Battue,une femme se voit expulsée à cause de ses cris.
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Battue,une femme se voit expulsée à cause de ses cris.
A La Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine), Elodie et ses enfants font l’objet d’une procédure d’expulsion de leur logement social en raison de «nuisances sonores» signalées par les voisins. Face à la mobilisation, le bailleur 3F a finalement réagi, promettant de les reloger.
C’est une voix sereine, quoique un peu timide, à l’autre bout du fil. «La mobilisation a servi, ça a fait bouger les choses», dit Elodie, 37 ans. Cette mère de deux enfants, battue par son conjoint, fait l’objet d’une procédure d’expulsion de son logement social à La Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine), en raison de «nuisances sonores». Nuisances qui n’étaient autres que ses cris.
Une décision prononcée par le tribunal d’instance de Colombes, le 29 juin, à la suite d’une démarche de son bailleur, sollicité par des voisins excédés. Très vite, la presse et les réseaux sociaux se sont emparés de l’histoire d’Elodie. Sur Twitter, nombre d’internautes ont interpellé lundi la société immobilière 3F.
Grâce à ces multiples soutiens (et à ce «bad buzz» pour le bailleur social), la mère de famille – qui avait formulé en vain une demande de relogement depuis le printemps – a finalement obtenu des avancées : «Les 3F m’ont appelée [lundi]. J’ai rendez-vous jeudi à 15 heures pour visiter un logement, a-t-elle confié à Libération, soulagée. Quand j’ai reçu le jugement, j’étais perdue. Je ne pensais pas qu’on pouvait faire ça : me mettre dehors avec mes enfants à cause du bruit !»
«Une décision hallucinante»
Le 29 juin, Elodie s’était vu notifier la résiliation de son bail (au nom du couple) et l’expulsion de son logement. Dans le jugement civil que Libération a pu consulter, on peut lire qu’il est notamment reproché des «cris tous les jours» et des «hurlements» de femme et d’enfants, des «disputes» récurrentes… Des «nuisances sonores» qui ont visiblement importuné les voisins de la mère de famille, plutôt que de les alerter. Le juge d’instance écrit aussi que «la plainte déposée pour violences conjugales par Madame X ne fait que corroborer les troubles évoqués» ou encore que «Monsieur X est parti des lieux loués, ce qui va pacifier l’occupation du logement».
«C’est une décision hallucinante, sidérante. Le juge prend acte des faits de violences conjugales. On n’est pas dans du "on-dit", on est dans quelque chose de réel», commente Me Migueline Rosset, avocate d’Elodie, pourtant habituée depuis des années à traiter du droit de la famille. «Il aurait pu agir avec humanité et renvoyer l’affaire, par exemple, le temps de vérifier que monsieur était bien parti du logement», poursuit le conseil, qui note en passant que le magistrat en question est une femme. Lors de l’audience, en mai, le couple en séparation avait déclaré que le père des enfants ne résidait désormais plus au domicile. Mais «il importe peu que soit évoqué le départ de Monsieur X», estime encore le juge d’instance dans sa décision.
«Personne n’est venu»
Le couple s’était installé en 2016 dans cette résidence HLM de La Garenne-Colombes. Elodie raconte avoir été violemment frappée par son compagnon, qui lui avait confisqué son téléphone portable en mars.
«Il m’a donné des coups sur le visage, m’a maintenu si fort les bras que j’en ai eu des hématomes, aussi derrière les cuisses», se souvient-elle. Ce soir-là, il plus de 4 heures du matin. Leurs filles de 4 et 6 ans dorment. «Avant, c’était des insultes. Il me parlait mal, me criait dessus. Il me rabaissait. Il me disait que j’étais une folle, une feignante, que je ne savais pas m’occuper de mes enfants. C’était tout le temps, décrit-elle. Il m’a même menacée de mort.»
