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Tu peux être surpris.. Mais venant de la part d'un type pour qui tous les patrons sont des fascistes;
Un salarié qui fait 35H est martyrisé ..en plus ils ont des pauses
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El Lobo a écrit : ↑18 novembre 2020 20:16
C'est l'histoire qui le dit, dans les années 30, ils clamaient en chœur dans les salons dorés, patrons, financiers, et les droites : ""plutôt hitler en France que le Front populaire", mais nous sommes loin du sujet avec ces attaques attaque ad hominem.
Pourquoi refuser le fait que le patronat dans son ensemble refuse les lois et le droit social, c'est un fait établi, que j'ai constaté à chaque visite d'entreprise lorsque j'étais inspecteur du travail. N'oublions pas qu'il y a eu des inspecteurs et contrôleurs du travail, tués dans leurs mission par des patrons. Meurtre de deux inspecteurs du travail en 2004 :
Le jeudi 2 septembre 2004, une contrôleuse du travail et un agent du service de contrôle de la Mutualité sociale agricole, Sylvie Trémouille et Daniel Buffière, étaient assassinés lors d'une inspection de routine dans une exploitation agricole, à Saussignac en Dordogne.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Meurtre_d ... il_en_2004
Ce sont des comportement d'extrême droite, que je condamne, ainsi que les violations des droits des travailleurs agricoles, qui peuvent aussi dégénérer er avec ces patrons fachos.
Et toi tu es une pauvre cloche d'extrême gauche
da capo a écrit : ↑18 novembre 2020 23:19El Lobo a écrit : ↑18 novembre 2020 20:16
C'est l'histoire qui le dit, dans les années 30, ils clamaient en chœur dans les salons dorés, patrons, financiers, et les droites : ""plutôt hitler en France que le Front populaire", mais nous sommes loin du sujet avec ces attaques attaque ad hominem.
Pourquoi refuser le fait que le patronat dans son ensemble refuse les lois et le droit social, c'est un fait établi, que j'ai constaté à chaque visite d'entreprise lorsque j'étais inspecteur du travail. N'oublions pas qu'il y a eu des inspecteurs et contrôleurs du travail, tués dans leurs mission par des patrons. Meurtre de deux inspecteurs du travail en 2004 :
Le jeudi 2 septembre 2004, une contrôleuse du travail et un agent du service de contrôle de la Mutualité sociale agricole, Sylvie Trémouille et Daniel Buffière, étaient assassinés lors d'une inspection de routine dans une exploitation agricole, à Saussignac en Dordogne.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Meurtre_d ... il_en_2004
Ce sont des comportement d'extrême droite, que je condamne, ainsi que les violations des droits des travailleurs agricoles, qui peuvent aussi dégénérer er avec ces patrons fachos.
''C'est l'histoire qui le dit, dans les années 30, ils clamaient en chœur dans les salons dorés, patrons, financiers, et les droites : ""plutôt hitler en France que le Front populaire"
Non, ce n'est pas l'histoire qui le dit, mais les habituels falsificateurs de l'histoire, en l'ocurrence communistes et ce, depuis 85 ans.
Cette phrase n'a jamais été déclamée ni écrite nulle part ailleurs que sous la plume d 'Emmanuel Mounier dans la revue ''Esprit'' :
''On ne comprendra rien à cette frange de la bourgeoisie si l'on ne l'entend murmurer : plutôt Hitler que Blum''
Il s'agit donc d'un murmure imaginé par E.Mounier et non de ''déclamations dans les salons dorés'', ce n'est pas tout à fait pareil et
ce n'est pas la première fois que tu nous sors ce fake.
El Lobo a écrit : ↑16 novembre 2020 19:54« On était traités comme des animaux » : la face cachée du travail saisonnier dans le secteur agricole.
.
