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La vérité Souslic, c'est que vous n'êtes qu'un figurant dégonflé qui est infoutu d'expliquer des chiffres, et qui se borne à communiquer une propagande minable ici, destinée à salir un expert mondial dont le professionnalisme et l'éthique est à des années lumière de votre petite comprenette ;Continuez donc à naviguer dans des chiffres que vous ne captez pas, mais ne prétendez pas être un scientifique digne de ce nom ; avec des individus comme vous, la science (la vraie) est morte
et ça, c'est pour rappeler votre éternel jeu d'anguille qui évite soigneusement les questions qui vous gênent parce que vous n'avez pas de réponse, et masque son incompétence sous des nuages de psycho à 2 balles ... ne vous inquiétez pas, je me remettrai de votre défection
euh ... ils sortent d'où vos 210 morts ?? moi je lis 122 ... et morts de quoi réellement ? du covid ? ou d'autre chose avec un faux test positif ?
après la montagne de bobards auxquels on a eu droit pendant 6 mois, c'est étonnant que vous ayez aussi peu d'esprit critique
même le Dr Blachier, qui a fait des modélisations à l'ouest pendant des mois, soupçonne un bug dans le nombre de positifs ...
30 000 ... près de 4 fois plus que l'Afrique entière ... qui peut croire ça à part des neuneus ?
Les chiffres sont bidons et il n'y a pas de 2ème vague : l'évolution des "cas" n'est pas en corrélation avec celle du nombre d'hospitalisations, et le taux d'admissions aux urgences pour suspicion de covid (2% du total) ne cadre pas non plus avec la situation décrite ; il y a donc tout lieu de penser qu'on impute n'importe quoi au covid pour dramatiser la situation
Il semblerait qu'on soit dans un raisonnement inversé où les chiffres doivent suivre les décisions prises plutôt que le contraire...
Par ailleurs, le nombre de décès passés avec mention covid (cause unique) ne représentent qu'1/3 du total des décès ; le reste englobe des cas à multiples comorbidités ; "l'erreur" est donc facile ...
Les problèmes des soignants proviennent bien davantage des politiques délétères suivies pendant des années que de la gravité de l'épidémie.
Quand le nombre de lits et le personnel sont insuffisants, on fait en sorte de renforcer les moyens, on ne contraint pas une population entière pour poursuivre les projets de casse du système hospitalier.