L'enfer ou les lectures interdites ...

[Fonck1]

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C'est qui Monica Une blonde à forte poitrine ?

un truc

[Eve]

un truc

Tu peux détailler stp ?

Monica Belluci

[tisiphoné]

Tu peux détailler stp ?

Monica Belluci

mais tu connais pas l'histoire ?

[Eve]

mais tu connais pas l'histoire ?

Ben non

[tisiphoné]

Ben non

si je te dis Bill? ça t'aide ?

[Fonck1]

pitin c grave.

[Eve]

Je n'avais compris ok

Je croyais que c'était qq'un du forum. :oops:

[tisiphoné]

Je n'avais compris ok

Je croyais que c'était qq'un du forum. :oops:

bon ta robe était bleue ?

[Eve]

bon ta robe était bleue ?

Non ! Jupe noire

[tisiphoné]

Non ! Jupe noire

ah là là, tu casses le scénar' et Clint qui se voyait dans le bureau ovale

[Eve]

ah là là, tu casses le scénar' et Clint qui se voyait dans le bureau ovale

Il changera de pièce, je ne fais pas dans le réchauffé.

[Fonck1]

Je n'avais compris ok

Je croyais que c'était qq'un du forum. :oops:

pitin t'as besoin d'un coup

[Eve]

pitin t'as besoin d'un coup

[tisiphoné]

ET UNE OPPORTUNITE ASSEZ EXTRAORDINAIRE A LA CAMPAGNE.

C’était une grande brune au corps de déesse sur un vélo qui descendait un chemin forestier en pente.
Dans le virage, l’inconnue au short saillant tombe…
Je me précipite et je l’aide à se relever.

Son prénom : Brigitte, alors je lui sors ma première boutade.
Seule Brigitte Lahaie est à l’aise dans les passages d’obstacles.
Elle se mit à sourire et je me propose de la raccompagnée à son domicile en portant son vélo abîmé.

Brigitte habitait dans un petit lotissement et son mari était en voyage à l’étranger pour des raisons professionnelles.

Une fois chez elle, je lui ai massé sa cheville et son dos.
Mes doigts parcouraient lentement toutes les zones meurtries, de bas en haut de la cuisse…
Brigitte avait corps extraordinaire.
Des proportions esthétiques corporelles qui auraient fait envie plus d’une femme.

En souriant, je massais avec application du pied jusqu'au haut de la hanche.
Son petit maillot de bain avait une petite ficelle sur le coté.
Chaude ambiance dans cette pièce assez faiblement éclairée qui donnait sur le jardin en fleurs.

Subitement, elle se retourna sur le dos en défaisant le nœud de son slip.
J’étais bouillant avec une curieuse sensation « d’angoisse » heureuse.
Je tremblais à l’idée des prochaines minutes que j’allais passer avec Brigitte.
« Pas de faux pas !... pas de faux pas ! » je me disais dans ma tête.

Alors mes dix doigts rentrèrent en action d’inspection plus prononcée.
Quand Brigitte me fit un léger clin d’œil.
Quel corps !
Des jambes galbées interminables comme une danseuse de l’opéra.
Une paire de fesses rebondies comme une fille du Brésil et des seins arrogants terriblement excitants.

Du jamais vue de ma vie et de si près…
Dans mon pantalon Popaul voulait absolument sortir.
D’ailleurs une énorme bosse tendait le tissu de mon pantalon comme un chapiteau.

Brigitte d’une main faussement hasardeuse touche ma brayette.
Ma respiration a failli se bloquée.

J’entrepris une exploration d’incursion de reconnaissance dans la forêt vierge (que du nom), afin de sonder l’état d entrée de son « puit d’amour ».

Il était chaud, humide, frémissant d’attente de hard soubresaut.

De mon coté, Popaul n’en pouvait plus, déjà, il bavait.
Subitement, Brigitte ouvre avec conviction le haut de mon pantalon.
Popaul se retrouve « nu comme un ver » à l’air libre, devant les yeux étonnés de Brigitte.
Popaul était au maximum de son potentiel d’extension, ses veines de surface étaient gonflées de sang.

J’ai eu droit à une fellation langoureuse pratiqué avec une rare conviction.
J’étais aux anges du paradis du sexe…
A mon tour de reprendre l’initiative.
Après fait une incursion buccale sur l’entrée de « sa pointe bic ».

