré ses défauts à la qualité de dires les choses comme elles le sont réellement
Si c'était un de vos nouveaux dieux qui l'avait dit ; vous l'affirmeriez aussi
Sarah Knafo a dit vrai et macron aussi ne vous en déplaise

[papibilou]

Tout ceux qui critiquent l'AFD ne se donnent même pas la peine d'aller sur le site de cette agence. Non, ça préfère applaudir les paroles d'une élue blablatant des approximations, des erreurs et des confusions.

Alors, pour les curieux, voici le lien menant au site de l'AFD ou vous obtiendrez tous les renseignements que vous cherchez sur l'utilité de ces aides.

Sarah Knafo nous fait du trumpisme, ni plus ni moins et ne sait même pas de quoi elle parle.

https://www.afd.fr/fr

Je suis allé sur ce site avant votre message. Mais si vous espérez y trouver un espace de débat pour ou contre les projets présentés vous ne trouverez rien: normal. Dans un message un peu plus haut j'ai détaillé certains de ses projets dont l'utilité ne me paraît pas aussi incontestable que vous le croyez.
Knafo pousse le bouchon mais pas forcément dans la mauvaise direction. Surveiller de près entre autres l'utilisation de l'argent du contribuable n'est pas forcément faire du trumpisme mais de la bonne gestion.

[da capo]

Tout ceux qui critiquent l'AFD ne se donnent même pas la peine d'aller sur le site de cette agence.

Normal, c'est la dernière source à consulter, vu qu'un portail d'agence sur le web n'est que la vitrine de ses prétendus mérites où l'on ne risque pas de trouver la moindre réserve sur la pertinence de ses missions, dont les plus farfelues.

[Corvo]

Knafo a tout faux.

Dans le sillage de Donald Trump aux Etats-Unis, l’extrême droite française attaque l’aide au développement en France, qui serait coupable de «gaspiller» l’argent du contribuable. Au prix de plusieurs erreurs. L’AFD dénonce une campagne de désinformation.

Alors que le démantèlement brutal par Donald Trjump d’USaid, l’agence qui gérait quelque 40 milliards de dollars (environ 38,3 milliards d’euros) d’aides dans le monde, provoque de nombreuses inquiétudes, l’extrême droite française y voit un exemple à suivre. Aussi bien le RN que Reconquête qui multiplient depuis quelques jours les attaques contre l’Agence française de développement (AFD) qui serait coupable de «gaspiller» l’argent du contribuable. Sur CNews lundi 17 février, Sarah Knafo, eurodéputée de Reconquête, qui s’était déjà illustrée par quelques propos approximatifs sur le sujet de l’aide au développement, a ainsi vivement attaqué l’action de l’AFD, s’attardant notamment sur la Chine, érigée en exemple de la gabegie du système : «On donne 130 millions d’euros par an à la Chine, première puissance économique, ça ne manque pas de saveur, alors que chez nous on manque de tout», a-t-elle lancé, évoquant deux projets en lien avec l’environnement, «la restauration écologique du district de Pingnan, province du Fujian [dans le sud-est du pays, ndlr]», et la «protection de la source du fleuve Qianjiang et le développement urbain durable de Kaihua», d’un montant respectif de 40 millions et 65 millions d’euros, pour des périodes de financement de vingt ans.