Cette femme battue dit aussi l’indifférence des riverains : «J’ai appelé au secours, mais personne n’est venu.» Des voisins qui, pour certains, n’ont pas hésité à faire remonter leur mécontentement au bailleur de l’immeuble, évoquant pêle-mêle des bruits d’enfants courant sur le sol, des hurlements, des insultes ou des jets d’objets.
Le 30 mars, la trentenaire dépose plainte au commissariat. Les violences sont constatées, la mère de famille écope de deux jours d’incapacité temporaire de travail (ITT). Début mai, son conjoint est cette fois placé en garde à vue après de nouvelles violences. A bout, décidée à trouver une solution, Elodie écrit au bailleur 3F en demandant à être relogée, «ne pouvant plus vivre dans la peur et la violence» avec ses enfants. En vain. La procédure est lancée, et selon le jugement rendu, la mère et ses enfants devraient quitter leur appartement d’ici au 12 septembre.
«Une situation prioritaire»
Me Rosset, qui a fait appel de la décision du tribunal d’instance et a saisi le juge d’exécution, s’est réjoui sur son compte Twitter du fait qu’Elodie allait être enfin relogée avec ses enfants. Même si, prudente, elle attend «de voir le bail». Contactée par Libération, la société immobilière, à l’origine de la procédure d’expulsion, assure désormais : «Cette locataire est toujours dans son logement. Elle n’est pas à la rue, et ne le sera pas le 12 septembre. Sa situation est prioritaire. Nous travaillons avec elle à une solution de relogement.»
Source:Libération.
http://www.liberation.fr/france/2018/08 ... is_1672594
C’est une voix sereine, quoique un peu timide, à l’autre bout du fil. «La mobilisation a servi, ça a fait bouger les choses», dit Elodie, 37 ans. Cette mère de deux enfants, battue par son conjoint, fait l’objet d’une procédure d’expulsion de son logement social à La Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine), en raison de «nuisances sonores». Nuisances qui n’étaient autres que ses cris.
Une décision prononcée par le tribunal d’instance de Colombes, le 29 juin, à la suite d’une démarche de son bailleur, sollicité par des voisins excédés. Très vite, la presse et les réseaux sociaux se sont emparés de l’histoire d’Elodie. Sur Twitter, nombre d’internautes ont interpellé lundi la société immobilière 3F.
Grâce à ces multiples soutiens (et à ce «bad buzz» pour le bailleur social), la mère de famille – qui avait formulé en vain une demande de relogement depuis le printemps – a finalement obtenu des avancées : «Les 3F m’ont appelée [lundi]. J’ai rendez-vous jeudi à 15 heures pour visiter un logement, a-t-elle confié à Libération, soulagée. Quand j’ai reçu le jugement, j’étais perdue. Je ne pensais pas qu’on pouvait faire ça : me mettre dehors avec mes enfants à cause du bruit !»
«Une décision hallucinante»
Le 29 juin, Elodie s’était vu notifier la résiliation de son bail (au nom du couple) et l’expulsion de son logement. Dans le jugement civil que Libération a pu consulter, on peut lire qu’il est notamment reproché des «cris tous les jours» et des «hurlements» de femme et d’enfants, des «disputes» récurrentes… Des «nuisances sonores» qui ont visiblement importuné les voisins de la mère de famille, plutôt que de les alerter. Le juge d’instance écrit aussi que «la plainte déposée pour violences conjugales par Madame X ne fait que corroborer les troubles évoqués» ou encore que «Monsieur X est parti des lieux loués, ce qui va pacifier l’occupation du logement».
«C’est une décision hallucinante, sidérante. Le juge prend acte des faits de violences conjugales. On n’est pas dans du "on-dit", on est dans quelque chose de réel», commente Me Migueline Rosset, avocate d’Elodie, pourtant habituée depuis des années à traiter du droit de la famille. «Il aurait pu agir avec humanité et renvoyer l’affaire, par exemple, le temps de vérifier que monsieur était bien parti du logement», poursuit le conseil, qui note en passant que le magistrat en question est une femme. Lors de l’audience, en mai, le couple en séparation avait déclaré que le père des enfants ne résidait désormais plus au domicile. Mais «il importe peu que soit évoqué le départ de Monsieur X», estime encore le juge d’instance dans sa décision.
