oui , selon le gouvernement......qui ne recence .......que les emplois recencés .Il ne peut pas recencer les emplois disponibles mais qui ne font pas ou plus l' objet de dépôt officiel d ' offre d' emploi . Je vous ai tout expliqué , il y a le nombre d ' offres d' emplois disponible
+tout ce qui passe sous les radars .
les exemples , hélas ,ils sont a la pelle .
Comme tj, la bande de déclinologue décréte valable les chiffres officiels
qui les arrangent .....hausse du chômage en tête de gondole .
https://www.lavoixdunord.fr/1067634/art ... -inquieter
Un million d’offres d’emploi non pourvues en France, faut-il s’inquiéter?
« Problème numéro un » selon Jean Castex et le Medef, ou à relativiser, les difficultés de recrutement des entreprises sont au cœur des priorités gouvernementales de la rentrée.
En juillet, environ 15% des entreprises de l’industrie et des services et 40% de celles du bâtiment se déclaraient limitées dans leur production à cause du manque de main-d’œuvre.
En juillet, environ 15% des entreprises de l’industrie et des services et 40% de celles du bâtiment se déclaraient limitées dans leur production à cause du manque de main-d’œuvre. - PHOTO ARCHIVES BAZIZ CHIBANE
Image auteur par défaut
Félix PENNEL avec AFP
Publié: 10 Septembre 2021 à 15h40
Temps de lecture: 3 min
Partage :
Il suffit de se promener dans les rues de Lille – ou d’ailleurs – pour s’en convaincre : les entreprises recrutent. Des cuistots, des vendeurs, des préparateurs de commandes, des agents immobiliers, des employés polyvalents…
Sur le site de Pôle emploi, plus de 42 000 annonces sont recensées dans le Nord et le Pas-de-Calais ce vendredi midi, dont 14 000 dans la capitale des Flandres. Et au niveau national, actuellement, un million d’offres d’emploi sont affichées sur le site.
Le taux de chômage en France au deuxième trimestre s’élevait à 8 % de la population active, soit 2,4 millions de demandeurs d’emploi. Problème : il semble y avoir peu de candidats. Un paradoxe ?
« Problème numéro un » des entreprises
« Selon la Banque de France, on parle d’environ 300 000 emplois à pourvoir, ce n’est pas un sujet tout à fait nouveau en France, mais il n’a jamais pris une telle acuité, c’est un gâchis », affirme Jean Castex. Le Premier ministre qualifie même de « problème numéro un les difficultés de recrutement » rencontrés par les entreprises. Cette pénurie de main-d’œuvre touche toute l’Europe.
L’analyse de Jean Castex est partagée par le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux. Fin août, il indiquait : « Tous les patrons que j’ai vus cet été, même avant l’été, leur sujet numéro un, ça n’est plus la pandémie, c’est le recrutement. »
En juillet, environ 15 % des entreprises de l’industrie et des services et 40 % de celles du bâtiment se déclaraient limitées dans leur production à cause du manque de main-d’œuvre. « Ces proportions relativement élevées sont toutefois inférieures aux points hauts de 2018-2019. Elles vont de pair avec la vigueur de l’emploi salarié privé au deuxième trimestre », nuançait toutefois l’Insee dans son point de conjoncture mardi.
« Normal, quand tout le monde recrute en même temps, que ce soit plus difficile qu’il y a six mois. »
Alors la situation est-elle grave ? La pénurie de travailleurs peut-elle avoir un impact sévère sur l’économie, à l’heure de la reprise post-Covid ? Pôle emploi relativise. Parmi le million d’offres actuellement disponibles dans l’organisme, il est difficile de repérer « les offres suspendues pendant le Covid ». Surtout, elles intègrent aussi « des offres d’apprentissage, d’intérim ou de CDD courts ».
Réfléchir à « l’attractivité des emplois proposés »
« Dans les faits, les entreprises n’ont jamais autant recruté, assure Éric Heyer. Si les entreprises n’arrivaient pas à recruter, elles demanderaient à leurs salariés de travailler plus longtemps, plus de productivité, ou augmenteraient les salaires. Or on ne constate rien de cela pour l’inst
Il suffit de se promener dans les rues de Lille – ou d’ailleurs – pour s’en convaincre : les entreprises recrutent. Des cuistots, des vendeurs, des préparateurs de commandes, des agents immobiliers, des employés polyvalents…
Sur le site de Pôle emploi, plus de 42 000 annonces sont recensées dans le Nord et le Pas-de-Calais ce vendredi midi, dont 14 000 dans la capitale des Flandres.
Et au niveau national, actuellement, un million d’offres d’emploi sont affichées sur le site.
Le taux de chômage en France au deuxième trimestre s’élevait à 8 % de la population active, soit 2,4 millions de demandeurs d’emploi. Problème : il semble y avoir peu de candidats. Un paradoxe ?
« Problème numéro un » des entreprises
« Selon la Banque de France, on parle d’environ 300 000 emplois à pourvoir, ce n’est pas un sujet tout à fait nouveau en France, mais il n’a jamais pris une telle acuité, c’est un gâchis », affirme Jean Castex. Le Premier ministre qualifie même de « problème numéro un les difficultés de recrutement » rencontrés par les entreprises. Cette pénurie de main-d’œuvre touche toute l’Europe.
L’analyse de Jean Castex est partagée par le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux. Fin août, il indiquait : « Tous les patrons que j’ai vus cet été, même avant l’été, leur sujet numéro un, ça n’est plus la pandémie, c’est le recrutement. »
Découvrir plus de vidéos
En juillet, environ 15 % des entreprises de l’industrie et des services et 40 % de celles du bâtiment se déclaraient limitées dans leur production à cause du manque de main-d’œuvre. « Ces proportions relativement élevées sont toutefois inférieures aux points hauts de 2018-2019. Elles vont de pair avec la vigueur de l’emploi salarié privé au deuxième trimestre », nuançait toutefois l’Insee dans son point de conjoncture mardi.
« Normal, quand tout le monde recrute en même temps, que ce soit plus difficile qu’il y a six mois. »
Alors la situation est-elle grave ? La pénurie de travailleurs peut-elle avoir un impact sévère sur l’économie, à l’heure de la reprise post-Covid ?
Pôle emploi relativise. Parmi le million d’offres actuellement disponibles dans l’organisme, il est difficile de repérer « les offres suspendues pendant le Covid ». Surtout, elles intègrent aussi « des offres d’apprentissage, d’intérim ou de CDD courts ».
MAIS LA ENCORE CE SONT DES OFFRES D EMPLOI QUI NE TIENNENT PAS COMPTE DES EMPLOIS VACANTS MAIS NE FAISANT L OBJET D AUCUNE DEMANDE OFFICIEL LA LASSITUDE ETANT PASSES PAR LA