Popaul voulait à son tour rentrer dans l’action dure.
Depuis le temps, qu’il attendait le pauvre en suant dans sa niche de coton.

Alors la partie de va et viens ébranla dans un même rythme d’osmose nos deux corps dans une tension maxi-male.
Ce coup de foudre d’été, détonateur de nos atomes crochus en folies.
J’ai vite abandonne la position du « missionnaire », pour une posture plus coulissante dominatrice.
Incroyable sensation unique d’une effusion tous nos fluides corporelles en attente du bouquet final.
Dans un dernier mouvement, on n’a atteint le paroxysme d’une conjointe extase.
Oui, c’est les meilleurs moments d’une vie d’homme et aussi peut-être de la femme.
Quand deux êtres ne se connaissant « ni Adam ni d’Ève » s’abandonnent à en perdre connaissance dans un spasme fusionnel naturel.
oscar

[Eve]

Un long soupir s’échappe de la bouche d’Eva, que cet après midi est long, elle n’en voit plus la fin.
Quand soudain, la porte de son bureau s’ouvre « bonjour je cherche Thierry » Thierry n’est pas là aujourd’hui, puis-je vous aider ?

Je suis son kiné. Il m’avait prévenu que vous deviez venir, il n’est pas arrivé à vous joindre y hier pour annuler son rdv.

Bien, il ne me reste plus qu’à partir, à tous hasard vous n’avez pas besoin d’un massage ?

Ecoutez, pourquoi pas ! J’ai mes cervicales qui me font souffrir.

Venez vous asseoir sur cette chaise, voilà parfait, je vais vous demander d’enlever votre chemisier. Mettez vos bras sur le dossier de la chaise, posez votre front dessus, très bien.

Je vais baisser les bretelles de votre soutien gorge.
Excusez moi, j’ai les mains un peu froide, Eva sourit le contact de ses mains sur sa peau chaude, lui donna un léger frisson.

Oula ! Que vous êtes nouée, détendez-vous, ne pensez à plus rien (pas problème pour une blonde de faire le vide :content115 )

Eva sentie une douce chaleur envahir son corps, les mains expertes du kiné sur ses omoplates étaient un vrai délice. Elle regarda sa montre, elle vit qu’il était plus de 18h30 à cette heure-ci, tout le monde était parti.

Une pensée folle lui vient, elle se retourna, regarda le kiné ses yeux étaient brillants, ils se fixèrent un petit moment, elle se leva, jeta tout ce qui se trouvait sur son bureau parterre, elle s’allongea, releva, sa jupe, le kiné s’approcha, enfouit sa tête dans ses seins, tout en lui caressant les cuisses, il écarta doucement son shorty noir en dentelles.

Il plongea sa tête entre ses cuisses, il l’a léché doucement, sa langue se faisait tantôt douce, tantôt râpeuse, elle gémissait, elle se cambrait de plaisir, elle lui caressait les cheveux pour l’encourager, elle se sentait dégouliner, la langue la pénétra, elle sursauta, hmmmmm cette langue chaude était en elle, elle essayait de s’enfoncer le plus loin possible, elle se faisait curieuse, elle tournait, tournait.

Il l’a ressortie, il lui suçota doucement le clitoris, tout en lui enfonçant deux doigts dans le vagin, elle commençait à perdre pieds, elle se sentait défaillir, ses gémissements se faisaient de plus en plus fort, il retira ses doigts et remis sa langue, il faisait des va et vient lent, très très lent, Eva était sur le point de jouir, il accéléra ses va et vient.

Eva commençait à avoir des spasmes, il retira sa langue, et la lécha toute, lui embrassa le clitoris qui était gros et dur, et quand il comprit qu’elle allait jouir, il lui remit sa langue dans son vagin, pour qu’il sente ses contractions musculaires autour de sa langue.
Eva était aux anges.

[Barbapoutre]

Mais alors ces masseurs qu'est ce qu'ils en ont de la chance.

Enfin ... sauf .... dans quelques cas.
Un Kinésithérapeute est passé en correctionnelle, il n'avait rien trouvé de mieux que de mettre son sexe dans la main de ses patientes, ou alors de le leur promener sur le corps je n'imagine pas trop comment pouvait se passer les séances ...
Enfin devant le tribunal il a défendu sa méthode qui lui aurait été enseignée par un de ses maîtres, mais a écopé tout de même de quelques mois de prison.

Comme si elle n'avait pas pu la fermer celle là?