Des journées de travail de neuf heures sans pause où l’on mange en cachette, des heures supplémentaires jamais payées, des cas de harcèlement sexuel... Cinq travailleurs détachés du secteur agricole ont décidé de briser le silence et d’attaquer leurs employeurs espagnols et français bénéficiant de ses contrats.
la suite sur : https://www.bastamag.net/Travailleur-de ... ra-interim
El Lobo a écrit : ↑18 novembre 2020 23:38da capo a écrit : ↑18 novembre 2020 23:19
''C'est l'histoire qui le dit, dans les années 30, ils clamaient en chœur dans les salons dorés, patrons, financiers, et les droites : ""plutôt hitler en France que le Front populaire"
Non, ce n'est pas l'histoire qui le dit, mais les habituels falsificateurs de l'histoire, en l'ocurrence communistes et ce, depuis 85 ans.
Cette phrase n'a jamais été déclamée ni écrite nulle part ailleurs que sous la plume d 'Emmanuel Mounier dans la revue ''Esprit'' :
''On ne comprendra rien à cette frange de la bourgeoisie si l'on ne l'entend murmurer : plutôt Hitler que Blum''
Il s'agit donc d'un murmure imaginé par E.Mounier et non de ''déclamations dans les salons dorés'', ce n'est pas tout à fait pareil et
ce n'est pas la première fois que tu nous sors ce fake.
Contester que droite, financiers, patrons et bourgeois préféraient hitler au front populaire dénote une prise de position en faveur des collabos et des amis des nazis dans les années noires de la France.
ALORS, LES POINTS SUR LES I
" PLUTOT HITLER QUE LE FRONT POPULAIRE "
Article Local Valide publié le mercredi 22 octobre 2003 à 21:42 | alain vidal |
Longtemps avant la deuxième guerre mondiale, bien avant l'Occupation, nombreux furent les grands patrons français de la chimie, de la sidérurgie, de la métallurgie, de l'automobile, de l'aéronautique, du pétrole, des charbonnages…à collaborer massivement et consciemment au réarmement de l'Allemagne hitlérienne.
Bien avant la guerre, le grand patronat français collabora massivement au réarmement de l'Allemagne nazie.
Longtemps avant la deuxième guerre mondiale, bien avant l'Occupation, nombreux furent les grands patrons français de la chimie, de la sidérurgie, de la métallurgie, de l'automobile, de l'aéronautique, du pétrole, des charbonnages…à collaborer massivement et consciemment au réarmement de l'Allemagne hitlérienne. Ils préféraient Hitler au Front populaire. D'abord ouvertement, voire clandestinement par sociétés écrans interposées. Dans les années trente, Plutôt Hitler que le Front Populaire fut le slogan d'une droite soutenue financièrement par le grand patronat. Le modèle hitlérien semblait le meilleur pour écraser les salaires, augmenter la durée du temps de travail et accroître les profits.
Pour les patrons français, le premier des dangers, c'était les congés payés et la semaine de quarante heures. Malgré la menace nazie, le grand patronat préféra lutter contre les ouvriers français qualifiés d'ennemi intérieur plutôt que d'empêcher le réarmement de l'Allemagne nazie. L'Occupation 39-45 ne fit qu'accentuer une collaboration qui, dans les faits, remontait à 14-18 où l'on vit, en pleine guerre, des patrons français et allemands signer des accords secrets, les français fournissaient électricité et produits chimiques à l'Allemagne, et en échange, les allemands s'engageaient à ne pas bombarder les usines sidérurgiques de Briey en Lorraine, dont celles de François de Wendel.
Dans les années vingt, et malgré le soutien financier du grand patronat allemand au parti nazi, le président du Comité des Forges, le même François de Wendel, fut à l'origine d'un cartel international de l'acier qui attribua 40% des parts à l'Allemagne. Le rédacteur du bulletin quotidien du Comité des Forges n'était autre que l'honorable correspondant en Allemagne du grand patronat français, l'ambassadeur de France à Berlin, François Poncet. En 1928, était fondée la Compagnie Générale Charbonnière franco-allemande entre le français Kulhman et l'IG Farben. Exemple de la collaboration dans la métallurgie, le 10 décembre 1937, une compagnie de Montrouge signa avec un métallurgiste allemand un contrat prévoyant la construction de fours industriels sur dix ans…
En 1932, la société française Ugine s'associait avec une filiale d'IG Farben spécialisée dans la chimie des cyanures ainsi qu'avec une autre société allemande détentrice du brevet du Zyklon B, le gaz des camps de concentration. En 1937, on célébra le dixième anniversaire de la signature du cartel franco-allemand de la chimie. Les industriels français étaient fascinés par le niveau de productivité de l'Allemagne nazie.
