Et comment tu vas la produire cette électricité ? En pédalant sur ton vélo...électrique.Victor a écrit : ↑06 décembre 2022 17:51Vous verrez que la transition vers les VE continuera.Le Merlu a écrit : ↑06 décembre 2022 17:43 La Suisse va limiter l'utilisation de la voiture électrique, pour faire face aux risques de pénurie d'approvisionnement en électricité :
https://www.automobile-magazine.fr/voit ... lectriques.
J'ai toujours pensé que cette nouvelle mode de voiture électrique finirait en eau de boudin.
Tout simplement parce que le pétrole et donc les carburants sont des énergies fossiles, donc épuisables.
Sans compter les émissions de CO2.
Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
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Re: Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
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Re: Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
Commençons par le plus facile:
2) Pas de réacteurs arrêtés?
https://reporterre.net/Secheresse-la-ce ... -a-l-arret
3 août 2022
https://www.lexpress.fr/environnement/s ... 93306.html
1) Que des réacteurs soient arrêtés ou que leur production soit réduite, ne change rien au problème. La sècheresse diminue le débit des fleuves, élève la température initiale de l'eau et...il y a moins d'électricité produite, alors qu'il en faudra plus, beaucoup plus pour remplacer les carburants fossiles.grishka a écrit : ↑06 décembre 2022 17:42
Bien joué, Einstein.
NON, des réacteurs ne sont pas "arrêtés à chaque fois" en raison de la sécheresse ou de la canicule. Vous ne savez rien du sujet.
Leur puissance est éventuellement abaissée. Sur une année, cela représente une baisse moyenne de... quelques pourcents de la production.
Et dans votre univers mental, cela devient par je ne sais quel processus "ce n'est pas adapté".
Complètement à la masse.
2) Pas de réacteurs arrêtés?
https://reporterre.net/Secheresse-la-ce ... -a-l-arret
https://www.tf1info.fr/environnement-ec ... 28372.htmlDepuis lundi 24 août (2020) , la centrale nucléaire de Chooz (Ardennes) est totalement à l’arrêt, indique EDF sur son site internet. Les équipes de la centrale ont procédé à la mise à l’arrêt de l’unité de production no 1 à 23 h 30, le réacteur no 2 n’était déjà plus en fonctionnement depuis le vendredi 21 août, « en raison des conditions climatiques actuelles et conformément à l’accord transfrontalier entre la France et la Belgique ».
En effet, les deux pays ont un accord qui détermine les seuils de débit d’eau de la Meuse, pour permettre aux utilisateurs belges de disposer en permanence d’une ressource en eau suffisante. Si le débit de la rivière baisse en-dessous de ces seuils, des mesures doivent êtres prises pour limiter le fonctionnement des installations industrielles françaises.
En-dessous d’un débit de 22 m3/seconde, une seule unité de production de la centrale nucléaire de Chooz doit être arrêtée. Si le débit passe sous les 20 m3/seconde, les deux unités de production doivent alors être stoppées. Or actuellement, en raison de la sécheresse, la rivière manque d’eau. Les deux seuils ayant été franchis, la centrale nucléaire est donc désormais totalement à l’arrêt.
3 août 2022
https://selectra.info/energie/actualite ... e-ete-2022La nouvelle vague de chaleur qui s'abat sur la France pourrait avoir de lourdes conséquences sur l'énergie. EDF pourrait en effet être contraint d'abaisser sa production nucléaire ces prochains jours et même arrêter un réacteur de la centrale du Tricastin (Drôme) à cause des températures élevées des fleuves.
"En raison des prévisions de températures élevées sur le Rhône, des restrictions de production sont susceptibles d'affecter le site de production nucléaire de Tricastin à partir du 6 août, pouvant aller jusqu'à l'arrêt d'une tranche"
https://www.sortirdunucleaire.org/seche ... -nucleaireQuelles sont les prévisions pour l’été ?
S’il n’est pas possible de se projeter au sujet d’éventuelles mises à l’arrêt supplémentaires liées à la sécheresse, on ne peut toutefois écarter aucun risque.
