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si c'est un lièvre nonRananen a écrit : donc quand t est en bagnole et que tu vois un obstacle tu ne cherche pas a l évité , tu freine pas ?
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Un lièvre n'est pas un obstacle mais un repas potentielFonck1 a écrit : si c'est un lièvre non
un excellent repas,avec un bon vin et des cèpes de l’Aigoualsacamalix a écrit : Un lièvre n'est pas un obstacle mais un repas potentiel
faudra bien s'adapter.C'est l'histoire de l'humanité,améliorer sa vie,ou s'y adapter.bigboul a écrit : N'empêche que la banquise elle fond et que les nounours tous blancs ben ils se noient.
Et puis attendons une petite dizaine d'années, Quand New York aura les pieds dans l'eau il n'y aura plus de plage en Bretagne, la pointe du Raz et une partie de Douarnenez se sera effondrée dans la mer. Les bonnets rouges n'auront plus qu'à faire comme Cousteau : vivre dans leurs bateaux.
Ou mourir.Fonck1 a écrit : faudra bien s'adapter.C'est l'histoire de l'humanité,améliorer sa vie,ou s'y adapter.
L'écologie n'appauvrira que ceux qui resteront enfermés dans leurs schémas de pensée. La recherche de solutions pour freiner le changement et s'adapter à ce qui est désormais inévitable devrait nous permettre d'explorer de nouveaux modèles économiques et sociétaux... Plus qu'un éventuel appauvrissement, les gens ont peur du changement, sans se rendre compte que la nature n'attendra pas pour leur apporter ce changement, qui sera d'autant plus violent qu'ils n'y seront pas préparés et qu'ils n'auront rien fait pour au moins tenter de l'atténuer...Panthère des Neiges a écrit : Depuis la 1re révolution industrielle, l'homme n'a cessé de rendre la planète malade. C'en est effectivement alarmant. Et moi ça me rend aussi malade. Mais les gens préfèrent une pollution qui rapporte du blé qu'une écologie qui les appauvrit.
Triste constat mais ce profit immédiat qui passe bien avant les préoccupations essentielles, fait perdre à l'homme toute notion de conscience et de responsabilité pour la planète aujourd'hui et pour les générations futures...Panthère des Neiges a écrit : Depuis la 1re révolution industrielle, l'homme n'a cessé de rendre la planète malade. C'en est effectivement alarmant. Et moi ça me rend aussi malade. Mais les gens préfèrent une pollution qui rapporte du blé qu'une écologie qui les appauvrit.