vivarais a écrit : Nitram a écrit : L'accord sur le Brexit :
- Le Royaume-Uni reste dans l'union douanière jusqu'en 2020 (au moins).
- Le Royaume-Uni accepte de payer 40 milliards à l'UE
- Le Royaume-Uni ne pourra pas faire de concurrence déloyale à l'UE
- La justice européenne reste compétente
- L'Irlande du Nord aura un statut spécial, différent du reste du Royaume-Uni
En bref T. May a cédé sur toutes les lignes rouges britanniques.
Et déjà depuis ce matin 2 ministres, dont le ministre du Brexit, ont démissionné. En tout 16 ministres britanniques ont démissionné en deux ans.
C'était pas censé être simple et génial le Brexit ?
excepté sur l'irlande du nord tout le reste est vrai
finalement may a obtenu ce qu'elle voulait
les avantages de l'UE sans les inconvénients
q'u'importe la démission de ministres ils seront remplacés
mais encore faudra t il que cela soit accepté par le parlement britannique
mais nous ne devons pas entendre les meme choses les experts eux pretendent que c'est une victoire de may qui a fait plier l'UE
remontez à 2 ans et reprenez les menaces et exigences de michel barnier
il ne faut par faire comme macron entendre mais en fin de compte ne pas vouloir comprendre
Brexit : le gouvernement britannique a donné son aval sur le projet d'accord
Un projet d'accord sur la sortie du pays de l'Union européenne a été conclu mardi à Bruxelles. Le gouvernement britannique a choisi de l'approuver. Source AFP
Modifié le 15/11/2018 à 06:45 - Publié le 14/11/2018 à 20:52 | Le Point.fr
La Première ministre britannique Theresa May a obtenu de haute lutte mercredi l'aval de son gouvernement au projet d'accord de Brexit conclu la veille avec Bruxelles, lors d'un conseil des ministres marathon, étape cruciale du processus de divorce. « La décision collective du cabinet est que le gouvernement doit approuver le projet d'accord », a déclaré Theresa May lors d'une brève allocution devant le 10 Downing Street. « C'est un pas décisif qui va nous permettre d'avancer et de finaliser l'accord dans les jours qui viennent », a-t-elle ajouté, légèrement souriante, après une réunion « passionnée » de son cabinet pendant cinq heures lors de laquelle elle s'est attelée à convaincre ses ministres de surmonter leurs divisions sur le Brexit. « Les choix que nous avions à faire étaient difficiles, en particulier en ce qui concerne l'Irlande du Nord », a souligné la dirigeante, estimant que le projet d'accord était « le meilleur possible ».
Selon Theresa May, l'accord permettra au Royaume-Uni de reprendre le contrôle de « (leur) argent, (leurs) lois et (leurs) frontières, mettra fin à la liberté de mouvement, protégera les emplois, la sécurité et (leur) union ». Theresa May, qui fera une déclaration devant les députés jeudi, doit maintenant convaincre le Parlement britannique de voter le texte, alors que son Parti conservateur est très divisé, entre partisans d'un Brexit dur et europhiles.
Lire aussi Brexit : Theresa May à l'heure de vérité
Fébrilité et mécontentement
La confusion avait régné en fin d'après-midi, ajoutant à la fébrilité, quand le secrétaire d'État à la Police Nick Hurd avait affirmé aux députés que la chef de l'exécutif ne s'exprimerait pas devant les médias. Des propos immédiatement démentis par Downing Street, entraînant un effet de yoyo sur la livre. L'adhésion du gouvernement était indispensable pour permettre l'organisation d'un sommet exceptionnel des dirigeants européens destiné à valider l'accord de retrait. Ce sommet devrait « probablement » avoir lieu le dimanche 25 novembre, selon le Premier ministre irlandais Leo Varadkar. Les Parlements européen et britannique devront ensuite ratifier l'accord avant la date de sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne, le 29 mars 2019.
Mais, dans les rues, le projet d'accord a rallié les mécontents.
Plusieurs dizaines de manifestants se sont rassemblés devant Downing Street pour réclamer le rejet du texte, à l'appel du groupe pro-Brexit Leave means Leave. « Si l'accord passe, nous aurons des problèmes à demeurer un pays indépendant », a expliqué à l'Agence France-Presse Lucy Harris, fondatrice du groupe Leavers of London. « C'est pourri », a résumé la septuagénaire Kathrine Denham dans la petite ville de Boston (est de l'Angleterre), qui a voté massivement pour le Brexit.
