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La preuve que si.
Crapulax a écrit : ↑03 juillet 2020 16:06..Bah...Ne vous en faites pas pour Monsieur Fillon en ce qui concerne les condamnations financières..Il est parti avec la cagnotte présidentielle qui avoisinait les 3,5 millions d'euros..
.....Devant le tollé suscité dans son ancien parti il avait eu "la bonté" de reverser 900 000 euros à ce dernier...Il n'y a pas à dire..C'est un homme de principe Monsieur Fillon..
Vous pouvez tenter d'être plus clair dans vos questions où est-ce pour vous : https://www.youtube.com/watch?v=f7Kz_TD140A
C'est aussi là qu'il faut se poser la question sur le logiciel idéologique de la droite républicaine..En regardant de prés on s'aperçoit qu'avec la "disparition" de la Gauche la Droite a dû mal elle aussi à exister...Parce qu'elle est axée sur cette opposition..Et que sans cette dernière elle ne peut réellement "exister" dans le débat politique.Aprés le meeting de Paris (dernier sursaut ) qui a du couter la peau des fesses …il se tire avec le fric de L' UMP…
C'est a mourir de rire .. Et il y en a quand même cherchent des failles …dans l'espoir d'avoir un ministère ..en 2037…
Corvo a écrit : ↑04 juillet 2020 19:23Vous pouvez tenter d'être plus clair dans vos questions où est-ce pour vous : https://www.youtube.com/watch?v=f7Kz_TD140A
Source:Le Parisien.
Le CSM, organe indépendant, avait été saisi en juin par Emmanuel Macron après l'« émoi » suscité par des déclarations de l'ancienne cheffe du PNF Eliane Houlette, qui avait dénoncé des « pressions » de la part de sa hiérarchie dans la conduite des investigations, ravivant des accusations d'« instrumentalisation » de la justice.
Pas de « pression »:
Entendue en juin par une commission d'enquête parlementaire sur l'indépendance de la justice, Eliane Houlette avait assuré avoir décidé en toute indépendance, en janvier 2017, une enquête visant les époux Fillon après des soupçons d'emplois fictifs révélés par le Canard enchaîné.
Mais l'ancienne procureure nationale financière, aujourd'hui à la retraite, s'était aussi émue du « contrôle très étroit » exercé selon elle par le parquet général, son autorité de tutelle directe, dans cette enquête lancée en pleine campagne présidentielle.
Le chef de l'Etat avait donc chargé le CSM d'« analyser si le parquet national financier a pu exercer son activité en toute sérénité, sans pression », afin de « lever tout doute sur l'indépendance et l'impartialité de la justice dans cette affaire ».
« Il n'apparaît pas que des pressions aient été exercées sur les magistrats du parquet général […] ou du PNF par le garde des Sceaux, son cabinet ou la DACG (Direction des affaires criminelles et des grâces, NDLR) », considère le CSM dans son avis remis à Emmanuel Macron mardi et publié mercredi.
…Mais une « attention particulière »:
« Une attention particulière a pu être portée, à tous les échelons de la chaîne hiérarchique, à une affaire comportant un enjeu démocratique majeur, mais cette attention n'a conduit le pouvoir exécutif ni à formuler la moindre instruction à l'adresse de l'autorité judiciaire, ni même à solliciter des remontées d'informations dans une mesure dépassant substantiellement la pratique usuelle », poursuit l'institution.
Si des « tensions » ont marqué les relations entre le parquet général et le PNF, note le CSM, « le terme de pression ne doit pas être entendu ici au sens d'influence coercitive mais plutôt au sens de source de stress ».
Pour lever les « incompréhensions » suscitées par les propos d'Eliane Houlette, le CSM propose « une double réforme de structure : une rationalisation des remontées d'informations entre les parquets et le ministère de la justice, et une consolidation du statut du ministère public ».
L'ancien Premier ministre François Fillon a été condamné le 29 juin dernier à Paris à cinq ans d'emprisonnement, dont deux ferme, et à une lourde amende, pour les emplois fictifs de son épouse Penelope.
Crapulax a écrit : ↑16 septembre 2020 14:37.......................................Affaire Fillon: «La justice a fonctionné de façon indépendante», estime le CSM...................................
D’après le Conseil supérieur de la magistrature, le terme de « pression », prononcé à l’endroit de la hiérarchie judiciaire, ne doit pas être entendu « au sens d’influence coercitive mais plutôt au sens de source de stress ».