En effet, les prévisions météorologiques vont bon train, le ministère de la Transition écologique estime “très probable” le risque de sécheresse dans pas moins de 22 départements d'ici à la fin de l'été 2022. Pour rappel, au cours de la canicule de juillet 2020, EDF avait acté la mise à l'arrêt de l'un de ses réacteurs à Golfech (Tarn-et-Garonne).
En 2011, le scénario d'arrêt était déjà envisagéSécheresse et canicule : le nucléaire fait souffrir les cours d’eau
C’est un fait avéré : la France est de plus en plus régulièrement touchée par des épisodes de canicule et de sécheresse et ce n’est pas prêt de s’arranger. Ces épisodes climatiques extrêmes, susceptibles de se multiplier dans les années à venir, aggravent les impacts des centrales nucléaires sur les cours d’eau. Mais pour EDF, les intérêts financiers priment sur la protection des écosystèmes aquatiques.
Des centrales nucléaires gourmandes en eau
Une centrale nucléaire a besoin d’eau en permanence pour évacuer la chaleur produite par la réaction nucléaire, et ce même à l’arrêt.
En bord de mer ou sur les cours d’eau à fort débit, les centrales fonctionnent en circuit "ouvert" : chaque réacteur prélève près de 50 m3/seconde pour ses besoins en refroidissement. L’eau est ensuite rejetée à une température plus élevée. C’est le cas, par exemple, à Fessenheim.
Sur les cours d’eau où le débit est plus faible, elles fonctionnent en circuit dit "fermé" : chaque réacteur pompe près de 2 à 3 m3/seconde dont une partie est ensuite évaporée dans les tours de refroidissement, formant un panache blanc caractéristique ; le reste est ensuite rejeté.
Les deux tiers de l’énergie produite par une centrale sont perdus sous forme de chaleur. Celle-ci sera elle-même évacuée sous forme de vapeur d’eau (qui constitue elle-même un gaz à effet de serre) et/ou viendra réchauffer les cours d’eau [1].
Des dérogations sur mesure pour les étés chauds
Le fonctionnement des centrales en été exige donc un débit suffisant. D’où certains arrangements pour conserver suffisamment d’eau dans les fleuves !
En cas de sécheresse, on préfèrera vider le lac de Vassivière (Limousin) pour que la Vienne continue à refroidir la centrale de Civaux.
Cette question peut même prendre une dimension internationale : en avril 2015, François Hollande a négocié avec la Suisse pour qu’en cas de sécheresse, le débit du Rhône à la sortie du Lac Léman reste suffisant pour refroidir les 14 réacteurs français situés au bord du fleuve !
Surtout, ces rejets d’eau chaude ne font pas le bonheur des milieux aquatiques. En 100 ans, la température du Rhin a augmenté de près de 3°C, notamment à cause de la centrale de Fessenheim. Ces rejets thermiques agissent comme une barrière qui réduit considérablement les chances de survie des poissons grands migrateurs, comme les saumons et truites des mers. Leur impact est d’autant plus important en période de fortes chaleurs, avec des fleuves au débit réduit et à la température en hausse.
La loi fixant des limites au réchauffement des fleuves, EDF peut se voir contrainte de réduire la puissance de certains réacteurs et pourrait théoriquement être conduite à les arrêter en cas de trop forte chaleur. Mais il faut bien faire tourner les climatiseurs, et tout arrêt de réacteur représente un manque à gagner d’un million d’euros par jour pour EDF… si bien que l’électricien n’a jamais cessé d’intervenir pour modifier la législation et obtenir des dérogations !
Ainsi, pendant la canicule de 2003, un grand nombre de centrales ont bénéficié de dérogations successives. Dans les années suivantes, chaque centrale a eu droit à une réglementation ad hoc plus souple, avec par exemple une température limite en aval à ne pas dépasser basée sur une moyenne de 24h. Et si, en cas de "canicule extrême et nécessité publique", les limitations habituelles ne peuvent être respectées, un décret de 2007 autorise à modifier encore les conditions de rejets thermiques ! Les poissons apprécieront...