Un projet de 585 pages
Une solution a été trouvée entre l'UE et Londres pour éviter « une frontière dure » entre l'Irlande et l'Irlande du Nord dans le projet d'accord sur le Brexit, a annoncé mercredi le négociateur en chef de l'UE Michel Barnier. La question de la frontière irlandaise était le point sur lequel achoppaient les négociations depuis des semaines. « Nous avons maintenant trouvé une solution avec le Royaume-Uni pour éviter une frontière dure sur l'île d'Irlande », s'est félicité Michel Barnier lors d'une conférence de presse. Cette solution vise à préserver les accords de paix de 1998, comme les deux parties s'y étaient engagées au début des négociations. Il a expliqué qu'il y aurait « un territoire douanier unique » entre l'UE et le Royaume-Uni au sein duquel les marchandises britanniques auront « un accès sans taxes et sans quotas au marché des 27". En outre, l'Irlande du Nord restera alignée sur les normes du marché unique « essentielles pour éviter une frontière dure », a-t-il précisé.
Lire aussi Nicolas Baverez - Brexit : le spectre du conflit irlandais
Le négociateur de l'UE a estimé que des « progrès décisifs » avaient été faits vers un accord pour permettre un « retrait ordonné » de Londres à la date du 29 mars 2019. En conséquence, le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a demandé au président du Conseil européen Donald Tusk de constater ces « progrès décisifs » et de permettre ainsi de « conclure » les négociations sur le retrait. Donald Tusk a la prérogative de convoquer un sommet des chefs d'État pour entériner l'accord. Il doit s'exprimer jeudi à 7 h 10 GMT à Bruxelles après avoir rencontré Michel Barnier. La date du 25 novembre pour ce sommet extraordinaire a été avancée par plusieurs sources. Conscient, cependant, des difficultés que va rencontrer Theresa May pour faire approuver l'accord de divorce, Michel Barnier a appelé « tout le monde » à « prendre ses responsabilités ».
L'UE a de son côté publié le projet d'accord, long de 585 pages. Le projet d'accord, publié dans la soirée, prévoit un « filet de sécurité » destiné à éviter une frontière physique entre l'Irlande du Nord, membre du Royaume-Uni, et la république d'Irlande, membre de l'UE. Il voit l'ensemble du Royaume-Uni rester dans une union douanière avec l'UE ainsi qu'un alignement réglementaire plus poussé pour l'Irlande du Nord pendant une période de transition, jusqu'à ce que les discussions sur la future relation commerciale entre les deux parties soient conclues.
Un projet qui divise
Malgré l'aval de l'exécutif, le projet d'accord est loin de faire l'unanimité. Partisans et opposants du Brexit craignent qu'il n'oblige le Royaume-Uni à se plier aux règles de l'UE pendant des années, sans avoir son mot à dire. « Avec cet accord, nous allons rester dans l'union douanière, nous allons rester, de fait, dans le marché unique », a déploré Boris Johnson sur la BBC, estimant que cela ferait du Royaume-Uni un « État vassal » de l'UE.
Un accord qui « sape l'intégrité économique et constitutionnelle du Royaume-Uni » en accordant un traitement différent à l'Irlande du Nord n'est « pas acceptable », a mis en garde Arlene Foster, chef du parti nord-irlandais DUP, allié du parti conservateur de Theresa May et force d'appoint indispensable pour disposer d'une majorité absolue au Parlement. Elle devait s'entretenir avec Theresa May dans la soirée. »Je ne pourrai pas regarder mes électeurs dans les yeux et leur affirmer qu'il s'agit d'un accord meilleur que celui que nous avons en tant que membre de l'UE », a expliqué Dominic Grieve, l'un des leaders du camp pro-UE du parti conservateur. La Première ministre écossaise, l'europhile Nicola Sturgeon, a, elle, jugé « dévastateur » pour l'Écosse le projet d'accord parce qu'il favoriserait l'Irlande du Nord.
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excepté sur l'irlande du nord tout le reste est vrai
finalement may a obtenu ce qu'elle voulait
les avantages de l'UE sans les inconvénients
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surligne]En outre, l'Irlande du Nord restera alignée sur les normes du marché unique « essentielles pour éviter une frontière dure », a-t-il précisé.[/surligne]
Lire aussi Nicolas Baverez - Brexit : le spectre du conflit irlandais
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comme je sais quevous ne lirez pas tout.....j' ai ressortiune phrase.....qui vient, comme a chaque fois,percuter vos théories issues peut être de la bellee fille ......je préfère Le Point .
ENSUITE
Plusieurs dizaines de manifestants se sont rassemblés devant Downing Street pour réclamer le rejet du texte, à l'appel du groupe pro-Brexit Leave means Leave. « Si l'accord passe, nous aurons des problèmes à demeurer un pays indépendant », a expliqué à l'Agence France-Presse Lucy Harris, fondatrice du groupe Leavers of London. « C'est pourri », a résumé la septuagénaire Kathrine Denham dans la petite ville de Boston (est de l'Angleterre), qui a voté massivement pour le Brexit.[/surligne]
faudra aller leur expliquer (aux Pro Brexit) qu' ils ont TOUT gagné......que c'est votre belle fille qui vous l' a dit