L’ancien Premier ministre François Fillon a été condamné le 29 juin 2020 à Paris à cinq ans de prison, dont deux ferme.
Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) a estimé qu'aucune « pression » du pouvoir exécutif n'avait été exercée sur le parquet national financier (PNF) dans l'enquête sur les époux Fillon, menée de « façon indépendante », dans un avis rendu public mercredi.
Source:Le Parisien.
Le CSM, organe indépendant, avait été saisi en juin par Emmanuel Macron après l'« émoi » suscité par des déclarations de l'ancienne cheffe du PNF Eliane Houlette, qui avait dénoncé des « pressions » de la part de sa hiérarchie dans la conduite des investigations, ravivant des accusations d'« instrumentalisation » de la justice.
Pas de « pression »:
Entendue en juin par une commission d'enquête parlementaire sur l'indépendance de la justice, Eliane Houlette avait assuré avoir décidé en toute indépendance, en janvier 2017, une enquête visant les époux Fillon après des soupçons d'emplois fictifs révélés par le Canard enchaîné.
Mais l'ancienne procureure nationale financière, aujourd'hui à la retraite, s'était aussi émue du « contrôle très étroit » exercé selon elle par le parquet général, son autorité de tutelle directe, dans cette enquête lancée en pleine campagne présidentielle.
Le chef de l'Etat avait donc chargé le CSM d'« analyser si le parquet national financier a pu exercer son activité en toute sérénité, sans pression », afin de « lever tout doute sur l'indépendance et l'impartialité de la justice dans cette affaire ».
« Il n'apparaît pas que des pressions aient été exercées sur les magistrats du parquet général […] ou du PNF par le garde des Sceaux, son cabinet ou la DACG (Direction des affaires criminelles et des grâces, NDLR) », considère le CSM dans son avis remis à Emmanuel Macron mardi et publié mercredi.
…Mais une « attention particulière »:
« Une attention particulière a pu être portée, à tous les échelons de la chaîne hiérarchique, à une affaire comportant un enjeu démocratique majeur, mais cette attention n'a conduit le pouvoir exécutif ni à formuler la moindre instruction à l'adresse de l'autorité judiciaire, ni même à solliciter des remontées d'informations dans une mesure dépassant substantiellement la pratique usuelle », poursuit l'institution.
Si des « tensions » ont marqué les relations entre le parquet général et le PNF, note le CSM, « le terme de pression ne doit pas être entendu ici au sens d'influence coercitive mais plutôt au sens de source de stress ».
Pour lever les « incompréhensions » suscitées par les propos d'Eliane Houlette, le CSM propose « une double réforme de structure : une rationalisation des remontées d'informations entre les parquets et le ministère de la justice, et une consolidation du statut du ministère public ».
L'ancien Premier ministre François Fillon a été condamné le 29 juin dernier à Paris à cinq ans d'emprisonnement, dont deux ferme, et à une lourde amende, pour les emplois fictifs de son épouse Penelope.
https://www.leparisien.fr/faits-divers/ ... 385642.php
Tu parles Charles ,Crapulax a écrit : ↑16 septembre 2020 14:37.......................................Affaire Fillon: «La justice a fonctionné de façon indépendante», estime le CSM...................................
D’après le Conseil supérieur de la magistrature, le terme de « pression », prononcé à l’endroit de la hiérarchie judiciaire, ne doit pas être entendu « au sens d’influence coercitive mais plutôt au sens de source de stress ».
L’ancien Premier ministre François Fillon a été condamné le 29 juin 2020 à Paris à cinq ans de prison, dont deux ferme.
Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) a estimé qu'aucune « pression » du pouvoir exécutif n'avait été exercée sur le parquet national financier (PNF) dans l'enquête sur les époux Fillon, menée de « façon indépendante », dans un avis rendu public mercredi.
Source:Le Parisien.
Le CSM, organe indépendant, avait été saisi en juin par Emmanuel Macron après l'« émoi » suscité par des déclarations de l'ancienne cheffe du PNF Eliane Houlette, qui avait dénoncé des « pressions » de la part de sa hiérarchie dans la conduite des investigations, ravivant des accusations d'« instrumentalisation » de la justice.
