Collégien tabassé à Viry-Châtillon, décédé

[Fonck1]

Dernier message de la page précédente :

Le terme "territoires perdus de la république" reste parfaitement d'actualité.
Je rappelle que c'est le titre d'un livre de 2002 (ça commence donc à faire du temps):
Sous la direction de Georges Bensoussan (sous le pseudonyme d'Emmanuel Brenner), il rassemble les témoignages d'enseignants et de chefs d'établissements scolaires au sujet de l'antisémitisme, du racisme et du sexisme en milieu scolaire (comme l'indique le sous-titre de l'ouvrage) et plus particulièrement parmi les jeunes d'origine maghrébine.
Il semble que trop de cas d'hyperviolence se retrouvent dans ces zones avec à l'origine des jeunes qui n'ont visiblement pas compris dans quel pays ils vivent, sans doute parce que nous (très collectif) n'avons pas su le leur apprendre.

n'est ce pas un peu hâtif comme jugement?
qu'il y ait des problèmes, personne ne le nie, mais dans les faits, un prof qui gère bien sa classe d'entrée de jeu n'a pas trop de problèmes.
le problème, c'est ceux qui n'ont aucune vision disciplinaire de leurs cours qui "laissent aller" après, c'est très difficile de se refaire une santé disciplinaire.

ensuite territoires perdus, c'est tout aussi hâtif, j'ai toujours pensé qu'il y avait un jean-foutre politique à gérer ces endroits où il y a 0 pognon à récolter, à part peut être de racketter les trafiquants de drogues dans un but politique, c'est dangereux, mais il est possible que ça existe.
néanmoins, quand on voit que les trafiquants vont incendier des bagnoles de flics parce qu'on déranger leurs petits trafics, c’est que ça commence à les peser, donc les territoires perdus ne le sont que parce qu'on le veut bien.
il faudrait donc savoir le dessous des cartes.
Après, il est possible qu'il faille que l'état arrête de se pignoler sur les cas les plus graves, ceux qui usent de violence ou d'intimidation, direct en apprentissage à faire des métiers de merde, ça devrait les calmer les uns et autres.

que je sache, l'état n'a pas vraiment changé sa ligne législative concernant l'école, elle est toujours laïque , et si j ne nie pas qu'il y ait certaines pressions, dans l’extrême majorité des cas, tout se passe bien.
il faudrait juste user de plus de sévérité une fois de plus.....

on dirait que c'est devenu un gros mot.

[papibilou]

il faudrait juste user de plus de sévérité une fois de plus.....

Un de mes amis, intituteur, me disait que à partir du CP on punit un enfant, les autres comprennent. Mais en maternelle si tu punis l'un d'eux, les autres ne comprennent pas et il faudrait tous les punir. Je crains que dans nos territoires perdus de la république, beaucoup de jeunes soient encore au niveau maternelle sur ce plan.

[Fonck1]

il faudrait juste user de plus de sévérité une fois de plus.....

Un de mes amis, intituteur, me disait que à partir du CP on punit un enfant, les autres comprennent. Mais en maternelle si tu punis l'un d'eux, les autres ne comprennent pas et il faudrait tous les punir. Je crains que dans nos territoires perdus de la république, beaucoup de jeunes soient encore au niveau maternelle sur ce plan.

ça va avec le niveau général faut dire.

[danielle49]

Selon les spécialistes (sic), c'est un crime d'honneur ? Comme il y en avait jadis en Corse, romancés par Prosper Mérimée, dans Colomba, Mateo Falcone..

[latresne]

Le terme "territoires perdus de la république" reste parfaitement d'actualité.
Je rappelle que c'est le titre d'un livre de 2002 (ça commence donc à faire du temps):
Sous la direction de Georges Bensoussan (sous le pseudonyme d'Emmanuel Brenner), il rassemble les témoignages d'enseignants et de chefs d'établissements scolaires au sujet de l'antisémitisme, du racisme et du sexisme en milieu scolaire (comme l'indique le sous-titre de l'ouvrage) et plus particulièrement parmi les jeunes d'origine maghrébine.
Il semble que trop de cas d'hyperviolence se retrouvent dans ces zones avec à l'origine des jeunes qui n'ont visiblement pas compris dans quel pays ils vivent, sans doute parce que nous (très collectif) n'avons pas su le leur apprendre.