«Personne n’est venu»
Le couple s’était installé en 2016 dans cette résidence HLM de La Garenne-Colombes. Elodie raconte avoir été violemment frappée par son compagnon, qui lui avait confisqué son téléphone portable en mars.
«Il m’a donné des coups sur le visage, m’a maintenu si fort les bras que j’en ai eu des hématomes, aussi derrière les cuisses», se souvient-elle. Ce soir-là, il plus de 4 heures du matin. Leurs filles de 4 et 6 ans dorment. «Avant, c’était des insultes. Il me parlait mal, me criait dessus. Il me rabaissait. Il me disait que j’étais une folle, une feignante, que je ne savais pas m’occuper de mes enfants. C’était tout le temps, décrit-elle. Il m’a même menacée de mort.»
Cette femme battue dit aussi l’indifférence des riverains : «J’ai appelé au secours, mais personne n’est venu.» Des voisins qui, pour certains, n’ont pas hésité à faire remonter leur mécontentement au bailleur de l’immeuble, évoquant pêle-mêle des bruits d’enfants courant sur le sol, des hurlements, des insultes ou des jets d’objets.
Le 30 mars, la trentenaire dépose plainte au commissariat. Les violences sont constatées, la mère de famille écope de deux jours d’incapacité temporaire de travail (ITT). Début mai, son conjoint est cette fois placé en garde à vue après de nouvelles violences. A bout, décidée à trouver une solution, Elodie écrit au bailleur 3F en demandant à être relogée, «ne pouvant plus vivre dans la peur et la violence» avec ses enfants. En vain. La procédure est lancée, et selon le jugement rendu, la mère et ses enfants devraient quitter leur appartement d’ici au 12 septembre.
«Une situation prioritaire»
Me Rosset, qui a fait appel de la décision du tribunal d’instance et a saisi le juge d’exécution, s’est réjoui sur son compte Twitter du fait qu’Elodie allait être enfin relogée avec ses enfants. Même si, prudente, elle attend «de voir le bail». Contactée par Libération, la société immobilière, à l’origine de la procédure d’expulsion, assure désormais : «Cette locataire est toujours dans son logement. Elle n’est pas à la rue, et ne le sera pas le 12 septembre. Sa situation est prioritaire. Nous travaillons avec elle à une solution de relogement.»
Source:Libération.
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Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
..J'apprécie tellement les Chips que parfois je leurs fais des bisous...
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Re: Battue,une femme se voit expulsée à cause de ses cris.
Je ne comprends pas la raison qui ferait que l'on ne lui permette pas de rester dans son logement dans la mesure ou ces bruits n'étaient pas intentionnels, que la société immobilière la laisse chez elle
Enfin pourquoi faire facile quand on peut faire compliqué
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Vous pouvez vous construire un trône avec des baïonnettes, mais vous ne resterez pas assis longtemps dessus.
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Re: Battue,une femme se voit expulsée à cause de ses cris.
zylto a écrit : Je ne comprends pas la raison qui ferait que l'on ne lui permette pas de rester dans son logement dans la mesure ou ces bruits n'étaient pas intentionnels, que la société immobilière la laisse chez elle
Enfin pourquoi faire facile quand on peut faire compliqué
ne sont pas intentionnels
elle se fait battre , crie et reste toujours avec celui qui la bat pour qu'il recommence
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Re: Battue,une femme se voit expulsée à cause de ses cris.