En 1933, les banquiers français saluèrent, avec une satisfaction non dissimulée, l'arrivée de Hitler au pouvoir. La Banque de France œuvra alors à la création d'une société franco-allemande pour assurer, à un niveau rentable, le maintien des envois de matières premières stratégiques au Reich. Banque de France et Comité des Forges furent les grands artisans de l'esprit de Munich, de la démission face à Hitler.
Malgré l'antifascisme affiché de la population française, les grands patrons multiplièrent néanmoins les contrats avec des groupes industriels et des banques nazis mais, par l'intermédiaire de sociétés écran suisses ou hollandaises. En 1938, la Compagnie Française des Pétroles se positionna pour une coopération étroite avec le reich hitlérien. En 1939, arguant du déficit commercial des colonies, un haut fonctionnaire du Quai d'Orsay encouragea la livraison de matières premières aux nazis.
Dans de nombreuses usines françaises, les patrons favorisèrent la création de groupes fascistes du PPF (parti populaire français) qui participèrent au mouchardage et à la répression des militants syndicaux. Animés par le patriotisme de profit, grands patrons français et allemands réalisèrent l'union sacrée contre le mouvement social issu de 1936. Le chef du PPF, Jacques Doriot mourut sur le front de l'Est, sous l'uniforme d'officier nazi.
Non vraiment, nous n'avons pas de patrimoine commun avec ces patrons, partisans d'une économie militarisée. Que l'école cesse de présenter cette période comme un roman national où la collaboration économique n'aurait commencé, forcée et contrainte, qu'en 1940. A l'inverse, la Résistance avec sa volonté d'appliquer à la Libération un ambitieux programme économique, social et culturel (nationalisation, sécurité sociale, retraite…) appartient véritablement à ce patrimoine commun porteur d'un projet commun à élargir, mais non à détruire comme s'y emploient aujourd'hui les grands patrons du MEDEF. Pour éviter d'entendre Plutôt Le Pen que le progrès social, il faut une Histoire qui aide à construire un projet commun fait de conscience collective pesant sur les " collaborations " présentes et à venir.
Que ceux qui se réclament de l'Education Populaire, exigent un enseignement de l'Histoire qui tourne le dos aux images d'Epinal. Que la mémoire de l'Histoire, enfin retrouvée, donne mauvaise conscience aux grands patrons du MEDEF, adversaires du progrès social au Nord comme au Sud, et à leur président, le baron Ernest Antoine Selliere, petit neveu de François de Wendel.
Qu'ils cessent de faire des profits avec des pays comme la Chine et la Birmanie, où les salariés n'ont pas de droits reconnus, où les opposants sont jetés en prison, enfermés dans des camps, torturés, assassinés et où les syndicats libres sont interdits comme dans l'Allemagne nazie.
Alain VIDAL, instituteur à Nantes, adhérent ATTAC 44 05-10-03
source : https://nantes.indymedia.org/articles/1515
Quand le patronat préparait sa revanche dans l’ombre à grand renfort de magouilles.
https://www.humanite.fr/culture/plutot- ... ire-555149
http://jacques.tourtaux.over-blog.com.o ... 74260.html
Si on regarde bien l'Histoire, c'est bien un épisode déjà vécu qui se trâme en ce moment, en France. Le patronat, le capital, nous refait le coup de 1940, avec les mêmes Pétain et autres Laval, avec des noms différents.
http://changementclimatique.over-blog.c ... 69673.html
etc .... etc .... etc ....
El Lobo a écrit : ↑18 novembre 2020 23:38da capo a écrit : ↑18 novembre 2020 23:19
''C'est l'histoire qui le dit, dans les années 30, ils clamaient en chœur dans les salons dorés, patrons, financiers, et les droites : ""plutôt hitler en France que le Front populaire"
Non, ce n'est pas l'histoire qui le dit, mais les habituels falsificateurs de l'histoire, en l'ocurrence communistes et ce, depuis 85 ans.
