Mesoke a écrit : ↑14 janvier 2021 13:37
Je n'ai jamais critiqué l'efficacité des molécules de chloroquine contre la malaria, les maladies auto-immunes ou les arthroses, ni les effets antibiotiques de l'azithromycine. Je dis juste que, d'après les études menées depuis un an, ces molécules n'ont pas prouvé leur efficacité contre le COVID. Ce n'est pas moi qui sort ça de mon chapeau, c'est le résultat de dizaines d'études parues sur le sujet. L'avis personnel d'un expert mondial n'a aucun intérêt, ce qui est demandé pour savoir si un traitement est efficace, c'est de tester rationnellement l'efficacité de ce traitement.
Le lien que tu me donnes vient du CRIIGEN, et de Christian Vélot, militant contre toutes les formes d'OGM et de génie génétique. Il donne des informations largement démenties ailleurs, notamment à cause de ce que je disais plus haut : l'ARN ds vaccins ne dispose pas du matériel chimique lui permettant de perce le noyau des cellules pour y atteindre notre ADN. En plus dans son article il parle de thérapie génique pour appuyer son argumentaire (comme quoi on utilise des bouts de virus pour aller insérer de l'ADN pour corriger l'ADN humain). Or un vaccin à ARN n'a rien à voir avec de la thérapie génique ... On a bien affaire à de la propagande.
Ton truc du Vidal ne parle que
du vaccin de Pfizer, pas des autres. Et pour celui de Pfizer ils disent qu'il n'y a pas de preuves que ça fonctionne pour les plus de 75 ans parce qu'aucun vacciné n'a déclaré la maladie, alors que seul 5 personnes du groupe placébo a eu le COVID, ce qui représente trop peu de différence pour être statistiquement utilisable. Il n'empêche que dans l'essai aucune personne de plus de 75 ans n'a eu le COVID ... A moins que tu aies un autre lien vers le Vidal qui parlerait de l'ensemble des vaccins.
Il y a eu tout autant, voire plus d'études qui vont dans le sens opposé, mais celles là, tu ne les considères pas ; pour autant, c'est bien du côté de cette science de pacotille que tu défends qu'on a constaté les plus grandes supercheries ;
et si, l'avis d'un expert mondial reconnu et respecté dans le monde entier a beaucoup d'importance ; il n'y a qu'en France que les esprits sont suffisamment tordus pour le faire passer pour un charlatan
Cela dit, je n'ai pas ressorti ce fil du fin fond du forum pour faire un énième fil sur les vaccins ou le Pr Raoult, mais bien de parler de l'ensemble des alternatives existantes, pour justement sortir du cadre imposé.
Au delà des débats sur l'efficacité de tel ou tel traitement, ce qui me parait suspect est qu'on se soit résolument tourné vers une solution unique de vaccin en se bornant à décréter qu'aucun traitement efficace n'existe, ce qui est parfaitement faux. Et à ce titre, on comprend mal (même si on devine) pourquoi on a fait les pieds au mur pour développer des vaccins moyennant des dizaines de projets dans le monde, et qu'on n'ait pas investi la même énergie et les mêmes moyens pour étudier des pistes de traitements ou tenter à plus large échelle des molécules sûres.
Je ne vais pas te répéter qu'en tant qu'individu et malade potentiel, je n'en ai rien à foutre d'une science qui ne prouve que ce qui l'intéresse et comme elle l'entend en achetant tout sur son passage et en éliminant les "obstacles" des pires manières qui soient
Je me fous tout autant de scientistes vendus qui n'agissent que dans leurs propres intérêts existentiels et financiers en se servant des populations comme cobayes et en considérant les morts comme des % . Et je suis très très loin d'être un cas isolé ...
Il y a aujourd'hui un collectif en France qui regroupe plus de 30 000 médecins, autant de soignants, et plus de 100 000 citoyens qui vont dans une direction résolument humaniste et bien moins destructrice que celle choisie et appliquée jusqu'à présent ; que tu le veuilles ou non, même si les médecins ne sont pas chercheurs, ils ont un socle gigantesque de connaissances acquises par des années d'expérience, et ont le gros avantage de connaitre mieux que personne les effets réels des traitements à long terme.
Je reposte le lien vers le manifeste de ce collectif dont l'approche est plus positive parce qu'elle se place sur le terrain de la prévention sans induire de risques, qu'elle est fondée sur des molécules existantes et sûres, qu'elle a le mérite de respecter les libertés de prescription des médecins et de choix des patients, et donc de l'intégrité physique des individus et plus largement, de la démocratie
https://manifestes-libertes.org/wp-cont ... E-Vdef.pdf
De nombreuses publications nationales et internationales laissent penser que le TRAITEMENT PRÉCOCE pourrait reposer sur une ou plusieurs de ces approches thérapeutiques :
-Le zinc à forte dose (60 mg en moyenne).
-La vitamine C qui, à forte dose (plusieurs grammes par jour), a une action antivirale, augmente nos défenses et aide à être moins fatigué.
-La vitamine D si elle n’a pas été déjà prescrite en prévention (on a montré que les personnes qui font des formes graves ont souvent des taux sanguins de vitamine D très bas).
-L’azithromycine, une molécule antibiotique qui, par sa configuration, a également une action antivirale en même temps qu’elle réduit le risque de surinfections bactériennes. Dans de nombreux cas, elle peut, à elle seule enrayer les symptômes en quelques jours.
-L’hydroxychloroquine (vendue en France sous le nom de Plaquenil®) dont l’efficacité sur le virus est bien démontrée. Mais pour qu’elle soit utile, elle doit être absolument utilisée dans la première phase de la maladie.
Il existe même d’autres pistes complémentaires pour soulager et soigner les malades: d’autres antibiotiques de la classe des macrolides, la doxycycline (un autre antibiotique), l’ivermectine (un antiparasitaire comme l’hydroxychloroquine), l’armoise, une plante antiparasitaire très utilisée en Afrique ou en Asie avec des résultats très encourageants (il n’y a pas de recrudescence de l’épidémie en Asie et en Afrique), mais aussi l’aromathérapie, la phytothérapie ou l’homéopathie qui peuvent lutter contre les infections ou soulager les symptômes.
Tous ces traitements doivent être prescrits par un médecin en fonction des spécificités de son patient, de ses symptômes et d’éventuelles précautions d’emploi.
En conclusion nous demandons que le médecin traitant soit remis au centre du processus de prise en charge des patients et soit la pierre angulaire des démarches sanitaires