Fonck1 a écrit : ↑28 mars 2024 00:14
mic43121 a écrit : ↑27 mars 2024 20:13
Là c'est le prof qui a eut raison vis a vis de la loi ..
Mais ce n'est pas toujours le cas ...
Dans un collège un élève (rupin) tape (FORT) sur un jeune arabe..
Mise dehors du Fautif... 8jours
Le lendemain La mère se pointe avec son avocat ..
Le rupin est réintégré l'après midi...
Circulez il n'y a rien a voir ....
Je l'ai déjà raconté ..
Faudrait voir qui est responsable de ça et quel âge a le gosse.
Dans les faits avant 16 ans, l’état est quand même obligé de lui trouver une place .
effectivement elle aura probablement 16 ans dans l'année ; âge à laquelle la scolarisation n'est plus obligatoire
l'état si elle habite à Lille peut lui trouver un établissement à Montpellier
la loi ne précise pas à quelle distance de la résidence des parents l'enfant exclu il doit être obligatoirement scolarisé
si ce n'est la première scolarisation avent l'exclusion
mais là c'çà ne semble pas être le cas car c'est du fait de ses parents qu'elle n'est plus scolarisée dans cet établissement
Donc l'état n'a plus aucune obligation de scolarisation et aucun établissement n'a obligation de l'accepter
Nous sommes presqu'en avril et donc il ne reste plus qu'un trimestre pour la fin de l'année scolaire et surement à la prochaine rentrée scolaire elle aura 16 ans durant l'année scolaire
le fait qu'elle est moins de 16 ans n'empêche pas la plainte et qu'elle soit jugée par un tribunal pour mineur malgré l'excuse de minorité
Excuse de minorité "encore une aberration qui n'existe qu'en France"
La situation que l'on rencontre aujourd'hui ne serait pas si le régalien avait fait respecté la laïcité en 1989 à l'époque "les 2 premiers foulards "
Et à cause de cela et d'une religion qui pale de droit et non de devoir nous avons aujourd'hui le RN et reconquête aux portes du pouvoir tant en UE qu'en France pour 2027
Les musulmans ne comprennent pas que cette situation c'est à eux de la régler plutôt que de l'approuver à part quelques exception comme l'imam de la mosquée de bordeaux
Même le conseil national des musulmans de France reste muet sur le sujet plutôt que d'inciter au respect de la laïcité faisant ainsi eux même le propre malheur de leur communauté par la discrimination