Victor a écrit : evariste a écrit : c'est pourtant facile de traiter ce problème , on leur donne de quoi manger durant trois jours et on les ramène d'où ils viennent .
C'est là que cela devient intéressant. On fait comment pour les ramener d'où ils viennent ?
Qui s'en charge ? Avec quels moyens ? Avec l'accord des pays d'où ils sont partis, etc.
On est bien d'accord que les garde-côtes italiens, français, espagnols ne peuvent intervenir que dans les eaux territoriales de leur pays ...
De plus, les migrants ne seront pas du tout volontaires pour un retour étant donné tout ce qu'ils ont payé et vécu pour arriver en Europe. C'est à dire qu'il faudrait les contraindre physiquement puis forcer le retour de ces personnes dans des pays qui y seront opposés ... Pas simple du tout.
La seule solution pour lutter contre cette vague migratoire, c'est d'accueillir ces migrants dans de grands camps fermés avec des baraquements, des barbelés, des miradors, et de faire passer les images.
Si leur arrivée en Europe correspond à l'arrivée dans un camp de rétention, le téléphone fonctionnera très bien et ils ne viendront plus. Mais si on les laisse libre de leur mouvement à leur arrivée en Europe, c'est l'appel d'air et on n'en sortira pas.
Moi je pense qu'il faut faire le tris dans ceux que nous devons accueilir ! Il est bien évident que ceux qui fuient la guerre doivent rester, et qu'une fois le conflit terminé dans leurs pays, ils devront rentrer chez eux.
Pour les migrants économiques, là, il faut être ferme ! Il faut diffuser le message que nous ne pouvons les accueillirs parce que nous n'en avons pas les capacités, et que l'Afrique va se développer grâce à sa démographie. Et du coup, elle va avoir une croissance de 2,5 % d'ici à une dizaine d'année. D'ailleurs, pourquoi partir ? Il faut contribuer au développement de leur pays. Des médecins béninois sur la côte d'azur ne sont pas utiles au Bénin. Hors, ils pourraient retourner chez eux pour former les futurs médecins qui en formeront d'autre etc... Il faut les accompagner, ça ne se fera pas sans financement.
Les économiques si ils veulent rester il faut exiger des critères :
Etre francophone (ce qui facilietera l'intégration).
Etre chrétien (pour contrer le changement de civilisation).
Les sélectionner en fonction de leur compétences, c'est à dire, si le type qui vient était agriculteur dans son pays, vu qu'on manque d'agriculteur chez nous, on prend !!!!!!!!!! Si le type qui vient est prêtre, on prend aussi !!!!
Si le type est banquier ou trader, on en a suffisament, donc on rejette sa demande, ou on lui propose d'exercer un autre métier que celui qu'il exerçait, vu qu'il correspond aux deux autres critères (Francophone et Chrétien) !