Qui voyez-vous au perchoir ?

[tisiphoné]

Dernier message de la page précédente :

non! je ne suis pas une fana de SR, mais SR est une femme politique qui a osé affronté le patriarcat tenace en France à droite et à gauche, tu sais dans les années 80, SR avait posé sa candidature pour le perchoir et les machos du PS ont dit mais elle est folle !! ça ne se fait pas!! éh! oui !! le perchoir n'était réservé qu'aux mecs, est-ce-que les mentalités ont changé à notre époque? Guigou a peut-être la chance d'être dans le perchoir en 2012, mais Ségolène est une avant-gardiste et a bousculé les caciques du PS, c'est pour ça qu'ils veulent l'écarter et ils sont tellement conservateurs que SR ne sera pas la patronne du PS, éh oui! il faut que rien ne change dans ce parti sclérosé !!!

Ségolène Royal est une femme politique de grand talent qui laisse ses émotions prendre le pas sur la raison, temps qu'elle ne saura pas gérer, se dominer, elle essuiera de cuisants échecs.

[véra]

Avec toutes les épreuves dégueulasses qu'elle a supporté, tu crois vraiment que Ségolène doit rester de marbre, un robot sans émotion, certains imbéciles ont même raillé sur ses larmes, c'est bête et méchant, Ségolène est une femme politique à abattre à droite et à gauche parce que c'est la seule femme politique qui ose et qui dérange !!

[Arf844]

Avec toutes les épreuves dégueulasses qu'elle a supporté, tu crois vraiment que Ségolène doit rester de marbre, un robot sans émotion, certains imbéciles ont même raillé sur ses larmes, c'est bête et méchant, Ségolène est une femme politique à abattre à droite et à gauche parce que c'est la seule femme politique qui ose et qui dérange !!

Tu parles avec des sentiments en appelant à la compassion voire la pitié...
SR est ce qu'elle est mails il faut se rendre à l'évidence... Échec aux présidentielle, échec à la présidence du partit, échec aux primaires (et pas d'un cheveux...), échec aux législatives... depuis 2007 (au moins) sa vie est un échec face aux électeurs...personne n'en veux...

[Jarod1]

C'est malheureusement pour elle implacable.

Tout ça parce qu'en 2006, quelques journaux parisiens bobos ont cru devoir en faire une étoile.

[véra]

Tu parles avec des sentiments en appelant à la compassion voire la pitié...
SR est ce qu'elle est mails il faut se rendre à l'évidence... Échec aux présidentielle, échec à la présidence du partit, échec aux primaires (et pas d'un cheveux...), échec aux législatives... depuis 2007 (au moins) sa vie est un échec face aux électeurs...personne n'en veux...

Il y a eu une propagande dégueulasse sur elle, certains lui ont fait une sale réputation, et les électeurs sont des veaux et du coup, sont manipulés et votent contre elle, je pense qu'elle n'a pas eu que des échecs, Ségo est présidente de la région du Poitou et Bussereau a été battu avec 61% il a une haine contre elle et Raffarin a de la haine contre elle pour la région aussi, et du coup ces deux là ont pris leur pied pour la descendre en demandant aux électeurs de droite de voter Falorni, c'est minable et de la basse politique !!!

[Jarod1]

Je ne pense pas que les électeurs de droite de La Rochelle aient eu besoin de Bussereau ou Raffarin (même si ces derniers ont effectivement quelques rancoeurs...).

Ségolène a toujours été anormalement agressive avec les gens de droite, systématiquement présentés comme des nantis voir des escrocs.

Le combat politique n'implique pas l'injure systématique.

[tisiphoné]

Le député de Seine-Saint-Denis a été choisi jeudi 21 juin par le groupe socialiste pour être candidat à la présidence de l’Assemblée. Son élection aura lieu mardi 26 juin.

Les nouveaux députés socialistes ont commencé par le plus facile. Seul candidat à la présidence du groupe, le député de Seine-Saint-Denis Bruno Le Roux a été désigné jeudi 21 juin à ce poste en début de réunion par acclamation.

Restait ensuite le choix plus délicat de celui qui sera leur candidat, mardi 26 juin, à l’élection à la présidence de l’Assemblée nationale. Aucun des quatre candidats ne s’imposait naturellement mais il n’aura fallu qu’un tour de scrutin pour désigner un autre député de Seine-Saint-Denis, Claude Bartolone.

Le président du conseil général de Seine-Saint-Denis avait été très déçu de ne pas être promu au sein de la nouvelle équipe gouvernementale. S’il avait alors jeté son dévolu sur « le perchoir », ce n’était toutefois pas par défaut.
Celui qui avait la plus ancienne expérience

Des quatre candidats en lice, Claude Bartolone était celui qui avait la plus ancienne expérience, puisqu’il fut élu à l’Assemblée dès 1981. Dans les années 1990, il occupa les postes de président de la commission des affaires culturelles, familiales et sociales et de vice-président de l’Assemblée.

Ex-chef de file des « fabiusiens » devenu proche de Martine Aubry qu’il avait soutenue durant la primaire, Claude Bartolone, né il y a 60 ans à Tunis, a hérité de Laurent Fabius l’art de tisser sa toile.

Un atout qui peut s’avérer décisif pour celui qui navigue sans boussole au sein des différentes sensibilités du groupe socialiste. Claude Bartolone n’est certes pas un intime de François Hollande mais le candidat socialiste à la présidentielle en avait fait un de ses porte-parole durant la campagne.
« Un homme affable »

« Je ne fais pas partie du cercle historique. Mais j’ai été utile et loyal à François Hollande, analysait-il dans un entretien au Parisien au lendemain du second tour des législatives. Cet équilibre entre loyauté et liberté est un atout précieux. » Un cadre du Parti socialiste salue « un homme affable. Il est bien avec tout le monde car il n’est pas dans tel ou tel camp. »

« Barto » a en outre depuis longtemps cultivé des relations particulières avec les partenaires du PS. Bonnes avec les écologistes, qu’il a été l’un des premiers à vouloir associer aux majorités de gauche. Mauvaises avec les communistes, à qui il a ravi en 2008 la présidence du conseil général de Seine-Saint-Denis, un de leurs fiefs historiques.

Cette fonction, où il a été confronté à la question des emprunts toxiques, a renforcé l’expérience déjà acquise par ce grand travailleur en tant que ministre délégué à la ville du gouvernement de Lionel Jospin, entre 1998 et 2002. « Claude Bartolone est un homme sympathique, mais c’est aussi un homme à poigne », assure un député.

[banane]

Pressenti bientôt élus bienvenu à lui