Allora a écrit : ↑21 janvier 2020 19:53
Kelenner a écrit : ↑21 janvier 2020 16:15
Après lui, qui, quelle direction ?
Bonne question ! et peut-être même LA question !
Macron n'est pas le nouveau monde ( même s'il en a le vernis ) mais juste une charnière entre l'ancien et le futur :
une sorte de mélange assez flou voire indigeste -en tous cas perturbant - mais en aucun cas il n'est ce nouveau monde ...
Il aura juste servi -j'en suis sûre- à créer un choc dans les partis , la classe politique.
Après ça les partis - sonnés et pas encore sur pattes - devraient se reconstituer .
Mais gare à ceux qui n'auront pas compris la leçon donnée par le passage tumultueux de cet OPNI !!
qui, espérons,
laissera la place bientôt à de vrais politiques respectables et respectueux, intéressés par l'intérêt des gens et pas par leur nombril avec des caprices de gosse gâté narcissique.
Vous personnalisez un peu trop le mouvement EN MARCHE.
Je l'écrit ainsi, car ce fut bien un "mouvement".
Ensuite, ce mouvement "à travers Macron" avait bâti un PROGRAMME; loin d'être une suite de caprices.
Enfin, puisqu'on critique trop souvent à mon goût "démocratique et républicain" sa légitimité en se fondant sur son score au 1er tour d'avril 2017, je vous rappelle que les élections législatives ont été SANS APPEL.
Maintenant sur les "personnalités" des Présidents élus, et parmi eux Macron, dites celui qui n' a pas marqué son ou ses mandats par des "facéties". Mitterrand et Chirac ont bien dissimulé les leurs... Sarko comme Macron ont été plus directs. Hollande a été un mix des 4.
Les petites phrases de Sarko et de Macron sont elles à mettre sur le même plan que les frasques extra - conjugales de Mitterrand et les journalistes mis sur écoute et les tripatouillages politico financiers de Chirac... pour lesquels ce dernier a bien été condamné...pour une infime partie de l'iceberg! Hollande quant à lui, s'est permis des confidences d'une grande légéreté avec des journalistes et des sorties en scooter dangereuses et un licenciement conjugal mal ficelé!
Mais je vous l'accorde Macron vous indispose alors que Chirac était sympathique: lequel laissera le plus de réformes permettant à la France se surnager dans la concurrence internationale et de voir son modèle social tenir la route sur le long terme en uniformisant les obligations et les droits? On se revoit dans 10 ans