tu plaisantes là ?vivarais a écrit :zylto a écrit : Je ne comprends pas la raison qui ferait que l'on ne lui permette pas de rester dans son logement dans la mesure ou ces bruits n'étaient pas intentionnels, que la société immobilière la laisse chez elle
Enfin pourquoi faire facile quand on peut faire compliqué
ne sont pas intentionnels
elle se fait battre , crie et reste toujours avec celui qui la bat pour qu'il recommence
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Re: Battue,une femme se voit expulsée à cause de ses cris.
pas du tout si l'on reste avec quelqu'un qui vous bat c'est que l'on aime celàtisiphoné a écrit :tu plaisantes là ?vivarais a écrit :
ne sont pas intentionnels
elle se fait battre , crie et reste toujours avec celui qui la bat pour qu'il recommence
les voisins ne sont pas obligés de supporter son addiction aux coups et son plaisir de vocciférer
il y a suffisament des dispositions et d'aides pour permettre aux personnes battues de quitter leur bourreau
la decision n'a pas du etre prise pour une fois et une multitude de fois
supporteriez vous de vivre au voisinage des gens qui du matin au soir passent leur temps à se battre et à s'engueuler
tout comme s'ils faisaient la fiesta
le bailleur n'a fait qu'appliquer la reglementation et tres certainement une decision de justice car on ne peut pas expulser des gens sans cela
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Re: Battue,une femme se voit expulsée à cause de ses cris.
A La Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine), Elodie et ses enfants font l’objet d’une procédure d’expulsion de leur logement social en raison de «nuisances sonores» signalées par les voisins. Face à la mobilisation, le bailleur 3F a finalement réagi, promettant de les reloger.
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Donc au départ ce sont bien des voisins qui souhaitaient leur départ et ensuite ce sont d'autres voisins qui se mobilisent contre leur expulsion .... bin si j'étais à la place du bailleur je ne m'occuperai plus de cette affaire ... qu'ils se débrouillent entre voisins !
Cette situation est comparable avec les migrants et les délinquants ... d'un côté des gens qui veulent vivre en paix et sereinement et de l'autre, des bisounours, qui se mêlent à tort et à travers le plus souvent des affaires qui ne les regardent pas ou alors de très loin
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Donc au départ ce sont bien des voisins qui souhaitaient leur départ et ensuite ce sont d'autres voisins qui se mobilisent contre leur expulsion .... bin si j'étais à la place du bailleur je ne m'occuperai plus de cette affaire ... qu'ils se débrouillent entre voisins !
Cette situation est comparable avec les migrants et les délinquants ... d'un côté des gens qui veulent vivre en paix et sereinement et de l'autre, des bisounours, qui se mêlent à tort et à travers le plus souvent des affaires qui ne les regardent pas ou alors de très loin
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Re: Battue,une femme se voit expulsée à cause de ses cris.
Le problème est évidemment bien plus complexe que cela. C'est assez étonnant que certains tiennent encore aujourd'hui sur ce type de sujet des raisonnements aussi préhistoriques.vivarais a écrit :pas du tout si l'on reste avec quelqu'un qui vous bat c'est que l'on aime celàtisiphoné a écrit :
tu plaisantes là ?
il y a suffisament des dispositions et d'aides pour permettre aux personnes battues de quitter leur bourreau
la decision n'a pas du etre prise pour une fois et une multitude de fois
supporteriez vous de vivre au voisinage des gens qui du matin au soir passent leur temps à se battre et à s'engueuler
tout comme s'ils faisaient la fiesta
le bailleur n'a fait qu'appliquer la reglementation et tres certainement une decision de justice car on ne peut pas expulser des gens sans cela
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Re: Battue,une femme se voit expulsée à cause de ses cris.