Pas de « pression »:
Entendue en juin par une commission d'enquête parlementaire sur l'indépendance de la justice, Eliane Houlette avait assuré avoir décidé en toute indépendance, en janvier 2017, une enquête visant les époux Fillon après des soupçons d'emplois fictifs révélés par le Canard enchaîné.
Mais l'ancienne procureure nationale financière, aujourd'hui à la retraite, s'était aussi émue du « contrôle très étroit » exercé selon elle par le parquet général, son autorité de tutelle directe, dans cette enquête lancée en pleine campagne présidentielle.
Le chef de l'Etat avait donc chargé le CSM d'« analyser si le parquet national financier a pu exercer son activité en toute sérénité, sans pression », afin de « lever tout doute sur l'indépendance et l'impartialité de la justice dans cette affaire ».
« Il n'apparaît pas que des pressions aient été exercées sur les magistrats du parquet général […] ou du PNF par le garde des Sceaux, son cabinet ou la DACG (Direction des affaires criminelles et des grâces, NDLR) », considère le CSM dans son avis remis à Emmanuel Macron mardi et publié mercredi.
…Mais une « attention particulière »:
« Une attention particulière a pu être portée, à tous les échelons de la chaîne hiérarchique, à une affaire comportant un enjeu démocratique majeur, mais cette attention n'a conduit le pouvoir exécutif ni à formuler la moindre instruction à l'adresse de l'autorité judiciaire, ni même à solliciter des remontées d'informations dans une mesure dépassant substantiellement la pratique usuelle », poursuit l'institution.
Si des « tensions » ont marqué les relations entre le parquet général et le PNF, note le CSM, « le terme de pression ne doit pas être entendu ici au sens d'influence coercitive mais plutôt au sens de source de stress ».
Pour lever les « incompréhensions » suscitées par les propos d'Eliane Houlette, le CSM propose « une double réforme de structure : une rationalisation des remontées d'informations entre les parquets et le ministère de la justice, et une consolidation du statut du ministère public ».
L'ancien Premier ministre François Fillon a été condamné le 29 juin dernier à Paris à cinq ans d'emprisonnement, dont deux ferme, et à une lourde amende, pour les emplois fictifs de son épouse Penelope.
https://www.leparisien.fr/faits-divers/ ... 385642.php
La Cour de cassation a confirmé, mercredi 24 avril, la culpabilité de François Fillon, de sa femme Penelope et de son ex-suppléant Marc Joulaud dans l'affaire des emplois fictifs. En revanche, elle ne confirme ni la peine prononcée par la cour d'appel contre François Fillon ni les dommages-intérêts. "Les peines prononcées à l'égard [de François Fillon] et le montant des dommages-intérêts à verser devront être rejugés", écrit la Cour de cassation dans un communiqué. Un nouveau procès devra donc avoir lieu dans les prochains mois devant la cour d'appel de Paris.
Fillon s'est grillé tout seul à la Tv.Victor a écrit : ↑25 avril 2024 17:25Si certains n'ont toujours pas compris que cette affaire Fillon était une cabale politique parfaitement planifiée et exécutée pour faire tomber le favori de la campagne présidentielle de 2017 .. C'est vraiment qu'ils en sont encore qu'au niveau 0.0001 de l'analyse politique !
là, le tribunal vient de confirmer la condamnation, la sanction sera prise ultérieurement.Le 9 mai 2022, la cour d'appel de Paris avait condamné François Fillon à quatre ans de prison dont un an ferme, à 375 000 euros d'amende et à dix ans d'inéligibilité. La Cour de cassation, qui contrôle le respect des règles de droit et non le fond des dossiers, a confirmé les peines prononcées par la cour d'appel à l'encontre de Penelope Fillon et de Marc Joulaud. Ces derniers ont respectivement été sanctionnés de deux ans de prison avec sursis ainsi que 375 000 euros d'amende et de trois ans de prison avec sursis.
Mais Victor, ils savent parfaitement qu'il s'agissait d'une justice d'exception car pour eux, la fin justifie toujours les moyens.Victor a écrit : ↑25 avril 2024 17:25Si certains n'ont toujours pas compris que cette affaire Fillon était une cabale politique parfaitement planifiée et exécutée pour faire tomber le favori de la campagne présidentielle de 2017 .. C'est vraiment qu'ils en sont encore qu'au niveau 0.0001 de l'analyse politique !