J’y vois le véhicule du méchant immobilisé, un véhicule de police l’empêchant d’avancer , un policier à droite du véhicule, un autre à gauche .De plus à ce jour personne ne dit que le méchant est armé il me semble


Jiimmy a écrit : ↑08 septembre 2022 07:58 Ps: Combien de policiers morts percutés, à pieds, par des fuyards ?
On voit la déconnexion totale entre ce chiffre et le nombre de tués qui bondit de façon fulgurante. Le seul décès dont j'ai connaissance, fut l'oeuvre de la police elle-même, c'est dire si ces tirs ne sont pas justifiés par les statistiques :
https://www.leparisien.fr/faits-divers/ ... 413047.php
Transfert a écrit : ↑19 août 2022 17:18 Les anti-flics du genre Jojo61 vont vous expliquer qu'ils auraient dû tirer dans les pneu (ce qui n'a jamais stoppé un véhicule), tirer dans le moteur (avec du 9 para, le moteur en rigole encore!) ou même, peut-être, taser la voiture...
Les abrutis, ça ose tout!
Nice. Le Tunisien conduisant une voiture volée, tué par un policier, avait 21 mentions au fichier TAJ (vols, stupéfiants, conduite sans permis, extorsion, dégradations etc.)oups a écrit : ↑08 septembre 2022 12:21 Dans le cas de figure de Nice ce jour j’viens de regarder 3 fois la vidéo
J’y vois le véhicule du méchant immobilisé, un véhicule de police l’empêchant d’avancer , un policier à droite du véhicule, un autre à gauche .De plus à ce jour personne ne dit que le méchant est armé il me sembleJe m’autorise donc à penser que dans un tel cas, tirer dans les pneus( voir dans le gars mais la ou ça ne tue pas trop ) même un Oups habituellement très quelquonque à l’issue d’un long repas et d’une courte nuit est en capacité de le faire .Sinon j’ dis rien d’autre en oubliant pas de préciser qu’un policier peut lui aussi déconner grave et que faire le tri dans les causes a défendre est eneralement plutôt une bonne chose
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Source:Le Parisien.
Un nouveau refus d’obtempérer, et deux policiers blessés. Lors d’une opération menée par une brigade moto contre les rodéos urbains, mercredi après-midi à Marcq-en-Barœul, les policiers ont voulu arrêter une voiture. Mais celle-ci a refusé de s’arrêter, rapporte la Voix du Nord.
L’incident s’est produit vers 16 heures....
Les policiers décident de contrôler une voiture avec deux personnes à bord. Après s’être arrêté, le conducteur a redémarré brutalement. En avançant, il a percuté l’un des motards. Celui-ci a été blessé grièvement avec plusieurs fractures et été emmené à l’hôpital.
La voiture tente alors de prendre la fuite à contresens des voies de circulation. Suivie par un deuxième motard, elle pile soudainement. Le policier lancé sur sa moto n’a pas le temps de l’éviter, et heurte la portière ouverte par le conducteur, qui prend alors la fuite avec son passager. Blessé, le policier souffre de plusieurs contusions.
Une patrouille arrivée en renfort a finalement interpellé le conducteur, connu défavorablement des services de police pour des affaires de stupéfiants. Il a été placé en garde à vue.
Source:Le Figaro.
Une femme de 22 ans a été tuée et un homme de 26 ans blessé par un policier alors qu'ils tentaient d'échapper à un contrôle mené dans le cadre d'une opération anti-drogue à Rennes dans la nuit de mardi 6 à mercredi 7 septembre, a-t-on appris mercredi de source policière.
.....Un policier a également été blessé et hospitalisé.
Vers 1 heure du matin, des policiers de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI) ont voulu intercepter un véhicule, près de la porte de Lorient à la sortie de Rennes, indique une source policière au Figaro. Le conducteur a refusé d'obtempérer et de s'arrêter, avançant en direction des policiers et percutant deux véhicules de la BRI. Un policier a alors fait usage de son arme, tirant une fois.
Une communication du parquet transmise au Figaro, confirme ce mercredi que vers 1 heure du matin, «un véhicule Peugeot 208 faisait l'objet d'une interception sur la bretelle d'accès à la route de Lorient à Rennes (en venant de la rocade extérieure) lors d'une opération de police judiciaire conduite par la DZPJ de Rennes dans le cadre d'une enquête pour infraction à la législation sur les stupéfiants diligentée depuis plusieurs mois sous l'autorité du parquet de Rennes».
