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et on devrait attendre 5 ans pour crier au loup, alors qu'on sait déjà de quel côté va pencher la balance ?Victor a écrit :Il ne faut être ni optimiste, ni pessimiste.lotus95 a écrit :
mais bien sûr, et encore une fois, tout dépend de quel côté on se place, il est sûr que lorsque l'on n'a pas grand chose à craindre ou même tout à y gagner, on ne peut qu'être optimiste ...
Il faudra regarder les résultats.
Est-ce que l'activité économique va s'écrouler ou bien redémarrer ?
Est-ce que le chômage va augmenter ou bien diminuer ?
Est-ce que le pouvoir d'achat va baisser ou bien se maintenir et augmenter ?
Est-ce que le niveau de pauvreté va monter ou baisser ?
Est-ce que les déficits publics seront contenus ou vont-ils déraper ?
Est-ce que le niveau scolaire va continuer à baisser ou bien va-t-il remonter ?
Etc.
Si l'on veut rentrer dans une démarche objective et non partisane, non biaisée, il faut accepter de ne pas avoir d'à priori et de juger sur résultats..
PS : En tenant compte du contexte économique mondial également. Parce que réussir quand l'économie mondiale tourne à plein régime, c'est quand même plus facile que quand le monde subit un ralentissement ou une crise majeure.
en somme se contenter d'être spectateur, et d'attendre de voir à quelle sauce on sera mangé ?
enfin quand je dis "on" ... ça confirme ce que je disais, tout dépend de quel côté on se place ... la France tranquille qui a tout à gagner, ou en tout cas rien à perdre, et qui donne comme toi l'impression d'être dans un grand jeu de Monopoly, et l'autre France qui s'inquiète de ce qui va lui tomber dessus ... tu oublies qu'il y a des vies derrière tout cela ?