Cette phrase n'a jamais été déclamée ni écrite nulle part ailleurs que sous la plume d 'Emmanuel Mounier dans la revue ''Esprit'' :
''On ne comprendra rien à cette frange de la bourgeoisie si l'on ne l'entend murmurer : plutôt Hitler que Blum''
Il s'agit donc d'un murmure imaginé par E.Mounier et non de ''déclamations dans les salons dorés'', ce n'est pas tout à fait pareil et
ce n'est pas la première fois que tu nous sors ce fake.
Contester que droite, financiers, patrons et bourgeois préféraient hitler au front populaire dénote une prise de position en faveur des collabos et des amis des nazis dans les années noires de la France.
ALORS, LES POINTS SUR LES I
" PLUTOT HITLER QUE LE FRONT POPULAIRE "
Article Local Valide publié le mercredi 22 octobre 2003 à 21:42 | alain vidal |
Longtemps avant la deuxième guerre mondiale, bien avant l'Occupation, nombreux furent les grands patrons français de la chimie, de la sidérurgie, de la métallurgie, de l'automobile, de l'aéronautique, du pétrole, des charbonnages…à collaborer massivement et consciemment au réarmement de l'Allemagne hitlérienne.
Bien avant la guerre, le grand patronat français collabora massivement au réarmement de l'Allemagne nazie.
Longtemps avant la deuxième guerre mondiale, bien avant l'Occupation, nombreux furent les grands patrons français de la chimie, de la sidérurgie, de la métallurgie, de l'automobile, de l'aéronautique, du pétrole, des charbonnages…à collaborer massivement et consciemment au réarmement de l'Allemagne hitlérienne. Ils préféraient Hitler au Front populaire. D'abord ouvertement, voire clandestinement par sociétés écrans interposées. Dans les années trente, Plutôt Hitler que le Front Populaire fut le slogan d'une droite soutenue financièrement par le grand patronat. Le modèle hitlérien semblait le meilleur pour écraser les salaires, augmenter la durée du temps de travail et accroître les profits.
Pour les patrons français, le premier des dangers, c'était les congés payés et la semaine de quarante heures. Malgré la menace nazie, le grand patronat préféra lutter contre les ouvriers français qualifiés d'ennemi intérieur plutôt que d'empêcher le réarmement de l'Allemagne nazie. L'Occupation 39-45 ne fit qu'accentuer une collaboration qui, dans les faits, remontait à 14-18 où l'on vit, en pleine guerre, des patrons français et allemands signer des accords secrets, les français fournissaient électricité et produits chimiques à l'Allemagne, et en échange, les allemands s'engageaient à ne pas bombarder les usines sidérurgiques de Briey en Lorraine, dont celles de François de Wendel.
Dans les années vingt, et malgré le soutien financier du grand patronat allemand au parti nazi, le président du Comité des Forges, le même François de Wendel, fut à l'origine d'un cartel international de l'acier qui attribua 40% des parts à l'Allemagne. Le rédacteur du bulletin quotidien du Comité des Forges n'était autre que l'honorable correspondant en Allemagne du grand patronat français, l'ambassadeur de France à Berlin, François Poncet. En 1928, était fondée la Compagnie Générale Charbonnière franco-allemande entre le français Kulhman et l'IG Farben. Exemple de la collaboration dans la métallurgie, le 10 décembre 1937, une compagnie de Montrouge signa avec un métallurgiste allemand un contrat prévoyant la construction de fours industriels sur dix ans…
En 1932, la société française Ugine s'associait avec une filiale d'IG Farben spécialisée dans la chimie des cyanures ainsi qu'avec une autre société allemande détentrice du brevet du Zyklon B, le gaz des camps de concentration. En 1937, on célébra le dixième anniversaire de la signature du cartel franco-allemand de la chimie. Les industriels français étaient fascinés par le niveau de productivité de l'Allemagne nazie.