Bien vu encore une fois.
Il n'y a pas que "les enfants qui n'ont pas encore compris dans quel pays ils vivent",il y a aussi et surtout les parents.

[Fonck1]

Le terme "territoires perdus de la république" reste parfaitement d'actualité.
Je rappelle que c'est le titre d'un livre de 2002 (ça commence donc à faire du temps):
Sous la direction de Georges Bensoussan (sous le pseudonyme d'Emmanuel Brenner), il rassemble les témoignages d'enseignants et de chefs d'établissements scolaires au sujet de l'antisémitisme, du racisme et du sexisme en milieu scolaire (comme l'indique le sous-titre de l'ouvrage) et plus particulièrement parmi les jeunes d'origine maghrébine.
Il semble que trop de cas d'hyperviolence se retrouvent dans ces zones avec à l'origine des jeunes qui n'ont visiblement pas compris dans quel pays ils vivent, sans doute parce que nous (très collectif) n'avons pas su le leur apprendre.

Bien vu encore une fois.
Il n'y a pas que "les enfants qui n'ont pas encore compris dans quel pays ils vivent",il y a aussi et surtout les parents.

qui sont responsables mais jamais coupables, et là est bien le problème.
mais pour travailler dans une école, si vous saviez le nombre de parents qui vous cassent les couilles parce qu'il n'assument pas les conneries de leurs fainéasses de gamins ! et c'est très loin d'être réservé aux gamins issus de l'immigration !

[danielle49]

ça tabasse un peu partout semblerait il ?
Un jeune de 15 ans a été mortellement blessé à l'arme blanche dans le dos, ce mardi soir un peu après 22 heures, à Romans-sur-Isère (Drôme), dans le quartier de La Monnaie. Il a succombé à ses blessures à l'hôpital.
https://www.francebleu.fr/infos/faits-d ... ie-7409338
Faut il s'en alarmer ?

[Fonck1]

si vous comptez mettre toutes les attaques au couteau de france et de Navarre, le site ne suffira pas en terme de place.
les coups de couteaux existent depuis toujours, il y en a des pages.

je vais relativiser ces chiffres qui ne sont stipulés que par une seule personne, après recherches :

Ce n’est pas la première fois que l’élue des Républicains évoque ce chiffre (120 coups de couteaux par jour). Le 7 juillet, dans une question écrite au Sénat, elle déclare à propos de l’assassinat d’Alban Gervaise à Marseille, le 10 mai dernier : "Les résultats de la dernière étude de 2020 de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales sont édifiants. Elle estime que le nombre de victimes d’agressions à l’arme blanche monte à 44.000 entre 2015 et 2017, soit plus de 120 victimes par jour en moyenne."

Une tournure de phrase déjà employée un an plus tôt, toujours au palais du Luxembourg, cette fois après la mort de Théo, 18 ans, poignardé à Claye-Souilly. Valérie Boyer renvoie donc à l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), organisme rattaché à l’Intérieur et dissout en 2020. Ses missions ont été reprises en partie par le service de statistiques du ministère.

Un calcul tiré de l'Insee et réalisé par "Le Figaro"

Ce rapport, publié en fait en novembre 2019, revient sur les "violences physiques hors ménage" à partir des données que l’Insee produit tous les ans pour son enquête "Cadre de vie et sécurité (CVS)". C’est ici que l’on peut lire que "chaque année entre 2015 et 2017, 1,3% des personnes de 14 ans et plus déclarent avoir été victimes de violences physiques de la part d'une personne ne vivant pas avec elles au moment des faits, soit en moyenne 653.000 personnes par an". Parmi ces 653.000 victimes, "18% déclarent avoir été violentées avec au moins une arme". Et sur "ces victimes de violences armées, 37% évoquent une arme blanche".