Une pollution chimique et radioactive accrue en cas de sécheresse
En temps normal, les sites nucléaires sont autorisés à rejeter dans l’eau d’importantes quantités de substances radioactives (tritium, carbone 14... qui s’accumulent dans la végétation aquatique) et surtout chimiques : bore, hydrazine, phosphate, détergents, chlore, ammonium, nitrates, sulfates, sodium, métaux (zinc, cuivre…).. La chaleur favorisant la prolifération des amibes, EDF a tendance à utiliser encore plus de produits chimiques en été, notamment pour éviter que les tours de refroidissement se transforment en foyers de légionellose.
Or lorsque le débit des cours d’eau se réduit, la concentration des substances polluantes augmente. En 2012, des militants ont illustré cette faible dispersion en versant dans la Garonne en étiage bas un colorant qui, faute d’un courant suffisant, se diluait à peine.
https://www.lexpress.fr/environnement/s ... 93306.html
Pas de quoi s'inquiéter, selon la ministre de l'Ecologie. En marge de la première réunion du "comité sécheresse", Nathalie Kosciusko-Morizet soulignait ce lundi: "Le manque d'eau est prévu dans le dispositif de contrôle." Et de rappeler que, depuis 2003, les centrales sont dotées d'un "référentiel grand chaud" - sorte de "plan canicule" - adapté aux réacteurs nucléaires, pour faire face à ce type de conditions météorologiques.
Aucun risque ne sera pris, ajoute la ministre de l'Ecologie. "Si le débit d'eau [dans les fleuves, ndlr] est trop faible, le réacteur est arrêté sans dérogation possible."
Solutions alternatives
Pour les professionnels du nucléaire, l'arrêt des réacteurs est une solution de dernier recours. Il est possible, pour s'adapter au manque d'eau disponible pour le refroidissement, de diminuer le niveau de fonctionnement de la centrale en abaissant l'intensité de la production. "Il y a une certaine souplesse dans la gestion des puissances de production par les centrales", explique Martial Jorel. Ces ajustements font partie du quotidien des installations, ajoute le spécialiste.
Autres solutions alternatives pour alimenter les circuits de refroidissement et pallier la diminution du débit des fleuves: puiser dans d'autres réserves en eau comme les lacs et les retenues d'eau de pluie. Une mesure préventive qui aurait déjà été mise en place chez EDF.
Colonisation: tête de pont de la barbarie dans une civilisation d'où, à n'importe quel moment, peut déboucher la négation pure et simple de la civilisation. Aimé Césaire "Discours sur le colonialisme"
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Re: Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
Voici un autre intérêt de créer des retenues, pardon des bassines.Hdelapampa a écrit : ↑06 décembre 2022 19:00 Commençons par le plus facile:1) Que des réacteurs soient arrêtés ou que leur production soit réduite, ne change rien au problème. La sècheresse diminue le débit des fleuves, élève la température initiale de l'eau et...il y a moins d'électricité produite, alors qu'il en faudra plus, beaucoup plus pour remplacer les carburants fossiles.grishka a écrit : ↑06 décembre 2022 17:42
Bien joué, Einstein.
NON, des réacteurs ne sont pas "arrêtés à chaque fois" en raison de la sécheresse ou de la canicule. Vous ne savez rien du sujet.
Leur puissance est éventuellement abaissée. Sur une année, cela représente une baisse moyenne de... quelques pourcents de la production.
Et dans votre univers mental, cela devient par je ne sais quel processus "ce n'est pas adapté".
Complètement à la masse.
2) Pas de réacteurs arrêtés?
https://reporterre.net/Secheresse-la-ce ... -a-l-arrethttps://www.tf1info.fr/environnement-ec ... 28372.htmlDepuis lundi 24 août (2020) , la centrale nucléaire de Chooz (Ardennes) est totalement à l’arrêt, indique EDF sur son site internet. Les équipes de la centrale ont procédé à la mise à l’arrêt de l’unité de production no 1 à 23 h 30, le réacteur no 2 n’était déjà plus en fonctionnement depuis le vendredi 21 août, « en raison des conditions climatiques actuelles et conformément à l’accord transfrontalier entre la France et la Belgique ».