Lors de cette interception, «un policier de la BRI de Nantes (unité ayant apporté son soutien à la PJ pour procéder à cette interception au moyen d'un dispositif important) faisait usage à une reprise de son arme de service et blessait légèrement le conducteur avant que le projectile n'atteigne selon les premières constations la passagère, compagne du conducteur, qui est une jeune femme âgée de 22 ans, inconnue des services judiciaires, résidant dans la région de Rouen. Malgré l'intervention des secours, elle devait rapidement décéder sur place à 2h15», poursuit le communiqué.
Une personne en garde à vue!:
Le conducteur, né en 1996, est «très défavorablement connu» pour trafic de stupéfiants, selon une source policière au Figaro, et a été touché au bras. Il a été interpellé et placé en garde à vue. Le parquet informe que «le policier ayant fait usage de son arme de service indiquait lors de sa première audition en tant que témoin avoir été percuté par le véhicule Peugeot au niveau de la jambe au moment où il tentait de se protéger en s'extrayant face au véhicule fonçant sur lui.
Des constations médico-légales de ses blessures ont pu être faites cette nuit par un médecin légiste avant qu'il ne sorte de l'hôpital». Quatre véhicules de la BRI étaient présents lors des faits.
En plus de l'enquête concernant le trafic de stupéfiants, deux enquêtes ont été ouvertes : l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie, comme c'est le cas lorsque les policiers font usage de leur arme. Et une enquête pour tentative d'homicide sur personne dépositaire de l'autorité publique a été confiée à la police judiciaire.
Ce sont les dommages collatéraux, mais la compagne du voyou savait très bien ce qu'elle risquait, quand on vit avec un voyou on accepte els risques liés a une vie de voyou. Elle aurait pu également très bien se retrouver dans un règlement de comptes et prendre une balle perdue.Crapulax a écrit : ↑08 septembre 2022 13:18 .......................................Rennes: Une femme tuée après un refus d'obtempérer lors d'une opération anti-drogue.
Le conducteur de la voiture tentait d'échapper à un contrôle. Il a été blessé, de même qu'un policier, mais sa passagère n'a pas survécu. Deux enquêtes ont été ouvertes, l'une par l'IGPN et l'autre par la police judiciaire.
Source:Le Figaro.
Une femme de 22 ans a été tuée et un homme de 26 ans blessé par un policier alors qu'ils tentaient d'échapper à un contrôle mené dans le cadre d'une opération anti-drogue à Rennes dans la nuit de mardi 6 à mercredi 7 septembre, a-t-on appris mercredi de source policière.
.....Un policier a également été blessé et hospitalisé.
Vers 1 heure du matin, des policiers de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI) ont voulu intercepter un véhicule, près de la porte de Lorient à la sortie de Rennes, indique une source policière au Figaro. Le conducteur a refusé d'obtempérer et de s'arrêter, avançant en direction des policiers et percutant deux véhicules de la BRI. Un policier a alors fait usage de son arme, tirant une fois.
Une communication du parquet transmise au Figaro, confirme ce mercredi que vers 1 heure du matin, «un véhicule Peugeot 208 faisait l'objet d'une interception sur la bretelle d'accès à la route de Lorient à Rennes (en venant de la rocade extérieure) lors d'une opération de police judiciaire conduite par la DZPJ de Rennes dans le cadre d'une enquête pour infraction à la législation sur les stupéfiants diligentée depuis plusieurs mois sous l'autorité du parquet de Rennes».
Lors de cette interception, «un policier de la BRI de Nantes (unité ayant apporté son soutien à la PJ pour procéder à cette interception au moyen d'un dispositif important) faisait usage à une reprise de son arme de service et blessait légèrement le conducteur avant que le projectile n'atteigne selon les premières constations la passagère, compagne du conducteur, qui est une jeune femme âgée de 22 ans, inconnue des services judiciaires, résidant dans la région de Rouen. Malgré l'intervention des secours, elle devait rapidement décéder sur place à 2h15», poursuit le communiqué.