Les données y sont simplement transcrites en pourcentage. Le calcul, lui, a été fait par Le Figaro : un article de février 2020, titré "Plus de 120 agressions à l’arme blanche ont lieu chaque jour en France", reprend l’enquête de l’ONDRP : "Sa dernière étude, (…) estime le nombre de victimes d’agressions à l’arme blanche à 44.000, soit plus de 120 victimes par jour en moyenne ! Ce chiffre correspond, en effet, à 37% des 118.000 personnes ayant déclaré, chaque année, en moyenne, avoir subi des violences physiques armées". Ces statistiques se retrouvent citées telles quelles dans la presse, au Sénat par Valérie Boyer ou encore à l’Assemblée nationale, en 2020, par l'ex-député non-inscrit José Evrard.

Elles sont exactes, car issues de trois enquêtes annuelles de l’Insee (2016-2018), mais sont tout de même à prendre avec prudence. D'abord, "il s'agit de proportions calculées sur plusieurs éditions d'enquêtes", nous indique le ministère de l'Intérieur, car "la taille de l'échantillon de l'enquête ne permet pas de produire de statistiques annuelles suffisamment robustes pour décrire ce phénomène". Ensuite, elles n’ont été confirmées par aucune statistique plus récente. Depuis ce rapport de 2019, aucun chiffre aussi détaillé sur les violences physiques exercées hors du ménage n’a été publié. Contacté, l'Insee nous a renvoyé à ses différentes enquêtes CVS réalisées avec le concours du ministère de l'Intérieur.

En 2020, l’ONDRP a donné de nouveaux pourcentages sur les victimes d’agressions physiques, recensées entre 2014 et 2018, mais n'indique pas leur nombre. Ce qui rend impossible tout calcul, à la manière du Figaro. "Près d’une violence physique dans l’espace public sur cinq (18%) est accomplie à l’aide d’une arme. Sur ces 18%, 7% sont accomplies avec une arme blanche", communique l'organisme. On remarque alors que les violences à l'aide d'une arme blanche passent de 37% des violences armées... à 7%.

40 agressions armées par jour en 2018

La dernière étude CVS de l’Insee a apporté son lot de statistiques pour l'année 2018. Selon elle, "710.000 personnes âgées de 14 ans ou plus ont déclaré avoir été victimes de violences physiques commises hors situation de vol ou tentative de vol" et hors ménage. Parmi elles, 17% disent avoir "été agressées ou menacées à l’aide d’une arme", correspondant à 120.700 victimes par an. Et sur ces dernières, "12% déclarent qu’il s’agissait d’une arme à feu, d’une arme blanche ou d’un autre type d’arme (matraque, bombe lacrymogène, etc.)". Soit 14.500 victimes, d’après nos calculs... L’équivalent de 40 agressions armées par jour, ce qui inclut les armes blanches comme les armes à feu. Ici, l’Insee ne distinguant plus les différents cas de figure.

Si elles sont aussi à nuancer, et ne tiennent que sur une année, ces données évoquent donc trois fois moins d’agressions physiques armée commises par jour. Et depuis ? Aucune enquête n’a été conduite en 2020, du fait des périodes de confinements. En 2021, de nouveaux résultats sont sortis : ils renvoient à "441.000 personnes" victimes de violences physiques hors ménages l’année précédente, mais ne font cette fois pas de distinction entre les violences armées ou non. Et cette édition est la dernière réalisée "sous cette forme", rendant impossible l’actualisation des chiffres de 2015-2017. Chiffres qui sont pourtant encore invoqués par Valérie Boyer.

donc, 40 agressions par jours au couteau, au mieux, sur 68 millions d'habitants....wouhou....et ça flippe....

