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Les japonais construisent en FranceCorvo a écrit : Combien ces entreprises pour ne citer qu'elles, Allemandes et nippones emploient elles, sur notre territoire, de salariés eux...pour le coup bien Français ?.
Mais Vincent les t'as pas encore compris que l'argent que l'U.E. reverse aux monde agricole Français c'est une infime partie de l'argent que la France verse à l'U.E. C'est notre propre argent que l'U.E. nous reverse, après en avoir gardé une bonne parie pour ses frais de fonctionnement. Ton raisonnement est stupide, la PAC ce n'est pas un cadeau de l'U.E. c'est notre propre argent que l'U.E. nous pompe et nous restitue, mais en partie seulement. Il est stupide d'imaginer que l'U.E. nous finance, c'est nous qui finançons l'U.E.vincent a écrit :vivarais a écrit :
on ne sait pas ce que vous voulez prouver
est ce quel le but des européennes est de battre le RN ou de défendre la français , donc les français 'agriculture , industrie , commerce ' à l'intérieur du panier de crabes qu'est l'UE
dites nous ce que vont defendre ceux pour qui vous allez voter plutot que de critiquer ceux pour qui vous ne voterez pas
lorsque l'on sait que parmi vos poulains il y en a un qui est proglyphosate et l'autre contre
vous pensez qu'une liste semblable à la tour de babel pourra défendre l'interet de tous ou celui de chacun en particulier
on ne peut pas avoir une union des gens à tendance de droite et de gauche , ecolos et productivité massive
le fer et l'argile ne peuvent pas faire un alliage
faut surtout pas citer les agriculteurs lapinou , si on sortait comme le préconisait la Marine , 2 possibilités
1 on remplace les aides européennes par des aides françaises ( faudra trouver le pognon , et le pognon ça sera dur a trouver puisque on aura la retraite a 60 ans ...)
2 on les laisse se démerder ( aprés tout , ils votent massivement RN .....)
Les agriculteurs français restent très dépendants des aides de la politique agricole commune
Comme de nombreux agriculteurs, Luc Smessaert, le vice-président de la FNSEA, estime que les « aides PAC sont vitales ». Elles représentent 47 % de leur revenu en moyenne.
Par Laurence Girard Publié le 31 mai 2018 à 11h56 - Mis à jour le 31 mai 2018 à 14h58
infime, vous exagérez, comme toujours, mais c'est vrai qu'en ce moment, la France verse plus qu'elle ne reçoit, comptablementgare au gorille a écrit : Mais Vincent les t'as pas encore compris que l'argent que l'U.E. reverse aux monde agricole Français c'est une infime partie de l'argent que la France verse à l'U.E. C'est notre propre argent que l'U.E. nous reverse, après en avoir gardé une bonne parie pour ses frais de fonctionnement. Ton raisonnement est stupide, la PAC ce n'est pas un cadeau de l'U.E. c'est notre propre argent que l'U.E. nous pompe et nous restitue, mais en partie seulement. Il est stupide d'imaginer que l'U.E. nous finance, c'est nous qui finançons l'U.E.
gare au gorille a écrit :vincent a écrit :
faut surtout pas citer les agriculteurs lapinou , si on sortait comme le préconisait la Marine , 2 possibilités
1 on remplace les aides européennes par des aides françaises ( faudra trouver le pognon , et le pognon ça sera dur a trouver puisque on aura la retraite a 60 ans ...
2 on les laisse se démerder ( aprés tout , ils votent massivement RN .....)
Les agriculteurs français restent très dépendants des aides de la politique agricole commune
Comme de nombreux agriculteurs, Luc Smessaert, le vice-président de la FNSEA, estime que les « aides PAC sont vitales ». Elles représentent 47 % de leur revenu en moyenne.