En effet, les deux pays ont un accord qui détermine les seuils de débit d’eau de la Meuse, pour permettre aux utilisateurs belges de disposer en permanence d’une ressource en eau suffisante. Si le débit de la rivière baisse en-dessous de ces seuils, des mesures doivent êtres prises pour limiter le fonctionnement des installations industrielles françaises.
En-dessous d’un débit de 22 m3/seconde, une seule unité de production de la centrale nucléaire de Chooz doit être arrêtée. Si le débit passe sous les 20 m3/seconde, les deux unités de production doivent alors être stoppées. Or actuellement, en raison de la sécheresse, la rivière manque d’eau. Les deux seuils ayant été franchis, la centrale nucléaire est donc désormais totalement à l’arrêt.
3 août 2022https://selectra.info/energie/actualite ... e-ete-2022La nouvelle vague de chaleur qui s'abat sur la France pourrait avoir de lourdes conséquences sur l'énergie. EDF pourrait en effet être contraint d'abaisser sa production nucléaire ces prochains jours et même arrêter un réacteur de la centrale du Tricastin (Drôme) à cause des températures élevées des fleuves.
"En raison des prévisions de températures élevées sur le Rhône, des restrictions de production sont susceptibles d'affecter le site de production nucléaire de Tricastin à partir du 6 août, pouvant aller jusqu'à l'arrêt d'une tranche"https://www.sortirdunucleaire.org/seche ... -nucleaireQuelles sont les prévisions pour l’été ?
S’il n’est pas possible de se projeter au sujet d’éventuelles mises à l’arrêt supplémentaires liées à la sécheresse, on ne peut toutefois écarter aucun risque.
En effet, les prévisions météorologiques vont bon train, le ministère de la Transition écologique estime “très probable” le risque de sécheresse dans pas moins de 22 départements d'ici à la fin de l'été 2022. Pour rappel, au cours de la canicule de juillet 2020, EDF avait acté la mise à l'arrêt de l'un de ses réacteurs à Golfech (Tarn-et-Garonne).En 2011, le scénario d'arrêt était déjà envisagéSécheresse et canicule : le nucléaire fait souffrir les cours d’eau
C’est un fait avéré : la France est de plus en plus régulièrement touchée par des épisodes de canicule et de sécheresse et ce n’est pas prêt de s’arranger. Ces épisodes climatiques extrêmes, susceptibles de se multiplier dans les années à venir, aggravent les impacts des centrales nucléaires sur les cours d’eau. Mais pour EDF, les intérêts financiers priment sur la protection des écosystèmes aquatiques.
Des centrales nucléaires gourmandes en eau
Une centrale nucléaire a besoin d’eau en permanence pour évacuer la chaleur produite par la réaction nucléaire, et ce même à l’arrêt.
En bord de mer ou sur les cours d’eau à fort débit, les centrales fonctionnent en circuit "ouvert" : chaque réacteur prélève près de 50 m3/seconde pour ses besoins en refroidissement. L’eau est ensuite rejetée à une température plus élevée. C’est le cas, par exemple, à Fessenheim.
Sur les cours d’eau où le débit est plus faible, elles fonctionnent en circuit dit "fermé" : chaque réacteur pompe près de 2 à 3 m3/seconde dont une partie est ensuite évaporée dans les tours de refroidissement, formant un panache blanc caractéristique ; le reste est ensuite rejeté.
Les deux tiers de l’énergie produite par une centrale sont perdus sous forme de chaleur. Celle-ci sera elle-même évacuée sous forme de vapeur d’eau (qui constitue elle-même un gaz à effet de serre) et/ou viendra réchauffer les cours d’eau [1].
Des dérogations sur mesure pour les étés chauds
Le fonctionnement des centrales en été exige donc un débit suffisant. D’où certains arrangements pour conserver suffisamment d’eau dans les fleuves !