[LOFOTEN]

Les agressions ultraviolentes entre jeunes se poursuivent. Près d’une semaine après la mort du jeune Shemseddine, passé à tabac à la sortie de son collège à Viry-Châtillon, un adolescent de 15 ans a été mortellement blessé par arme blanche à Romans-sur-Isère, dans la Drôme, a appris Le Figaro de source policière confirmant une information de France Bleu Drôme Ardèche. La victime, inconnue de la justice, a été gravement touchée au dos vers 21h00, dans le quartier sensible de la Monnaie. Malgré l'intervention des secours sur place, le jeune homme a succombé à ses blessures après son transfert à l'hôpital.

Le drame s’est déroulé sur le boulevard Henri Dunant à la suite d'un différend survenu la veille entre des adolescents du quartier. Une enquête ouverte pour «homicide volontaire» par le parquet de Valence doit encore faire toute la lumière sur les circonstances du meurtre, mais celle-ci progresse rapidement. Et ce, «grâce à l'audition depuis ce matin par la police judiciaire d'un témoin majeur, présent lors des faits», indique une source proche du dossier.

Si les circonstances du drame restent à confirmer, une source locale bien informée rapporte une première version. Hier soir, le père et le frère aîné d’un adolescent de la Monnaie seraient venus confronter, à ses côtés, une bande de jeunes adverse, alors que ceux-ci se trouvaient aux abords de l’aire de jeux du quartier. «Le ton est alors monté et, dans la confusion, le frère aîné aurait alors poignardé la victime qui tentait de s’interposer. Le garçon s’est vidé de son sang dans les bras d’un ami, tandis que l’altercation virait à la bagarre généralisée. Puis, le père, le fils aîné et le dernier fils ont pris la fuite», raconte cette source.
Un écho au drame de Crépol

Ce quartier sensible de Romans-sur-Isère s'est retrouvé sous les feux de l'actualité ces derniers mois à la suite du décès de Thomas, un lycéen de 16 ans mortellement blessé en novembre à la fin d'un bal de village à Crépol, dans la Drôme. Plusieurs jeunes hommes suspectés d’avoir pris part à ce crime sont originaires de ce quartier.

La mort de Thomas a suscité l'émotion dans la région et mobilisé l'ultradroite sur le thème de la sécurité, des quartiers sensibles et de l'immigration. À ce stade, douze jeunes hommes sont mis en examen pour «homicide volontaire en bande organisée» mais l'enquête n'a pas permis d'identifier l'auteur du coup de couteau mortel.

Et bien sur cela a toujours exister......

[Patchouli38]

Les agressions ultraviolentes entre jeunes se poursuivent. Près d’une semaine après la mort du jeune Shemseddine, passé à tabac à la sortie de son collège à Viry-Châtillon, un adolescent de 15 ans a été mortellement blessé par arme blanche à Romans-sur-Isère, dans la Drôme, a appris Le Figaro de source policière confirmant une information de France Bleu Drôme Ardèche. La victime, inconnue de la justice, a été gravement touchée au dos vers 21h00, dans le quartier sensible de la Monnaie. Malgré l'intervention des secours sur place, le jeune homme a succombé à ses blessures après son transfert à l'hôpital.

Le drame s’est déroulé sur le boulevard Henri Dunant à la suite d'un différend survenu la veille entre des adolescents du quartier. Une enquête ouverte pour «homicide volontaire» par le parquet de Valence doit encore faire toute la lumière sur les circonstances du meurtre, mais celle-ci progresse rapidement. Et ce, «grâce à l'audition depuis ce matin par la police judiciaire d'un témoin majeur, présent lors des faits», indique une source proche du dossier.