Par Laurence Girard Publié le 31 mai 2018 à 11h56 - Mis à jour le 31 mai 2018 à 14h58
Mais Vincent les t'as pas encore compris que l'argent que l'U.E. reverse aux monde agricole Français c'est une infime partie de l'argent que la France verse à l'U.E. C'est notre propre argent que l'U.E. nous reverse, après en avoir gardé une bonne parie pour ses frais de fonctionnement. Ton raisonnement est stupide, la PAC ce n'est pas un cadeau de l'U.E. c'est notre propre argent que l'U.E. nous pompe et nous restitue, mais en partie seulement. Il est stupide d'imaginer que l'U.E. nous finance, c'est nous qui finançons l'U.E.
je pense que vous n' avez pas compris les mécanismes complexes qui régissent l' UE , démonstration par l' absurdela PAC ce n'est pas un cadeau de l'U.E. c'est notre propre argent que l'U.E. nous pompe et nous restitue, mais en partie seulement.
gare au gorille a écrit : Mais Vincent les t'as pas encore compris que l'argent que l'U.E. reverse aux monde agricole Français c'est une infime partie de l'argent que la France verse à l'U.E. C'est notre propre argent que l'U.E. nous reverse, après en avoir gardé une bonne parie pour ses frais de fonctionnement. Ton raisonnement est stupide, la PAC ce n'est pas un cadeau de l'U.E. c'est notre propre argent que l'U.E. nous pompe et nous restitue, mais en partie seulement. Il est stupide d'imaginer que l'U.E. nous finance, c'est nous qui finançons l'U.E.
Encore des membres supplémentaires qui vont nous tailler des croupières. On a pas les mêmes visions, les mêmes intérêts !vincent a écrit :gare au gorille a écrit : Mais Vincent les t'as pas encore compris que l'argent que l'U.E. reverse aux monde agricole Français c'est une infime partie de l'argent que la France verse à l'U.E. C'est notre propre argent que l'U.E. nous reverse, après en avoir gardé une bonne parie pour ses frais de fonctionnement. Ton raisonnement est stupide, la PAC ce n'est pas un cadeau de l'U.E. c'est notre propre argent que l'U.E. nous pompe et nous restitue, mais en partie seulement. Il est stupide d'imaginer que l'U.E. nous finance, c'est nous qui finançons l'U.E.
je ne comprend pas grand chose je sais , mais vous allez m' aider , j' en suis certain
il y a 7 pays qui frappent a la porte de l'UE , vous pouvez m 'expliquer pourquoi ? ils vont verser de l' argent et n 'en récupéreront qu' une partie ......serait ce du " tous des cons sauf moi "
http://www.strasbourg-europe.eu/les-pay ... 94,fr.html
Sept pays sont candidats à l'adhésion à l'Union européenne :
- cinq ont le statut de candidat officiel : la Turquie, l'ancienne République yougoslave de Macédoine, le Monténégro et la Serbie et l'Albanie, (l'Islande a retiré sa candidature le 12 mars 2015).
drapeau TurquieLa Turquie est officiellement candidate à l'adhésion depuis 1999, les négociations d’adhésion ont effectivement débuté le 03 octobre 2005 mais beaucoup de points nécessiteront sans doute de longues années de travail et de discussion.
drapeau MacédoineL’Ancienne République yougoslave de Macédoine a été reconnue candidate officielle à l’adhésion à l’Union européenne en décembre 2005, mais les négociations d’adhésion ne sont pas encore ouvertes avec ce pays.
DrapeauLe Monténégro: L'Union européenne a décidé d'accorder au Monténégro, le statut de pays candidat en 2010. Les négociations en vue de l'adhésion du Monténégro ont débuté en juin 2012.
drapeau Serbie La Serbie s'est vue accorder le statut de candidat officiel en mars 2012. L'ouverture des négociations est officielle depuis juin 2013.
drapeau L'Albanie
Après plusieurs tentatives dans le passé – dont la dernière en octobre 2013 – le statut officiel de pays candidat à l’adhésion a finalement été accordé à l’Albanie le 24 juin 2014 à la suite d’une deuxième recommandation faite par la Commission européenne.
- deux autres paus ont le statut de candidat potentiel : la Bosnie-Herzégovine et le Kosovo.
D’autres Etats ont eux-mêmes choisi de rester en dehors de l’Union européenne. Cela est notamment le cas pour la Norvège ou encore la Suisse (qui bénéficie d’un statut de neutralité depuis 1815). Le jour où ils le voudront, ces Etats pourront facilement adhérer à l’Union car ils respectent tous les critères d’adhésion.
En savoir plus sur l'élargissement de l'Union européenne et les pays candidats sur le site Touteleurope.eu
non pas le lux, juste le Bene.oldeagle a écrit :
Donc, il faut rétrécir l'Europe et faire une europe avec des pays qui partagent les mêmes vues, les mêmes ambitions que nous ! Revenir à un noyau dur ! Pourquoi pas revenir à une Europe du Benelux !