Outre la Chine, Sarah Knafo a également cité cinq autres projets, concernant d’autres pays : 151 millions d’euros pour la «budgétisation sensible au genre» en Jordanie (sur la période 2022-2025), 51 millions d’euros pour le renforcement de l’égalité de genre en Albanie (2021-2033), 30 000 euros pour le cirque comme vecteur d’avenir pour la jeunesse d’Afrique du Sud, 44 millions d’euros pour la sécurisation hydrique et alimentaire à Gaza, et enfin 600 000 euros pour un programme de préservation de l’agrobiodiversité en Algérie. «En tant que contribuable française, je trouve ça scandaleux, a conclu l’eurodéputée. On ne prend pas la mesure de ce que c’est de prendre l’argent dans la poche des Français pour aller l’envoyer comme ça au monde entier pour gaspiller dans des projets ubuesques. C’est terrifiant de voir ça. Ce qui est rassurant c’est qu’on voit avec l’exemple des Etats-Unis qu’il suffit d’un trait de plume pour aller supprimer ces folies. Il suffirait de le vouloir pour dire tout ça on arrête et on rend cet argent aux Français.» La sortie de Knafo a été reprise par différents médias, comme le Figaro, ou encore le JDD, qui évoque des «révélations chocs»… à propos de projets pourtant largement détaillés sur le site de l’AFD.

Confusion entre financement et argent public
Auprès de CheckNews, l’AFD dénonce une «campagne de désinformation». Si tous les projets évoqués sont bien réels, il est d’abord reproché à Sarah Knafo d’entretenir à dessein la confusion sur la question du financement et sur le fonctionnement de l’agence. « Il est trompeur de dire que l’AFD distribue l’argent du contribuable. L’agence fonctionne comme une banque », dit-on au sein de l’organisme. « Contrairement aux idées reçues, et à ce que suggère Sarak Knafo, l’agence ne puise pas la majorité de ses ressources dans les caisses de l’État. Ainsi, 85 % de son financement provient d’emprunts contractés auprès d’investisseurs privés, de fonds de pension ou encore de banques centrales. Seuls les 15 % restants sont des subventions publiques, notamment donc de l’État français et de l’Union européenne. »

Par ailleurs, et concernant les bénéficiaires, «Sarah Knafo assimile aussi des prêts à des dons ou des subventions, déplore-t-on au sein de l’AFD. Ainsi, pour reprendre l’exemple chinois, l’AFD ne “donne” pas des millions d’euros à la Chine, l’AFD prête des millions à un client chinois et ces millions d’euros vont nous être remboursés avec le paiement d’un taux d’intérêt.» De fait, sur le site de l’ADF, à la page «Chine», on lit explicitement : «Les projets financés par l’AFD, via des prêts aux conditions de marché, permettent de mobiliser l’expertise et les savoir-faire français au service d’une coopération avec la Chine pour la préservation de la biodiversité et la lutte contre le changement climatique. Aucune ressource du budget de l’Etat français n’est mobilisée dans ce cadre.».

Selon l’AFD, sur les 12 milliards correspondant au montant des projets validés par le conseil d’administration de l’agence, on compte environ un milliard et demi d’euros de subventions dont la gestion est déléguée à l’AFD par l’Etat français, et un milliard d’euros d’argent de dons dont l’Union européenne délègue la gestion. Le solde, soit 9,5 milliards, consiste en des prêts.

Conditions préférentielles
L’AFD dénonce cette même «confusion» entre les prêts et les dons dans la présentation de Sarah Knafo à propos des 151 millions pour la Jordanie ou des 51 millions d’euros en Albanie : «Ce sont aussi essentiellement de prêts qui vont être remboursés.» Avec une petite différence, toutefois, avec l’exemple chinois : comme cela est spécifié sur le site dans l’exposé du projet concernant le cas de la Jordanie, il s’agit d’un prêt dit «concessionnel», c’est-à-dire octroyé à des conditions préférentielles, avec un taux d’intérêt inférieur aux taux du marché.

Enfin, une partie des aides versées par l’AFD relève bien de la subvention. C’est le cas des deux projets (d’un montant nettement moindre) évoqués par Sarah Knafo en Afrique du Sud et en Algérie. C’est aussi le cas concernant l’aide à Gaza, également mentionné. Même si le montant cité par l’eurodéputé est erroné, selon l’AFD, concernant la contribution française : «La subvention de 44 millions est apportée pour partie par la France (à hauteur d’environ 13 millions), pour partie par le Fonds mondial pour l’environnement (24 millions) et pour partie par l’équivalent AFD côté irlandais (8 millions).» Une répartition que l’on retrouve sur l’une des pages de l’Agence, datant de 2019.