En cas de sécheresse, on préfèrera vider le lac de Vassivière (Limousin) pour que la Vienne continue à refroidir la centrale de Civaux.
Cette question peut même prendre une dimension internationale : en avril 2015, François Hollande a négocié avec la Suisse pour qu’en cas de sécheresse, le débit du Rhône à la sortie du Lac Léman reste suffisant pour refroidir les 14 réacteurs français situés au bord du fleuve !
Surtout, ces rejets d’eau chaude ne font pas le bonheur des milieux aquatiques. En 100 ans, la température du Rhin a augmenté de près de 3°C, notamment à cause de la centrale de Fessenheim. Ces rejets thermiques agissent comme une barrière qui réduit considérablement les chances de survie des poissons grands migrateurs, comme les saumons et truites des mers. Leur impact est d’autant plus important en période de fortes chaleurs, avec des fleuves au débit réduit et à la température en hausse.
La loi fixant des limites au réchauffement des fleuves, EDF peut se voir contrainte de réduire la puissance de certains réacteurs et pourrait théoriquement être conduite à les arrêter en cas de trop forte chaleur. Mais il faut bien faire tourner les climatiseurs, et tout arrêt de réacteur représente un manque à gagner d’un million d’euros par jour pour EDF… si bien que l’électricien n’a jamais cessé d’intervenir pour modifier la législation et obtenir des dérogations !
Ainsi, pendant la canicule de 2003, un grand nombre de centrales ont bénéficié de dérogations successives. Dans les années suivantes, chaque centrale a eu droit à une réglementation ad hoc plus souple, avec par exemple une température limite en aval à ne pas dépasser basée sur une moyenne de 24h. Et si, en cas de "canicule extrême et nécessité publique", les limitations habituelles ne peuvent être respectées, un décret de 2007 autorise à modifier encore les conditions de rejets thermiques ! Les poissons apprécieront...
Une pollution chimique et radioactive accrue en cas de sécheresse
En temps normal, les sites nucléaires sont autorisés à rejeter dans l’eau d’importantes quantités de substances radioactives (tritium, carbone 14... qui s’accumulent dans la végétation aquatique) et surtout chimiques : bore, hydrazine, phosphate, détergents, chlore, ammonium, nitrates, sulfates, sodium, métaux (zinc, cuivre…).. La chaleur favorisant la prolifération des amibes, EDF a tendance à utiliser encore plus de produits chimiques en été, notamment pour éviter que les tours de refroidissement se transforment en foyers de légionellose.
Or lorsque le débit des cours d’eau se réduit, la concentration des substances polluantes augmente. En 2012, des militants ont illustré cette faible dispersion en versant dans la Garonne en étiage bas un colorant qui, faute d’un courant suffisant, se diluait à peine.
https://www.lexpress.fr/environnement/s ... 93306.htmlPas de quoi s'inquiéter, selon la ministre de l'Ecologie. En marge de la première réunion du "comité sécheresse", Nathalie Kosciusko-Morizet soulignait ce lundi: "Le manque d'eau est prévu dans le dispositif de contrôle." Et de rappeler que, depuis 2003, les centrales sont dotées d'un "référentiel grand chaud" - sorte de "plan canicule" - adapté aux réacteurs nucléaires, pour faire face à ce type de conditions météorologiques.
Aucun risque ne sera pris, ajoute la ministre de l'Ecologie. "Si le débit d'eau [dans les fleuves, ndlr] est trop faible, le réacteur est arrêté sans dérogation possible."
Solutions alternatives
Pour les professionnels du nucléaire, l'arrêt des réacteurs est une solution de dernier recours. Il est possible, pour s'adapter au manque d'eau disponible pour le refroidissement, de diminuer le niveau de fonctionnement de la centrale en abaissant l'intensité de la production. "Il y a une certaine souplesse dans la gestion des puissances de production par les centrales", explique Martial Jorel. Ces ajustements font partie du quotidien des installations, ajoute le spécialiste.
Autres solutions alternatives pour alimenter les circuits de refroidissement et pallier la diminution du débit des fleuves: puiser dans d'autres réserves en eau comme les lacs et les retenues d'eau de pluie. Une mesure préventive qui aurait déjà été mise en place chez EDF.
