vivarais a écrit : ↑22 mai 2022 18:36
çà commence bien pour le nouveau quinquennat de macron
un garde des sceaux qui est mis en examen et maintenant un ministre à peine nommé qui a des casseroles
lors de son premier quinquennat 13 ministres ont du démissionner pour des casseroles au cul
va t il faire mieux pour son second
Damien Abad : ce que la plaignante a dit à la police en 2017
« Le Point » a pu consulter le procès-verbal de la déposition de Margaux G. qui, le
7 mars 2017, portait plainte pour viol. La procédure avait été classée sans suite.
Le Point a pu consulter le procès-verbal de la plainte de Margaux G, 35 ans. Le 7 mars 2017, la jeune femme se présente au commissariat du 16e arrondissement de Paris.
En 2012, un an après les faits, elle avait déjà déposé une plainte, que le parquet de Paris avait classée sans suite en raison de la « carence » de la plaignante – elle a abandonné la démarche en cours de procédure, comme le confirme aujourd'hui le même parquet.
Le 7 mars 2017, donc, la jeune femme se présente aux fonctionnaires de police comme une « commerçante sans ressources ». Elle déclare avoir « croisé occasionnellement » Damien Abad à l'UDF, en 2007 ou en 2008 – Abad, élu de l'Ain, est devenu député européen en 2009. Selon la plaignante, leur relation intime a commencé par l'envoi de textos. Le 12 janvier 2011, les deux adultes décident de dîner au domicile de Margaux G. Mais, comme, selon elle, Damien Abad se rendait aux vœux de Nicolas Sarkozy, alors président de la République, il est arrivé plus tard que prévu, une bouteille de champagne à la main. Comme la plaignante le fait remarquer, Abad est handicapé et il ne pouvait servir les verres. Elle le prévient qu'elle boit très peu, mais il finit par la convaincre. À deux, ils vident la bouteille. Puis le couple commence à flirter.
En raison de la situation de handicap de son invité, explique-t-elle aux policiers, elle l'aide à se déshabiller. Elle s'est un peu « forcée », affirme-t-elle, car elle avait demandé à Damien Abad de prendre une douche, ce que celui-ci avait refusé. Toujours selon la plaignante, il a commencé ensuite à « lui faire des injonctions », comme s'il parlait à une « pute ». Elle affirme qu'elle voulait mettre un terme à cette relation intime mais qu'elle se sentait piégée par la nécessité de le rhabiller.
On aideun homme a se mettre a poil , puis on va porter plainte pour viol ......
cela dépasse les Bornes et les Darmanins