Une personne en garde à vue!:
Le conducteur, né en 1996, est «très défavorablement connu» pour trafic de stupéfiants, selon une source policière au Figaro, et a été touché au bras. Il a été interpellé et placé en garde à vue. Le parquet informe que «le policier ayant fait usage de son arme de service indiquait lors de sa première audition en tant que témoin avoir été percuté par le véhicule Peugeot au niveau de la jambe au moment où il tentait de se protéger en s'extrayant face au véhicule fonçant sur lui.
Des constations médico-légales de ses blessures ont pu être faites cette nuit par un médecin légiste avant qu'il ne sorte de l'hôpital». Quatre véhicules de la BRI étaient présents lors des faits.
En plus de l'enquête concernant le trafic de stupéfiants, deux enquêtes ont été ouvertes : l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie, comme c'est le cas lorsque les policiers font usage de leur arme. Et une enquête pour tentative d'homicide sur personne dépositaire de l'autorité publique a été confiée à la police judiciaire.
https://www.lefigaro.fr/faits-divers/re ... e-20220907
Une femme de 22 ans a été tuée et un homme de 26 ans blessé par un policier alors qu'ils tentaient d'échapper à un contrôle mené dans le cadre d'une opération anti-drogue à Rennes dans la nuit de mardi 6 à mercredi 7 septembre, a-t-on appris mercredi de source policière. Un policier a également été blessé et hospitalisé.
Oui et lorsqu'un maçon porte une brique c'est pour aller la poser. Vous avez d'autres truismes ?
Et donc ça justifie de le tuer quand les circonstances ne le justifient pas ?LOFOTEN a écrit : ↑08 septembre 2022 13:12Nice. Le Tunisien conduisant une voiture volée, tué par un policier, avait 21 mentions au fichier TAJ (vols, stupéfiants, conduite sans permis, extorsion, dégradations etc.)oups a écrit : ↑08 septembre 2022 12:21 Dans le cas de figure de Nice ce jour j’viens de regarder 3 fois la vidéo
J’y vois le véhicule du méchant immobilisé, un véhicule de police l’empêchant d’avancer , un policier à droite du véhicule, un autre à gauche .De plus à ce jour personne ne dit que le méchant est armé il me sembleJe m’autorise donc à penser que dans un tel cas, tirer dans les pneus( voir dans le gars mais la ou ça ne tue pas trop ) même un Oups habituellement très quelquonque à l’issue d’un long repas et d’une courte nuit est en capacité de le faire .Sinon j’ dis rien d’autre en oubliant pas de préciser qu’un policier peut lui aussi déconner grave et que faire le tri dans les causes a défendre est eneralement plutôt une bonne chose
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https://policeetrealites.com/2022/09/08 ... ait-21-men
Bien sur qu’il a foncé
Je vois malheureusement que l'actualité me donne raison. Le nombre de morts va aller en augmentant et de plus en plus vite. Il n'y a que les grands naïfs qui sont certain que ces mort calmeront les délinquants, pour moi ce sera le contraire. La peur ne va pas changer de camp, elle sera dans les deux camps, et tout le monde sait qu'un homme armé qui à peur quel qu'il soit, et encore plus dangereux.le chimple a écrit : ↑08 septembre 2022 07:08Il me semble que c'est déjà arrivé ..Georges61 a écrit : ↑07 septembre 2022 22:57 Je ne suis pas surpris de ces morts, quasiment un par semaine. Depuis que les policiers savent que s'ils tirent et qu'ils tuent un délinquant, quasiment à chaque fois, ils ne risquent rien, certains flics ne se sentent plus pisser. Comme je l'ai déjà dit cela va aller en augmentant, car penser que cela arrêtera ces délinquants c'est une vue de l'esprit, à mon avis ces morts auront un résultat contraire. Jusqu'au jour où ces délinquants sortiront armés, et tireront les premiers sur la police, comme dans certains pays d'Amérique du Sud. La violence attire la violence, je vois mal comment sortir de cet engrenage.
Soit par arme à feu , soit à coup de parpaing du haut des HLM , à coup de mortier ou encore brulés dans leur voiture .
Maintenant , si les lascars n'ont encore pas compris qu'il faut s'arrêter , ce sont des masos !