ça ne répond pas a la question , pourquoi veulent ils entrer dans cet enfer , pourquoi la Norvége paye , respecte les régles , et ne vote même pasoldeagle a écrit : Encore des membres supplémentaires qui vont nous tailler des croupières. On a pas les mêmes visions, les mêmes intérêts !
Nous quand on veut lutter contre la concurrence déloyale des travailleurs détachés et qu'on essaye de faire payer les mêmes charges que l'on paye chez nous aux Polonais, refus catégorique de leur part !
D'autre part, les blocages vons s'amplifier avec ces potentiels arrivants ! Avec la règle de l'unanimité, y'en aura toujours un état qui votera contre ! C'est vraiment une connerie cette règle de merde !
Donc, il faut rétrécir l'Europe et faire une europe avec des pays qui partagent les mêmes vues, les mêmes ambitions que nous ! Revenir à un noyau dur ! Pourquoi pas revenir à une Europe du Benelux !
Source:Le Parisien.
Les archives de Sciences Po sont très détaillées. C’est ce que vient de découvrir l’ex-ministre du gouvernement et tête de liste LREM aux élections européennes. Mediapart révèle ce lundi soir que Nathalie Loiseau a participé le temps d’une élection étudiante à une liste apparentée à l’extrême droite à Sciences Po Paris en 1984.
Une participation qui fait tâche pour la pourfendeuse du Rassemblement National selon le site d’investigation. À l’époque des faits Nathalie Loiseau s’appelle Nathalie Ducoulombier de son nom de jeune fille. La future ministre est entrée rue Saint-Guillaume en 1980, diplômée trois ans plus tard, la jeune femme de vingt ans enchaîne alors sur une quatrième année dans la filière dite « Prép. ENA » (École nationale d’administration) de Sciences-Po.
C’est dans ce cadre qu’elle va participer aux élections des délégués étudiants au conseil de direction et à la commission paritaire de l’établissement sur la liste de l’U.E.D, l’Union des des droites de Sciences PO. Un syndicat étudiant proche du célèbre GUD de Paris II, terreau de l’extrémisme de droite parisien dans les années 80, dont sont issus des proches de Marine Le Pen comme Frédéric Châtillon.
Son nom figure donc parmi ceux de sept autres candidats, dont Christophe Bay, un haut fonctionnaire ayant contribué secrètement au programme de la candidate du Rassemblement national (RN) en 2017 selon un document produit par Mediapart.
La ministre rappelle son combat contre les idées d’extrême droite:
« À ce moment-là, j’ai été, d’après mes recoupements – parce que pour être tout à fait honnête j’avais complètement oublié cet épisode –, approchée pour participer à une liste qui voulait accentuer le pluralisme à Sciences-Po, alors quasi inexistant, et qui cherchait des femmes. J’ai dit oui » a expliqué Nathalie Loiseau.
« J’aurais sans doute dû regarder de plus près de quoi il s’agissait », admet toutefois la candidate aux Européennes, précisant que si elle avait « milité, tracté, fait campagne », elle « s’en souviendrait, et ce n’est pas le cas ».
La candidate LREM a tenu à souligner auprès des journalistes de Mediapart qu’elle n’avait « jamais eu d’engagement à l’extrême droite, ni proche de l’extrême droite, ni de fréquentations d’extrême droite » et qu’elle avait au contraire toujours combattu ces idées. « Le fait de conduire la liste que je conduis aujourd’hui, avec pour ambition de faire reculer l’extrême droite en France, est cohérent avec ce que je pense », a-t-elle ajouté face à ces accusations d’adhésion aux idées d’extrême droite.
Crapulax a écrit : ..................Nathalie Loiseau sur une liste étudiante d’extrême droite à Sciences-Po Paris, en 1984.....................
Mediapart révèle ce lundi le passé, le temps d’une élection étudiante, de la tête de liste LREM aux élections européennes.
Source:Le Parisien.
Les archives de Sciences Po sont très détaillées. C’est ce que vient de découvrir l’ex-ministre du gouvernement et tête de liste LREM aux élections européennes. Mediapart révèle ce lundi soir que Nathalie Loiseau a participé le temps d’une élection étudiante à une liste apparentée à l’extrême droite à Sciences Po Paris en 1984.