Si les circonstances du drame restent à confirmer, une source locale bien informée rapporte une première version. Hier soir, le père et le frère aîné d’un adolescent de la Monnaie seraient venus confronter, à ses côtés, une bande de jeunes adverse, alors que ceux-ci se trouvaient aux abords de l’aire de jeux du quartier. «Le ton est alors monté et, dans la confusion, le frère aîné aurait alors poignardé la victime qui tentait de s’interposer. Le garçon s’est vidé de son sang dans les bras d’un ami, tandis que l’altercation virait à la bagarre généralisée. Puis, le père, le fils aîné et le dernier fils ont pris la fuite», raconte cette source.
Un écho au drame de Crépol

Ce quartier sensible de Romans-sur-Isère s'est retrouvé sous les feux de l'actualité ces derniers mois à la suite du décès de Thomas, un lycéen de 16 ans mortellement blessé en novembre à la fin d'un bal de village à Crépol, dans la Drôme. Plusieurs jeunes hommes suspectés d’avoir pris part à ce crime sont originaires de ce quartier.

La mort de Thomas a suscité l'émotion dans la région et mobilisé l'ultradroite sur le thème de la sécurité, des quartiers sensibles et de l'immigration. À ce stade, douze jeunes hommes sont mis en examen pour «homicide volontaire en bande organisée» mais l'enquête n'a pas permis d'identifier l'auteur du coup de couteau mortel.

Et bien sur cela a toujours exister......

La violence s'inscrit de partout : les rixes entre bandes de jeunes, les élèves et les parents contre les professeurs, les professeurs contre les élèves, les parents contre les élèves, les élèves contre les élèves, le tout saupoudrés de messages de haines sur les réseaux sociaux. La remise en cause de l'autorité s'inscrit à tous les niveaux : contre l'école, contre les parents, contre l'Etat, etc. Les parents ne surveillent plus les fréquentations de leurs gamins, les laissent traîner dans la rue sans s'informer ou ils se trouvent, etc.
La société a également sa part de responsabilité dans la montée de cette violence : les politiques, les réseaux sociaux exempt de modération, les parents, la TV, etc. La violence est banalisée et dans les jeux vidéos, et dans les films, et dans les postures des politiques, etc. Et pour beaucoup, l'ennemi est tout trouvé : l'immigré.
Les jeunes, les collégiens ne font qu'imiter ce qui se passe autour d'eux car plus aucune limité ne leur est fixée.

[Fonck1]

Et bien sur cela a toujours exister......

40 agressions par jour au couteau sur 68 millions d'habitants, ça fait 0,00000005 chances que ça vous arrive
continuez de flipper.

[danielle49]

Fonck1 a raison, ces agressions au couteau tout en étant banales ne sont qu'anecdotiques, et pour l'essentiel sont circonscrites aux quartiers sensibles, donc sans importance.
Quelquefois elles débordent dans des villages paisibles comme à Crépol, et là ça devient inquiétant et insupportable. Aux villageois et aux gens à l'écart des quartiers sensibles de se prémunir contre ces agressions éventuelles.

[mic43121]

Bien vu encore une fois.
Il n'y a pas que "les enfants qui n'ont pas encore compris dans quel pays ils vivent",il y a aussi et surtout les parents.

qui sont responsables mais jamais coupables, et là est bien le problème.
mais pour travailler dans une école, si vous saviez le nombre de parents qui vous cassent les couilles parce qu'il n'assument pas les conneries de leurs fainéasses de gamins ! et c'est très loin d'être réservé aux gamins issus de l'immigration !

Tout a fait d'accord ..La religion n'a rien a voir avec la connerie .(dans certaines écoles c'est le fric )

[Patchouli38]

qui sont responsables mais jamais coupables, et là est bien le problème.
mais pour travailler dans une école, si vous saviez le nombre de parents qui vous cassent les couilles parce qu'il n'assument pas les conneries de leurs fainéasses de gamins ! et c'est très loin d'être réservé aux gamins issus de l'immigration !

Tout a fait d'accord ..La religion n'a rien a voir avec la connerie .(dans certaines écoles c'est le fric )

D'accord également, combien de parents justifient les conneries de leurs gamins par leur jeunesse tout en évitant de les punir ? "Oh, vous savez, il est jeune". Et on laisse faire. Déjà jeune, les limites ne sont pas posés. Faut pas s'étonner si, plus tard, le gamin se transforme en racaille et petit merdeux.