En 1933, les banquiers français saluèrent, avec une satisfaction non dissimulée, l'arrivée de Hitler au pouvoir. La Banque de France œuvra alors à la création d'une société franco-allemande pour assurer, à un niveau rentable, le maintien des envois de matières premières stratégiques au Reich. Banque de France et Comité des Forges furent les grands artisans de l'esprit de Munich, de la démission face à Hitler.
Malgré l'antifascisme affiché de la population française, les grands patrons multiplièrent néanmoins les contrats avec des groupes industriels et des banques nazis mais, par l'intermédiaire de sociétés écran suisses ou hollandaises. En 1938, la Compagnie Française des Pétroles se positionna pour une coopération étroite avec le reich hitlérien. En 1939, arguant du déficit commercial des colonies, un haut fonctionnaire du Quai d'Orsay encouragea la livraison de matières premières aux nazis.
Dans de nombreuses usines françaises, les patrons favorisèrent la création de groupes fascistes du PPF (parti populaire français) qui participèrent au mouchardage et à la répression des militants syndicaux. Animés par le patriotisme de profit, grands patrons français et allemands réalisèrent l'union sacrée contre le mouvement social issu de 1936. Le chef du PPF, Jacques Doriot mourut sur le front de l'Est, sous l'uniforme d'officier nazi.
Non vraiment, nous n'avons pas de patrimoine commun avec ces patrons, partisans d'une économie militarisée. Que l'école cesse de présenter cette période comme un roman national où la collaboration économique n'aurait commencé, forcée et contrainte, qu'en 1940. A l'inverse, la Résistance avec sa volonté d'appliquer à la Libération un ambitieux programme économique, social et culturel (nationalisation, sécurité sociale, retraite…) appartient véritablement à ce patrimoine commun porteur d'un projet commun à élargir, mais non à détruire comme s'y emploient aujourd'hui les grands patrons du MEDEF. Pour éviter d'entendre Plutôt Le Pen que le progrès social, il faut une Histoire qui aide à construire un projet commun fait de conscience collective pesant sur les " collaborations " présentes et à venir.
Que ceux qui se réclament de l'Education Populaire, exigent un enseignement de l'Histoire qui tourne le dos aux images d'Epinal. Que la mémoire de l'Histoire, enfin retrouvée, donne mauvaise conscience aux grands patrons du MEDEF, adversaires du progrès social au Nord comme au Sud, et à leur président, le baron Ernest Antoine Selliere, petit neveu de François de Wendel.
Qu'ils cessent de faire des profits avec des pays comme la Chine et la Birmanie, où les salariés n'ont pas de droits reconnus, où les opposants sont jetés en prison, enfermés dans des camps, torturés, assassinés et où les syndicats libres sont interdits comme dans l'Allemagne nazie.
Alain VIDAL, instituteur à Nantes, adhérent ATTAC 44 05-10-03
source : https://nantes.indymedia.org/articles/1515
Quand le patronat préparait sa revanche dans l’ombre à grand renfort de magouilles.
https://www.humanite.fr/culture/plutot- ... ire-555149
http://jacques.tourtaux.over-blog.com.o ... 74260.html
Si on regarde bien l'Histoire, c'est bien un épisode déjà vécu qui se trâme en ce moment, en France. Le patronat, le capital, nous refait le coup de 1940, avec les mêmes Pétain et autres Laval, avec des noms différents.
http://changementclimatique.over-blog.c ... 69673.html
etc .... etc .... etc ....
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"Il est particulièrement réconfortant en ces temps de malheur de voir de nombreux travailleurs parisiens s'entretenir avec les soldats allemands ,soit dans la rue ,soit au bistro du coin .BRAVO CAMARADES CONTINUEZ MM SI CA NE PLAIT PAS A CERTAINS BOURGEOIS AUSSI STUPIDES QUE MALFAISANTS. La fraternité des peuples ne sera pas tjrs une espérance ,elle deviendra une réalité vivante ."
L'Humanité du 4/7/1940.
Les communistes ne rentrèrent en résistance qu'en juin 41 aprés la rupture du pacte germano-soviétique et sur ordre de Moscou .
Pourquoi tu tousses ?
Ne t'engage pas sans biscuit sur ce sujet ,tu vas te ramasser mon grand.