Perso , je m'arrête ..
Encore un mort hier , un tunisien .. conduite sans permis , extorsions , drogue , en France depuis un an ..
Les policiers ne le savaient pas ; lui , si .
https://www.lepoint.fr/societe/refus-d- ... 059_23.php
Une femme tuée quelques heures avant .. , c'est moche , d'un autre coté , etre la compagne d'un truand multirécidiviste , s'assoyant à ses cotés dans une voiture volée , pleine de drogue , ça craint ..
La peur va t elle changer de camp ??
Source:Ouest-France.
Le scénario est souvent le même, les questions qui en découlent aussi. En moins de 24 heures, deux personnes sont mortes, blessées par des tirs de policiers, après des refus d’obtempérer à Rennes puis Nice.
Sur 14 240 refus d’obtempérer comptabilisés l’année dernière par la police nationale, 157 cas concernent des « usages d’armes à feu sur des véhicules en mouvement », selon des chiffres de la police.
Alors quelle est la procédure standard en cas de refus d’obtempérer ? Dans quel cadre les policiers peuvent-ils faire usage de leur arme ? Que dit précisément la loi ?
Un refus d’obtempérer, c’est quoi ?
Le refus d’obtempérer est une notion décrite dans le Code de la route comme « le fait, pour tout conducteur, d’omettre d’obtempérer à une sommation de s’arrêter émanant d’un fonctionnaire ou d’un agent chargé de constater les infractions et muni des insignes extérieurs et apparents de sa qualité ».
Il s’agit par conséquent d’un délit puni par la loi.
Dans certains cas, les forces de l’ordre choisissent de laisser partir le conducteur en tort pour limiter les risques d’un accident. Mais dans d’autres, la police ou la gendarmerie prennent en chasse le véhicule, voire font usage de leur arme.
« La police française est confrontée de plus en plus à des situations au cours desquelles elle est obligée de mettre en œuvre des moyens pour se protéger, se défendre ou faire cesser des infractions », a défendu Frédéric Veaux, directeur général de la Police nationale ce jeudi matin sur Franceinfo .
Quelle est la doctrine de la police ?
...La question du droit et de la légitimité se pose alors
« Les cadres juridiques sont précisés dans le Code de la sécurité intérieure, la seule difficulté est opérationnelle : quand vous êtes sur le terrain, vous avez un quart de seconde pour réagir, pour décider ce que vous devez faire », a résumé le patron de la police sur Franceinfo.
Depuis 2017 en effet, l’article L435-1 du Code de la sécurité intérieure prévoit que les policiers peuvent faire usage de leurs armes « en cas d’absolue nécessité et de manière strictement proportionnée », notamment lorsque « des atteintes à la vie ou à l’intégrité physique sont portées contre eux ou contre autrui ou lorsque des personnes armées menacent leur vie ou leur intégrité physique ou celles d’autrui ».
À savoir également que la légitime défense est aussi encadrée par la loi, dans l’article 122-5 du Code pénal, soulignant le besoin de « nécessité » et la proportionnalité de la réponse.
L’article L435-1 sujet à interprétation:
Les notions d’« absolue nécessité » et de « menace » sont en revanche soumises à interprétation.
« Un policier ou un gendarme peut tirer sur une personne qui n’obtempère pas et qui va probablement causer des dommages graves. En gros, il peut tirer si, en une seconde, il est capable d’évaluer la dangerosité future du comportement d’une personne. C’est impossible à faire », relève sur Franceinfo Sebastian Roché, directeur de recherche au CNRS et spécialiste des questions de police et de sécurité.
Un flou en partie admis par Frédéric Veaux : « La seule difficulté est opérationnelle : quand vous êtes sur le terrain vous avez un quart de seconde pour réagir, pour décider ce que vous devez faire ». Il juge toutefois la doctrine « adaptée ».
Saisie automatique de l’IGPN:
À chaque fois qu’une arme est utilisée, l’Inspection générale de la Police nationale est saisie pour mener une enquête et justifier ou non l’usage.
L’IGPN a un rôle de contrôle sur l’emploi des armes à feu par les policiers mais n’a pas de pouvoir de sanction en cas de manquements. Dans ces cas-là, la justice ou la hiérarchie de l’institution prennent le relais.