Dans la préhistoire, les femmes avaient l'habitude d'être traînées par les cheveuxStounk a écrit :Le problème est évidemment bien plus complexe que cela. C'est assez étonnant que certains tiennent encore aujourd'hui sur ce type de sujet des raisonnements aussi préhistoriques.vivarais a écrit :
pas du tout si l'on reste avec quelqu'un qui vous bat c'est que l'on aime celà
il y a suffisament des dispositions et d'aides pour permettre aux personnes battues de quitter leur bourreau
la decision n'a pas du etre prise pour une fois et une multitude de fois
supporteriez vous de vivre au voisinage des gens qui du matin au soir passent leur temps à se battre et à s'engueuler
tout comme s'ils faisaient la fiesta
le bailleur n'a fait qu'appliquer la reglementation et tres certainement une decision de justice car on ne peut pas expulser des gens sans cela
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Re: Battue,une femme se voit expulsée à cause de ses cris.
Toi, je suis certain que tu es de ces personnes : "J’ai appelé au secours, mais personne n’est venu."vivarais a écrit :pas du tout si l'on reste avec quelqu'un qui vous bat c'est que l'on aime celàtisiphoné a écrit :
tu plaisantes là ?
il y a suffisament des dispositions et d'aides pour permettre aux personnes battues de quitter leur bourreau
la decision n'a pas du etre prise pour une fois et une multitude de fois
supporteriez vous de vivre au voisinage des gens qui du matin au soir passent leur temps à se battre et à s'engueuler
tout comme s'ils faisaient la fiesta
le bailleur n'a fait qu'appliquer la reglementation et tres certainement une decision de justice car on ne peut pas expulser des gens sans cela
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Re: Battue,une femme se voit expulsée à cause de ses cris.
vivarais a écrit :pas du tout si l'on reste avec quelqu'un qui vous bat c'est que l'on aime celàtisiphoné a écrit :
tu plaisantes là ?
il y a suffisament des dispositions et d'aides pour permettre aux personnes battues de quitter leur bourreau
la decision n'a pas du etre prise pour une fois et une multitude de fois
supporteriez vous de vivre au voisinage des gens qui du matin au soir passent leur temps à se battre et à s'engueuler
tout comme s'ils faisaient la fiesta
le bailleur n'a fait qu'appliquer la reglementation et tres certainement une decision de justice car on ne peut pas expulser des gens sans cela
on a trouvé le roi des connards. celui qui ignore l'emprise physique, financière ou psychologique qui peut exister dans ces circonstances.ne sont pas intentionnels
elle se fait battre , crie et reste toujours avec celui qui la bat pour qu'il recommence
les voisins ne sont pas obligés de supporter son addiction aux coups et son plaisir de vocciférer
pour faire court, les femme violées le sont parce qu'elle aiment ça, les femmes battues le sont par ce qu'elles en redemandent.
majesté, mes respects. et pardon pour l'insulte.
en fait non.
le chômage n'augmente pas, il y a un manque d'emploi.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.
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"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.
- coincetabulle
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Re: Battue,une femme se voit expulsée à cause de ses cris.
maintenant je vais te dire ce que les voisins devraient faire au lieu de se plaindre à leur syndic. c'est défiler comme des cons devant sa porte, la queue entre les jambes et lui demander pardon de ne pas être intervenu ou au moins avoir appelé la police lorsque ça se produisait.
Modifié en dernier par coincetabulle le 16 août 2018 17:01, modifié 1 fois.
le chômage n'augmente pas, il y a un manque d'emploi.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.
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- zylto
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Re: Battue,une femme se voit expulsée à cause de ses cris.
