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mais tu es un goujat !!! Entre le thon, la morue, les melons ...
Je t'imaginais un peu plus "romantique"
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L'un n'empêche pas l'autreEve a écrit :
mais tu es un goujat !!! Entre le thon, la morue, les melons ...
Je t'imaginais un peu plus "romantique"
Hummm .....Donc je te rassure, tout au fond de moi-même, je suis plus Rome Antique que Banlieue Moderne
Oui oui, les deux lectures sont exactesagone a écrit : Hummm .....
Rome Antique ==> orgie, fete sulfureuse .....
Banlieu Moderne ==> la meme en plus clauque !!!
ton jeu de mot (meme si exelent) etait il le reflet de ta pensée ?
Y'a pas de mal à se faire du bien, comme diraient DSK et Il Cavaliere...agone a écrit : Timagine pas l'image que j'aurai de toi quand je lirai des posts sur le forum politique /debats
Sacamalix en toge rouge , entouré de jeune nymphettes , degustant une grappe de raisin
Vingt-huit sports, trente-huit disciplines et 4.700 médailles, ce n’était pas assez pour satisfaire tous les athlètes sélectionnés aux JO. Pendant les seize jours de compétition, certains auraient tendance à faire autant d’effort dans leur chambre que dans leurs épreuves respectives, comme l’expliquent plusieurs sportifs américains dans une enquête d’ESPN Magazine. Même si «ce qui se passe au village doit rester au village», ceux-ci dévoilent la face cachée des Jeux, où les athlètes sont plus focalisés sur leurs parties de jambes en l’air qu’une éventuelle finale. «Il y a beaucoup de sexe au village. Je dirais que ça concerne 70 à 75% des athlètes présents», indique le nageur Ryan Lochte, grand rival de Michael Phelps.
Avec 100.000 préservatifs distribués dans le village, il y a de quoi s’occuper pendant deux semaines. Dans un lieu où les caméras ne sont pas autorisées et où l’encadrement n’est pas le bienvenu, les sportifs profitent donc de l’événement à 100%: «Dans une expérience qui n'arrive qu'une fois, vous voulez construire des souvenirs, qu'ils soient sexuels ou sportifs. J'ai vu des gens faire l'amour dehors, sur l'herbe, entre les immeubles» poursuit Hope Solo qui ne dit pas tout de ses soirées à Pékin en 2008, «son secret olympique.» Le lanceur de javelot Breaux Greer, se souvient de la forme olympique des gymnastes féminines: «Même si on dirait qu'elles ont 7 ans, elles en ont 20. Elles se lâchaient avec les garçons du water-polo et du judo qui partageaient leur salle d’entraînement.»
Evidemment les Français sont aussi concernés par ces troisièmes mi-temps. Jean-Claude Perrin, l’entraîneur des perchistes des années 80, confirme: «Ils ont toujours eu une cote très surprenante. On avait d’excellents contacts avec les athlètes des pays de l’Est. J’ai connu de très belles histoires d’amour d’athlètes français.» Cela fait partie de la «vie d’aventure» prônée par l’ancien coach de Pierre Quinon, désormais consultant radio. «L’athlète est un aventurier. Sa vie athlétique est courte et intense. On ne programme pas la rencontre avec une blonde ou une brune.»
Pour motiver ses troupes avant les Jeux, il lui arrivait même de parler de ces flirts d’été à ses athlètes. Ceux qui n’avaient pas tout à fait le niveau trouvaient là un moyen supplémentaire pour performer. Mais cela peut aussi jouer des tours à certains. Benjamin Stasiulis, le nageur engagé sur 100m et 200m dos, ne commettra pas cette année la même erreur qu’il y a quatre ans. S’il devait changer quelque chose dans sa façon d’aborder les Jeux? «Arriver à Londres célibataire...», soupire l’ancien compagnon d’une médaillée olympique.
Dans l’enquête d’ESPN, la joueuse de foot américaine Brandi Chastain raconte aussi l’une de ses soirées aux Jeux d’Atlanta. Les joueurs de l’équipe de France de handball, quatrièmes du tournoi, n’étaient alors pas les derniers à mettre l’ambiance, vêtus de simples «chaussettes, chaussures, coquilles de protection, cravates et chapeaux. Ils se nourrissaient mutuellement debout sur une table. On s’est dit: c’est quoi cet endroit?» Juste un lieu où on ne s’amuse pas seulement en gagnant des médailles.
tisiphoné a écrit : ça ouvre des perspectives pour les SM ça
que d'histoires pour si peu de choseLe magazine (féminin?) Elle, n'est plus à une polémique près. La couverture du numéro du 20 juillet, confirme la règle que le canard semble s'imposer: aborder des sujets de manière bien maladroite, voire sexiste.
Après l'article sur la communauté afro qui a enfin laissé le streetwear au profit du dress code blanc, Elle honore ses lectrices d'un papier sur les femmes qui sucent parce qu'elles aiment "jouer de la flûte enchantée". L'article encense celles qui usent de cette pratique et marginalise les femmes qui "ne peuvent même pas envisager le contact de leur bouche avec un pénis", estimant que celles-ci souffrent tout simplement "d’immaturité psychoaffective". Ce n'est pas une blague, c'est une sexologue qui le dit.
Dans cet article, la glorification de la pipe impose une vision de la femme "so 2012", soit une ménagère dévouée à son mari, ne rechignant pas à lui offrir une petite gâterie, mais attention, lorsqu'elle s'y attèle, c'est toujours calculé. Parmi les pépites du genre, Adèle 39 ans, déclare: "Une bonne pipe, c’est très efficace en phase de négociations, quand je veux le faire céder sur la couleur d’un papier peint ou sur le lieu de nos futures vacances" ou encore Julie, 35 ans, " No pipe si j’ai un truc à lui faire payer: petite dernière oubliée à la crèche ou tas de linge s’accumulant. Mais fellation à volonté si j’ai besoin de me faire pardonner quelque chose ou de l’amadouer, pour qu’il garde les enfants quand je pars en séminaire !".
franchement ça me hérisse ce genre de polémique à notre époque, je vois pas où se niche le sexisme la dedans, dans une relation librement consentie, on fait ce dont on a envie, c'est pas de l'avilissement c'est juste du plaisir, sinon reste qu' à sucer des magnums triple chocolatdurdur1 a écrit : Saint Claude est leur patron
C'est pathétique pour un magazine d'en arriver là... On dirait du 100% mag avec les reportages-clichés sur les marseillais qui parlent avec l'accent et qui aiment le foottisiphoné a écrit : que d'histoires pour si peu de chose
Ah si, le plaisir de la Puissance.durdur1 a écrit : une bonne pipe consentie c'est quand même bien
et c'est comme tout , si tu le fais par obligation ce n'est plus du plaisir