Une participation qui fait tâche pour la pourfendeuse du Rassemblement National selon le site d’investigation. À l’époque des faits Nathalie Loiseau s’appelle Nathalie Ducoulombier de son nom de jeune fille. La future ministre est entrée rue Saint-Guillaume en 1980, diplômée trois ans plus tard, la jeune femme de vingt ans enchaîne alors sur une quatrième année dans la filière dite « Prép. ENA » (École nationale d’administration) de Sciences-Po.
C’est dans ce cadre qu’elle va participer aux élections des délégués étudiants au conseil de direction et à la commission paritaire de l’établissement sur la liste de l’U.E.D, l’Union des des droites de Sciences PO. Un syndicat étudiant proche du célèbre GUD de Paris II, terreau de l’extrémisme de droite parisien dans les années 80, dont sont issus des proches de Marine Le Pen comme Frédéric Châtillon.
Son nom figure donc parmi ceux de sept autres candidats, dont Christophe Bay, un haut fonctionnaire ayant contribué secrètement au programme de la candidate du Rassemblement national (RN) en 2017 selon un document produit par Mediapart.
La ministre rappelle son combat contre les idées d’extrême droite:
« À ce moment-là, j’ai été, d’après mes recoupements – parce que pour être tout à fait honnête j’avais complètement oublié cet épisode –, approchée pour participer à une liste qui voulait accentuer le pluralisme à Sciences-Po, alors quasi inexistant, et qui cherchait des femmes. J’ai dit oui » a expliqué Nathalie Loiseau.
« J’aurais sans doute dû regarder de plus près de quoi il s’agissait », admet toutefois la candidate aux Européennes, précisant que si elle avait « milité, tracté, fait campagne », elle « s’en souviendrait, et ce n’est pas le cas ».
La candidate LREM a tenu à souligner auprès des journalistes de Mediapart qu’elle n’avait « jamais eu d’engagement à l’extrême droite, ni proche de l’extrême droite, ni de fréquentations d’extrême droite » et qu’elle avait au contraire toujours combattu ces idées. « Le fait de conduire la liste que je conduis aujourd’hui, avec pour ambition de faire reculer l’extrême droite en France, est cohérent avec ce que je pense », a-t-elle ajouté face à ces accusations d’adhésion aux idées d’extrême droite.
http://www.leparisien.fr/politique/nath ... 058381.php
Non mais LREM a fait exprès de la mettre tete de liste pour perdre?Crapulax a écrit : ..................Nathalie Loiseau sur une liste étudiante d’extrême droite à Sciences-Po Paris, en 1984.....................
Mediapart révèle ce lundi le passé, le temps d’une élection étudiante, de la tête de liste LREM aux élections européennes.
Source:Le Parisien.
Les archives de Sciences Po sont très détaillées. C’est ce que vient de découvrir l’ex-ministre du gouvernement et tête de liste LREM aux élections européennes. Mediapart révèle ce lundi soir que Nathalie Loiseau a participé le temps d’une élection étudiante à une liste apparentée à l’extrême droite à Sciences Po Paris en 1984.
Une participation qui fait tâche pour la pourfendeuse du Rassemblement National selon le site d’investigation. À l’époque des faits Nathalie Loiseau s’appelle Nathalie Ducoulombier de son nom de jeune fille. La future ministre est entrée rue Saint-Guillaume en 1980, diplômée trois ans plus tard, la jeune femme de vingt ans enchaîne alors sur une quatrième année dans la filière dite « Prép. ENA » (École nationale d’administration) de Sciences-Po.
C’est dans ce cadre qu’elle va participer aux élections des délégués étudiants au conseil de direction et à la commission paritaire de l’établissement sur la liste de l’U.E.D, l’Union des des droites de Sciences PO. Un syndicat étudiant proche du célèbre GUD de Paris II, terreau de l’extrémisme de droite parisien dans les années 80, dont sont issus des proches de Marine Le Pen comme Frédéric Châtillon.
Son nom figure donc parmi ceux de sept autres candidats, dont Christophe Bay, un haut fonctionnaire ayant contribué secrètement au programme de la candidate du Rassemblement national (RN) en 2017 selon un document produit par Mediapart.