Tu as raison, une belle mentalité de merde, mais comment peut on oser écrire celacoincetabulle a écrit :vivarais a écrit :
pas du tout si l'on reste avec quelqu'un qui vous bat c'est que l'on aime celà
il y a suffisament des dispositions et d'aides pour permettre aux personnes battues de quitter leur bourreau
la decision n'a pas du etre prise pour une fois et une multitude de fois
supporteriez vous de vivre au voisinage des gens qui du matin au soir passent leur temps à se battre et à s'engueuler
tout comme s'ils faisaient la fiesta
le bailleur n'a fait qu'appliquer la reglementation et tres certainement une decision de justice car on ne peut pas expulser des gens sans celaon a trouvé le roi des connards. celui qui ignore l'emprise physique, financière ou psychologique qui peut exister dans ces circonstances.ne sont pas intentionnels
elle se fait battre , crie et reste toujours avec celui qui la bat pour qu'il recommence
les voisins ne sont pas obligés de supporter son addiction aux coups et son plaisir de vocciférer
pour faire court, les femme violées le sont parce qu'elle aiment ça, les femmes battues le sont par ce qu'elles en redemandent.
majesté, mes respects. et pardon pour l'insulte.
en fait non.
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Re: Battue,une femme se voit expulsée à cause de ses cris.
Avant de faire des jugements à l'emporte pièce,lisez les articles dans le détail.vivarais a écrit :pas du tout si l'on reste avec quelqu'un qui vous bat c'est que l'on aime celàtisiphoné a écrit :
tu plaisantes là ?
il y a suffisament des dispositions et d'aides pour permettre aux personnes battues de quitter leur bourreau
la decision n'a pas du etre prise pour une fois et une multitude de fois
supporteriez vous de vivre au voisinage des gens qui du matin au soir passent leur temps à se battre et à s'engueuler
tout comme s'ils faisaient la fiesta
le bailleur n'a fait qu'appliquer la reglementation et tres certainement une decision de justice car on ne peut pas expulser des gens sans cela
Moi je porterai plainte contre ces voisins indélicats qui osent se plaindre alors qu'ils sont restés planqué chez eux ,alors que la femme appelais à l'aide ,des lâches on devrait les assigner pour non assistance à personne en danger.
Ces troubles renvoient aux cris de la femme signalés par ses voisins au bailleur social. «Je ne comprends pas qu'on m'expulse avec deux enfants à cause du bruit», précise-t-elle au journal. Ses voisins ne l'ont pas aidé. «Personne ne venait me voir» ajoute la mère de famille, malgré ses appels à l'aide, comme une nuit à 4 heures du matin, après que son mari «l'a insultée, battue au visage». Des témoignages de voisins évoquant «les hurlements d'une femme» ou «des hurlements sur les enfants et des cris tous les jours de façon continuelle» sont même versés au dossier.Depuis le 29 juin, Élodie doit quitter son appartement
Après son dépôt de plainte le 30 mars dernier et une seconde un mois plus tard, son mari est placé en garde à vue. Il ne reviendra plus au sein du logement familial mais la procédure judiciaire est lancée. À la demande de 3F, qui veut la résiliation du bail et l'expulsion de ceux qui perturbent la tranquillité des autres locataires, le couple est convoqué devant le tribunal. Le bailleur social obtient gain de cause puisque le 29 juin, le jugement est suivi du commandement de quitter les lieux.
Myself72,
Il vaut mieux se disputer avec quelqu'un d'intelligent que parler à un imbécile.
Il vaut mieux se disputer avec quelqu'un d'intelligent que parler à un imbécile.
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Re: Battue,une femme se voit expulsée à cause de ses cris.
myself72 a écrit :Avant de faire des jugements à l'emporte pièce,lisez les articles dans le détail.vivarais a écrit :
pas du tout si l'on reste avec quelqu'un qui vous bat c'est que l'on aime celà
il y a suffisament des dispositions et d'aides pour permettre aux personnes battues de quitter leur bourreau
la decision n'a pas du etre prise pour une fois et une multitude de fois
supporteriez vous de vivre au voisinage des gens qui du matin au soir passent leur temps à se battre et à s'engueuler
tout comme s'ils faisaient la fiesta
le bailleur n'a fait qu'appliquer la reglementation et tres certainement une decision de justice car on ne peut pas expulser des gens sans cela
Moi je porterai plainte contre ces voisins indélicats qui osent se plaindre alors qu'ils sont restés planqué chez eux ,alors que la femme appelais à l'aide ,des lâches on devrait les assigner pour non assistance à personne en danger.
