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Tu sous estimes vraiment l'expérience et le savoir des médecins et, on en déjà parlé, tu prends cette maladie comme un ensemble inconnu alors qu'elle est constituée de symptômes connus et soignables : phase virale et phase inflammatoireMesoke a écrit : ↑15 mars 2021 11:28Mais comment tu sais si un médicament sert à quelque chose si tu ne fais pas d'étude pour confirmer l'efficacité du traitement ? Au pifomètre ? Pourquoi l'HCQ plutôt que l'ibuprofène ou le jus de citron ? A quoi sert la prise de risque de traiter des patients avec un machin qui ne sert à rien ? Pourquoi se limiter à rester dans ce gros flou sur l'efficacité d'un traitement, alors qu'un essai rationnel permet de le lever ?
Et, comme je l'ai déjà dit, il existe plein de maladies, même bénignes, pour lesquelles il n'y a aucun traitement. Genre le bête rhume. Pourquoi devrait-il en être absolument autrement pour le COVID ?
Traiter les malades au stade précoce est au contraire très utile, même en se mettant dans la logique capitaliste qui régit le monde de la santé : le labo pharmaceutique qui trouvera un médicament pas cher pour traiter les malades au stade précoce de la maladie se fera des couilles en or avec son médicament. Et les sécurités sociales des états, donc les gouvernements aussi, seront aux anges de pouvoir faire des économies, de pouvoir limiter le nombre d'hospitalisations, de pouvoir lever les mesures restrictives qui leur font prendre un sale dans les sondages d'opinion.
C'est juste qu'on galère depuis toujours à produire des antiviraux. Tuer des bactéries on sait faire, mais pas trop détruire des virus. Si on avait la solution alors on l'utiliserait, ça serait utile à à peu près tout le monde.
L'hydroxychloroquine a des propriétés antivirales, anti-inflammatoires, et immunosuppressives qui font que c'est un couteau suisse dans cette maladie ; mais son intérêt évident est au stade précoce, dans son action sur le Ph des cellules et leur code d'entrée, parce qu'elle entrave la progression du virus dans l'organisme
et l'azithromycine est bien sûr antibactérienne, mais a aussi des propriétés antivirales constatées ; le tout formant une synergie efficace pour éviter les complications et soulager le système immunitaire , et donc contribuer indirectement à éliminer le virus.
On peut ajouter à ça le zinc qui intervient dans des tas de processus enzymatiques de l'organisme, dont la réponse immunitaire.
Tu vas forcément me rétorquer que tout cela n'est pas prouvé ou seulement in vitro ... et pour cause, la science ne s'intéresse pas aux traitements génériqués qui ne lui rapportent rien ; moi je fais confiance aux médecins qui ont constaté l'amélioration de l'état de santé de leurs patients, au vu du nombre, personne ne peut dire que c'est exclusivement lié au hasard ou au cours normal de la maladie.
Bref, les médecins ne délivrent pas des médocs sans connaitre leurs effets ou propriétés, et ce qui fonctionne sur une pathologie peut fonctionner sur une autre à partir du moment où les symptômes sont les mêmes ; il n'y a que le lobby pharma pour faire croire qu'il faut nécessairement un nouveau médoc pour chaque nouvelle maladie, ce n'est qu'un impératif dicté par le modèle économique, ça n'a rien de scientifique ou médical
Dans ton raisonnement, tu oublies qu'un médicament ne sera administré qu'à des personnes malades, sauf s'il est utilisé en prophylaxie ; alors qu'un vaccin a vocation à être administré à tous ou presque, et notamment des gens bien portants en grande majorité ;
ça fait une différence de taille en terme de perspectives financières, surtout si on escompte des injections multiples liées à de nombreux variants ... potentiellement engendrés par les "vaccins" ou traitements aux mêmes ... ce serait carrément le jackpot pour le lobby de pouvoir créer la maladie et son remède de façon récurrente.