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Puisque tu nous brandis la loi, alors allons-y. La loi n'oblige pas à proposer plus d'un repas dans les cantines. Voir ici: https://questions.assemblee-nationale.f ... 06QOSD.htmHdelapampa a écrit : ↑02 juillet 2023 22:39Ca c'est le discours d'un persécuté qui voit de l'entrisme partout.papibilou a écrit : ↑02 juillet 2023 20:28C'est assez drôle car vous utilisez la rhétorique inversée des frères musulmans, celle qu'utilise avec astuce un Jiimmy, celle de la liberté.
L'entrisme islamique, c'est un mot qui ne vous dit rien ? Mais il n'y a aucune raison que ça s'arrête. aux repas La tenue, le voile la prière à l'école c'est aussi une forme de " liberté" que réclament les islamistes et au nom de laquelle vous estimez légitime de prévoir repas halal casher etc..
Si vous mettez une limite ( à condition que vous en mettiez ) ou la mettez vous ?
Votre façon de lutter contre l'islamisme force l'admiration.
La limite est celle de la loi qui interdit les signes ostentatoires, le prosélytisme en dehors de la maison et de la Mosquée.
"Comme l'a réaffirmé à plusieurs reprises le juge administratif, la création d'un service de restauration scolaire ne présente pas un caractère obligatoire, car il ne s'agit pas d'une obligation liée au service public de l'enseignement. La fréquentation de la cantine par les élèves n'est pas non plus obligatoire. Les parents qui souhaitent y inscrire leurs enfants le font après avoir pris connaissance des modalités de fonctionnement du restaurant scolaire, qui sont souvent rappelées dans un règlement intérieur du service de restauration.
S'agissant plus précisément du menu des cantines, la loi du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales a transféré aux départements et aux régions la compétence en matière de restauration scolaire. Il appartient donc au conseil municipal pour les écoles, au conseil général pour les collèges et au conseil régional pour les lycées de définir le type d'aliments proposé aux élèves. Seules les prescriptions nutritionnelles relatives à la composition des repas tiennent lieu d'obligation. Aucune obligation de prévoir des plats de substitution en raison de pratiques d'ordre confessionnel ne saurait donc contraindre les collectivités.
Par ailleurs, le refus d'adapter le menu des cantines à des demandes particulières ne remet pas en cause le principe de liberté religieuse. En effet, si ce principe implique le respect du libre exercice des cultes par l'État, il n'oblige pas les services publics à s'adapter aux pratiques religieuses qui concernent la sphère privée."
Donc, en proposant un repas sans porc, on fait déjà preuve d'une sacrée ouverture, qui à moi me semble normale. Mais il n'y pas lieu d'aller plus loin.