Ces troubles renvoient aux cris de la femme signalés par ses voisins au bailleur social. «Je ne comprends pas qu'on m'expulse avec deux enfants à cause du bruit», précise-t-elle au journal. Ses voisins ne l'ont pas aidé. «Personne ne venait me voir» ajoute la mère de famille, malgré ses appels à l'aide, comme une nuit à 4 heures du matin, après que son mari «l'a insultée, battue au visage». Des témoignages de voisins évoquant «les hurlements d'une femme» ou «des hurlements sur les enfants et des cris tous les jours de façon continuelle» sont même versés au dossier.Depuis le 29 juin, Élodie doit quitter son appartement
Après son dépôt de plainte le 30 mars dernier et une seconde un mois plus tard, son mari est placé en garde à vue. Il ne reviendra plus au sein du logement familial mais la procédure judiciaire est lancée. À la demande de 3F, qui veut la résiliation du bail et l'expulsion de ceux qui perturbent la tranquillité des autres locataires, le couple est convoqué devant le tribunal. Le bailleur social obtient gain de cause puisque le 29 juin, le jugement est suivi du commandement de quitter les lieux.
lorsque quelqu'un se jette à l'eau vous plongez pour le sauver
s'il recommence vous le refaites
après s'il se pend vous êtes en droit de penser qu'il le fait pour se faire secher et ne pas intervenir
- myself72
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Re: Battue,une femme se voit expulsée à cause de ses cris.
Eh bien les excuses toute faite du mec qui se mouille pas ,c'est pratique d'avoir des clichés plein son bagage cela évite d'aider les autres à s'en sortir ,avec de tels arguments miteux je comprends mieux la lâcheté de ses voisins ,c'est de sa faute si elle se fait tabasser ,c'est triste de lire des trucs pareils à notre époque.vivarais a écrit :myself72 a écrit :
Avant de faire des jugements à l'emporte pièce,lisez les articles dans le détail.
Moi je porterai plainte contre ces voisins indélicats qui osent se plaindre alors qu'ils sont restés planqué chez eux ,alors que la femme appelais à l'aide ,des lâches on devrait les assigner pour non assistance à personne en danger.
Ces troubles renvoient aux cris de la femme signalés par ses voisins au bailleur social. «Je ne comprends pas qu'on m'expulse avec deux enfants à cause du bruit», précise-t-elle au journal. Ses voisins ne l'ont pas aidé. «Personne ne venait me voir» ajoute la mère de famille, malgré ses appels à l'aide, comme une nuit à 4 heures du matin, après que son mari «l'a insultée, battue au visage». Des témoignages de voisins évoquant «les hurlements d'une femme» ou «des hurlements sur les enfants et des cris tous les jours de façon continuelle» sont même versés au dossier.Depuis le 29 juin, Élodie doit quitter son appartement
Après son dépôt de plainte le 30 mars dernier et une seconde un mois plus tard, son mari est placé en garde à vue. Il ne reviendra plus au sein du logement familial mais la procédure judiciaire est lancée. À la demande de 3F, qui veut la résiliation du bail et l'expulsion de ceux qui perturbent la tranquillité des autres locataires, le couple est convoqué devant le tribunal. Le bailleur social obtient gain de cause puisque le 29 juin, le jugement est suivi du commandement de quitter les lieux.
lorsque quelqu'un se jette à l'eau vous plongez pour le sauver
s'il recommence vous le refaites
après s'il se pend vous êtes en droit de penser qu'il le fait pour se faire secher et ne pas intervenir
Myself72,
Il vaut mieux se disputer avec quelqu'un d'intelligent que parler à un imbécile.
Il vaut mieux se disputer avec quelqu'un d'intelligent que parler à un imbécile.