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Souhaitons à la pauvre femme violée que les violeurs ne portent pas plainte parce qu'ils s'aperçoivent qu'ils viennent d'attraper qq part une blenno.Un comble pour elle.
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Souhaitons à la pauvre femme violée que les violeurs ne portent pas plainte parce qu'ils s'aperçoivent qu'ils viennent d'attraper qq part une blenno.A trois soudanais dans le feu de l'action, ils vont bien réussir à se filer quelque chose et à porter plainte contre la police qui ne les a pas protégés, non ?
faut peut être demander à l'armée française?
Sarkosy a vu 15 ans avant d'être jugé pour la première fois il lui reste 11 mise en examen ,il sera définitivement jugé en 3087 et cela sans appelcapochef99 a écrit : ↑03 octobre 2022 11:42Et oui , 6 ans pour juger une évidence comme le massacre du 14 Juillet sur la Promenade des Anglais , c'est pas assez parlant !!!!!!!
Il suffit de demander :
C'est que ça doit etre vrai ..Patchouli38 a écrit : ↑03 octobre 2022 12:53Il suffit de demander :
"https://www.jeuneafrique.com/1341990/cu ... gael-faye/
"Dans un documentaire, le rappeur et son coréalisateur Michaël Sztanke reviennent sur les viols dont des rescapées accusent des militaires français de l’opération Turquoise. "
"Ces survivantes du génocide des Tutsi témoignent de viols commis par des soldats français, en docu"
https://www.madmoizelle.com/ces-surviva ... cu-1428457
bien sur que si.
Avec ce type de faits divers au quotidien
vivarais a écrit : ↑05 octobre 2022 07:53Avec ce type de faits divers au quotidien
Est-ce que l'electorat nantais va rester longtemps favorable à la gauche surtout à LFI
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/fra ... 7c1d89590f
à force de constater les changements favorables comme cela se produit ailleurs quand ce n'est plus la gauche qui gere les finance et la sécurité municipale
https://www.rtl.fr/actu/politique/resul ... 7800636996
Source:Le Figaro.
Menacée par des caïds nantais, une juge d'instruction craint pour sa vie. Cette magistrate d'une quarantaine d'années, spécialisée dans le crime organisé et les trafics de stupéfiants, fait l'objet de tentatives d'intimidation depuis plusieurs mois, relate Le Monde .
En 2020 et 2021, cette juge de la JIRS (juridiction interrégionale spécialisée) de Rennes a mené des auditions dans une affaire de crime organisé à Nantes. Dès lors, elle a été la cible d'insultes et de menaces de la part de trois individus : Mohamed A., Ossama H. et Illias N.
«Si vous vous faites rafaler ou renverser par une voiture en sortant du tribunal, je serai content», «Tout se paie dans la vie» ou encore «Je vous lâcherait (sic) jamais», menacent-ils, par oral ou par écrit, détaillent nos confrères.
Âgé de moins de 30 ans, Mohamed A. est un caïd engagé dans une guerre des clans pour contrôler des points de deal. Il est notamment suspecté d'être lié à une fusillade dans un bar à chicha durant laquelle un jeune homme a été tué par plusieurs tireurs équipés d'armes de guerre. Les deux autres individus sont suspectés d'avoir participé à cette fusillade.
Mais les menaces ont laissé place à la crainte pour la juge d'instruction en charge du dossier. Les trois hommes ont en effet été remis en liberté en l'espace de six mois suite à des bourdes de la justice, rapporte Le Monde. Illias N. est sorti de prison le 8 février 2022 car la justice n'a pas examiné dans les délais son appel contre une décision lui refusant une mise en liberté. Ossama H. a été libéré le 27 juillet : Il avait contesté son renvoi devant une cour d'assises pour la fusillade mais la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Rennes n'a pas pu statuer à temps sur ce dossier en raison d'une «surcharge de travail». Le 31 août, Mohamed A., a été remis en liberté à son tour.
Après leur sortie de prison, les trois suspects ont été placés sous bracelet électronique. Mais, selon nos informations, leurs bracelets auraient sonné à plusieurs reprises.
Polémique sur sa demande de protection:
La magistrate a formulé une demande de protection rapprochée auprès de sa hiérarchie en juillet. «Elle n'a eu aucune réponse formelle à cette demande depuis son signalement de juillet», déplore Thibaut Spriet, secrétaire national du syndicat de la magistrature. «On envoie nos collègues au front et on les laisse tomber», ajoute-t-il.
«Le 27 juillet, le parquet a transmis au DDSP 35 (directeur départemental de la sécurité publique d'Ille-et-Vilaine, NDLR.) la demande de protection faite par la présidente du tribunal afin que cette demande puisse être expertisée par le service compétent du ministère de l'Intérieur», indique au Figaro le procureur de la République de Rennes, Philippe Astruc.
«Une demande de protection a été transmise par la cour d'appel de Rennes à la direction des services judiciaires (DSJ), le 27 juillet», nous confirme de son côté le ministère de la Justice.
Cette demande a ensuite été transmise au ministère de l'Intérieur. Ce dernier a alors indiqué que la protection serait prise en charge par la DDSP 35. «La magistrate a été reçue par le DDSP 35 et le directeur zonal de la police judiciaire, le 2 septembre, dès son retour de congés», poursuit le ministère de la Justice. Des mesures de protection, insuffisantes aux yeux de la magistrate, ont ensuite été mises en place. Des rondes de la police ont eu lieu tandis que les agents de sécurité du tribunal judiciaire la raccompagnaient jusqu'à sa voiture.
Selon le ministère de la Justice, les chefs de la cour d'appel de Rennes ont jugé «satisfaisant» le dispositif mis en place alors que, de son côté, le ministère de l'Intérieur estimait qu'il pourrait «évoluer en fonction de la menace».
Soumis au port d'un bracelet électronique depuis sa sortie de prison, Ossama H. s'en est débarrassé le 9 octobre. Il est depuis introuvable. Le lendemain, à la veille de la parution de l'article du Monde, la DSJ a alerté le ministère de l'Intérieur et demandé un réexamen du dispositif.
«Une évaluation UCLAT (une unité rattachée à la direction générale de la sécurité intérieure, NDLR.) est en cours», nous indique le cabinet du ministre de l'Intérieur. La magistrate pourrait donc prochainement obtenir la protection rapprochée qu'elle réclame depuis plusieurs mois.
Source:Le Parisien.
Les pompiers de Loire-Atlantique ont été alertés vers 6h30 ce dimanche matin de l’agression d’une femme sur la voie publique, à Nantes. Les faits se sont produits en face d’un centre d’activité, dans une zone où il n’y a pas d’habitations.
Selon Ouest-France, des témoins auraient vu une femme poursuivie par un homme qui aurait tenté de l’attraper par les cheveux. Elle aurait alors crié « au secours, au secours ». Il l’aurait alors poignardée d’au moins trois coups de couteau, à l’épaule et à l’abdomen.
La victime, âgée de 47 ans, d’après les pompiers, est « rapidement tombée inconsciente puis en arrêt cardio-respiratoire à l’arrivée des secours ». Elle n’a pas pu être réanimée et a été déclarée décédée sur les lieux, précisent-ils.
Le directeur départemental de la sécurité publique (DDSP), des élus, des pompiers et une équipe de la police judiciaire sont sur place.Selon Ouest France, aucune interpellation n’a eu lieu pour le moment.