Au-delà des imprécisions ou erreurs de l’eurodéputée, l’AFD déplore que le principe même de l’aide au développement soit aujourd’hui attaqué, «à un niveau inédit», en résonance avec l’actualité américaine. Une inquiétude qui semble partagée par le ministre délégué chargé de la Francophonie et des Partenariats Internationaux, Thani Mohamed-Soilihi, qui a dénoncé sur X, à propos des déclarations de Sarah Knafo, des «manipulations grossières» visant l’agence.

https://www.liberation.fr/checknews/lag ... 5UCVXPUK4/

Non, elle n'a pas tout faux.
D'abord parce qu'il y a bien une partie d'argent public.
Ensuite parce que certains projets restent d'un intérêt douteux.
Prenons quelques exemples:
- La fondation pour la mémoire de l'esclavage. subvention près d'1 million.
- Accès au droit sexuel pour les jeunes dans la Sierra Leone subvention 1,4 millions.
- Programme en faveur de l'abolition de la peine de mort, 1,4 millions.
- en Afrique et au Moyen-Orient, soutien des jeunes féministes pour des sociétés justes et inclusives. subvention : 2 805 000 €.

L'AFD est une de ces multiples agences suceuses de fric dans lesquelles il ne serait pas inutile de faire un gros ménage. La Chine a-t-elle besoin d'un prêt de l'AFD pour s'attaquer au changement climatique ?
https://data.aide-developpement.gouv.fr ... fres_cles/

C'est peut-être ça que vous voulez.
L’extrême droite rêve de copier Musk aux États-Unis et s’attaque à l’Agence Française de Développement
À l’image du désossage de l’Agence américaine pour le développement engagé par l’administration Trump, l’extrême droite française souhaite le même avenir pour l’AFD.

https://www.huffingtonpost.fr/politique ... 46346.html

[vivarais]

Non, elle n'a pas tout faux.
D'abord parce qu'il y a bien une partie d'argent public.
Ensuite parce que certains projets restent d'un intérêt douteux.
Prenons quelques exemples:
- La fondation pour la mémoire de l'esclavage. subvention près d'1 million.
- Accès au droit sexuel pour les jeunes dans la Sierra Leone subvention 1,4 millions.
- Programme en faveur de l'abolition de la peine de mort, 1,4 millions.
- en Afrique et au Moyen-Orient, soutien des jeunes féministes pour des sociétés justes et inclusives. subvention : 2 805 000 €.

L'AFD est une de ces multiples agences suceuses de fric dans lesquelles il ne serait pas inutile de faire un gros ménage. La Chine a-t-elle besoin d'un prêt de l'AFD pour s'attaquer au changement climatique ?
https://data.aide-developpement.gouv.fr ... fres_cles/

C'est peut-être ça que vous voulez.
L’extrême droite rêve de copier Musk aux États-Unis et s’attaque à l’Agence Française de Développement
À l’image du désossage de l’Agence américaine pour le développement engagé par l’administration Trump, l’extrême droite française souhaite le même avenir pour l’AFD.

https://www.huffingtonpost.fr/politique ... 46346.html

Votre comparatif est faux l'agence française au développement participe à l'évasion de capitaux que nous n'avons pas et que nous empruntons pour cela
alors que Musk en bon gestionnaire fait économiser sur le budget de l'état pour ce qui est inutile pour les USA