La ministre rappelle son combat contre les idées d’extrême droite:
« À ce moment-là, j’ai été, d’après mes recoupements – parce que pour être tout à fait honnête j’avais complètement oublié cet épisode –, approchée pour participer à une liste qui voulait accentuer le pluralisme à Sciences-Po, alors quasi inexistant, et qui cherchait des femmes. J’ai dit oui » a expliqué Nathalie Loiseau.
« J’aurais sans doute dû regarder de plus près de quoi il s’agissait », admet toutefois la candidate aux Européennes, précisant que si elle avait « milité, tracté, fait campagne », elle « s’en souviendrait, et ce n’est pas le cas ».
La candidate LREM a tenu à souligner auprès des journalistes de Mediapart qu’elle n’avait « jamais eu d’engagement à l’extrême droite, ni proche de l’extrême droite, ni de fréquentations d’extrême droite » et qu’elle avait au contraire toujours combattu ces idées. « Le fait de conduire la liste que je conduis aujourd’hui, avec pour ambition de faire reculer l’extrême droite en France, est cohérent avec ce que je pense », a-t-elle ajouté face à ces accusations d’adhésion aux idées d’extrême droite.
http://www.leparisien.fr/politique/nath ... 058381.php
Crapulax a écrit : ..................Nathalie Loiseau sur une liste étudiante d’extrême droite à Sciences-Po Paris, en 1984.....................
Mediapart révèle ce lundi le passé, le temps d’une élection étudiante, de la tête de liste LREM aux élections européennes.
Source:Le Parisien.
Les archives de Sciences Po sont très détaillées. C’est ce que vient de découvrir l’ex-ministre du gouvernement et tête de liste LREM aux élections européennes. Mediapart révèle ce lundi soir que Nathalie Loiseau a participé le temps d’une élection étudiante à une liste apparentée à l’extrême droite à Sciences Po Paris en 1984.
Une participation qui fait tâche pour la pourfendeuse du Rassemblement National selon le site d’investigation. À l’époque des faits Nathalie Loiseau s’appelle Nathalie Ducoulombier de son nom de jeune fille. La future ministre est entrée rue Saint-Guillaume en 1980, diplômée trois ans plus tard, la jeune femme de vingt ans enchaîne alors sur une quatrième année dans la filière dite « Prép. ENA » (École nationale d’administration) de Sciences-Po.
C’est dans ce cadre qu’elle va participer aux élections des délégués étudiants au conseil de direction et à la commission paritaire de l’établissement sur la liste de l’U.E.D, l’Union des des droites de Sciences PO. Un syndicat étudiant proche du célèbre GUD de Paris II, terreau de l’extrémisme de droite parisien dans les années 80, dont sont issus des proches de Marine Le Pen comme Frédéric Châtillon.
Son nom figure donc parmi ceux de sept autres candidats, dont Christophe Bay, un haut fonctionnaire ayant contribué secrètement au programme de la candidate du Rassemblement national (RN) en 2017 selon un document produit par Mediapart.
La ministre rappelle son combat contre les idées d’extrême droite:
« À ce moment-là, j’ai été, d’après mes recoupements – parce que pour être tout à fait honnête j’avais complètement oublié cet épisode –, approchée pour participer à une liste qui voulait accentuer le pluralisme à Sciences-Po, alors quasi inexistant, et qui cherchait des femmes. J’ai dit oui » a expliqué Nathalie Loiseau.
« J’aurais sans doute dû regarder de plus près de quoi il s’agissait », admet toutefois la candidate aux Européennes, précisant que si elle avait « milité, tracté, fait campagne », elle « s’en souviendrait, et ce n’est pas le cas ».
La candidate LREM a tenu à souligner auprès des journalistes de Mediapart qu’elle n’avait « jamais eu d’engagement à l’extrême droite, ni proche de l’extrême droite, ni de fréquentations d’extrême droite » et qu’elle avait au contraire toujours combattu ces idées. « Le fait de conduire la liste que je conduis aujourd’hui, avec pour ambition de faire reculer l’extrême droite en France, est cohérent avec ce que je pense », a-t-elle ajouté face à ces accusations d’adhésion aux idées d’extrême droite.
http://www.leparisien.fr/politique/nath ... 058381.php
on peut être très bête et idéaliste quand on est jeune, si ça se trouve, elle suivait un amoureux dans son délire.Kelenner a écrit : Le plus beau de l'histoire, c'est quand même de prétendre ne pas connaître l'orientation politique d'un syndicat nommé "Union des étudiants de droite"...