Les pays qui reçoivent cette aide avec de finances que nus n'avons pas ; ne peuvent ils pas eux même emprunter eux même
Cela fait plus de 60 ans que cette agence au développement existe sans qu'il y ait un quelconque résultat amis au contraire cela empire
Comme il n'y a aucun résultat au développement nous devons supporter aussi une immigration économique (clandestine) venant de ces pays
S'il y avait développement économique , les gens resteraient chez eux
Ce sujet devenu médiatique permet de faire sortir la poussière que depuis toujours on cache sous le tapis
Il y a des débats "non d'extrême droite" mais médiatiques d'experts à neutralité politique comme dans C dans l'air qui révèlent le vrai du faux sans idéologie politique
Voici le montant des sommes que nous avons du emprunter parce que nous ne l'avons pas et que le contribuable français devra rembourser un jour génération aprés génération en sus des interets
L’APD française a dépassé pour la première fois le seuil des 10 milliards d’euros en 2017, pour s’établir à :

10,3 milliards d’euros en 2018 (0,43% du revenu national brut ou RNB) ;
10,9 milliards d’euros en 2019 (0,44% du RNB) ;
12,4 milliards d’euros en 2020 (0,53% du RNB)
13,1 milliards d’euros en 2021 (0,51 % du RNB)
15,1 milliards d’euros en 2022 (0,56 % du RNB) – données préliminaires
La France est le 4ème bailleur du Comité d’aide au développement (CAD) de l’OCDE (données du CAD de l’OCDE).

Sur 60 ans cela représente 600 milliards et pour quel résultat à la clé
même si vous ne payez d'impôts sur le revenus , vous y contribuez au remboursement de l'emprunt quand même avec le restant des % du taux d'imposition
Plus moi
4 ième bailleur et pendant que la france s'endette de plus en plus d'autres s'enrichissent en ne participant pas à cette gabegie

[Corvo]

C'est peut-être ça que vous voulez.
L’extrême droite rêve de copier Musk aux États-Unis et s’attaque à l’Agence Française de Développement
À l’image du désossage de l’Agence américaine pour le développement engagé par l’administration Trump, l’extrême droite française souhaite le même avenir pour l’AFD.

https://www.huffingtonpost.fr/politique ... 46346.html

Votre comparatif est faux l'agence française au développement participe à l'évasion de capitaux que nous n'avons pas et que nous empruntons pour cela
alors que Musk en bon gestionnaire fait économiser sur le budget de l'état pour ce qui est inutile pour les USA

Les pays qui reçoivent cette aide avec de finances que nus n'avons pas ; ne peuvent ils pas eux même emprunter eux même
Cela fait plus de 60 ans que cette agence au développement existe sans qu'il y ait un quelconque résultat amis au contraire cela empire
Comme il n'y a aucun résultat au développement nous devons supporter aussi une immigration économique (clandestine) venant de ces pays
S'il y avait développement économique , les gens resteraient chez eux
Ce sujet devenu médiatique permet de faire sortir la poussière que depuis toujours on cache sous le tapis
Il y a des débats "non d'extrême droite" mais médiatiques d'experts à neutralité politique comme dans C dans l'air qui révèlent le vrai du faux sans idéologie politique
Voici le montant des sommes que nous avons du emprunter parce que nous ne l'avons pas et que le contribuable français devra rembourser un jour génération aprés génération en sus des interets
L’APD française a dépassé pour la première fois le seuil des 10 milliards d’euros en 2017, pour s’établir à :

10,3 milliards d’euros en 2018 (0,43% du revenu national brut ou RNB) ;
10,9 milliards d’euros en 2019 (0,44% du RNB) ;
12,4 milliards d’euros en 2020 (0,53% du RNB)
13,1 milliards d’euros en 2021 (0,51 % du RNB)
15,1 milliards d’euros en 2022 (0,56 % du RNB) – données préliminaires
La France est le 4ème bailleur du Comité d’aide au développement (CAD) de l’OCDE (données du CAD de l’OCDE).

Sur 60 ans cela représente 600 milliards et pour quel résultat à la clé
même si vous ne payez d'impôts sur le revenus , vous y contribuez au remboursement de l'emprunt quand même avec le restant des % du taux d'imposition
Plus moi
4 ième bailleur et pendant que la france s'endette de plus en plus d'autres s'enrichissent en ne participant pas à cette gabegie