Une centrale telle celle de Civaux, normalement dépendante de la Vienne, est en mesure d'anticiper "l’impossibilité de disposer de cette eau pour le refroidissement des installations". Le cas échéant, "des réserves d’eau importantes sont prévues", comme le lac de Vassivière, qui a profité de l’hiver pour reconstituer ses réserves.
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Re: Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
Oui, mais ça ne règlera RIEN.
Quant à l'uranium, si ce n'est pas à proprement parler une ressource fossile, il n'est pas pour autant renouvelable.
Il est aussi produit à l'étranger, le nombre d'Etats qui l'utilisent (EDF vend des centrales) ne cesse d'augmenter et donc la demande fait monter le prix.
Colonisation: tête de pont de la barbarie dans une civilisation d'où, à n'importe quel moment, peut déboucher la négation pure et simple de la civilisation. Aimé Césaire "Discours sur le colonialisme"
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Re: Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
grishka a écrit : ↑06 décembre 2022 17:42Oui, elle doit être très reposante à avoir: suffit de l'avoir et d'ignorer la réalité. Très reposant, sans aucun doute.
C'est dans le titre du graphe, le TITRE DU GRAPHE.Non, il n'y a rien concernant les voitures REELLES (âge, kilométrage, type d'utilisation) utilisées dans ces "études".
Alors le survol de 456 pages par vous, qui n'êtes pas capable de lire un graphique somme toute simple où TOUT est indiqué, j'en ris et pas qu'un peu.
Vous êtes quand même le gus qui ne voit pas dans le graphe le CO2 dû à la production d'électricité, alors que c'est le plus gros truc en plein milieu.
L'impression de m'adresser à quelqu'un n'ayant plus toute sa tête...
Le complotisme: la maladie mentale du siècle.d'un cabinet "d'expertise" PRIVE (et certainement libéral), dont les clients ne sont pas seulement l'UE, mais aussi des constructeurs automobiles européens dont vous vous faites le porte-voix.
Vous n'avez rien pour soutenir votre avis, TOUTES les informations que vous réclamiez se trouvent sur le graphe sans que vous soyez capable de les trouver, mais en fait, aucune d'importance: suffit de balancer des accusations complètement gratuites au vent pour oublier les faits et la réalité.
Primo, les émissions de GES sont couramment converties en équivalent CO2, argument nul et non avenu.Oui, il est suspect de négliger les émissions de GES (et non du seul CO2) pour ce qui concerne l'entretien et le recyclage en fin de vie, car il s'agit de technologies et donc de matériaux différents notamment pour ce qui concerne les batteries.
Deuxio, que les batteries contiennent des matériaux différents changent QUOI au bilan énergétique de leur entretien et recyclage? Vous n'en avez pas la moindre idée, c'est un truc que vous balancez au pif.
Vous avez répondu strictement n'importe quoi, des trucs sortant tout droit de votre imagination avec des scénarios climatiques où des grands fleuves français seront à sec.j'ai DEJA répondu
Mais je commence à comprendre votre fonctionnement: vous ne faites que ça.
Bien joué, Einstein.Oui ou non, à chaque fois des réacteurs sont-ils arrêtés?
NON, des réacteurs ne sont pas "arrêtés à chaque fois" en raison de la sécheresse ou de la canicule. Vous ne savez rien du sujet.
Leur puissance est éventuellement abaissée. Sur une année, cela représente une baisse moyenne de... quelques pourcents de la production.
Et dans votre univers mental, cela devient par je ne sais quel processus "ce n'est pas adapté".
Complètement à la masse.
Hé , du calme le jeune (du forum )....
Ici , on n'a pas l'habitude de se traiter de noms d'oiseaux ..
On fait le blanc et on respire par le nez ....
Chacun a son mot à dire sans qu'un grossier vienne lui mordre les mollets ..
...C'est curieux chez les marins , le besoin de faire des phrases ...
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Re: Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
Bien sûr que si.Hdelapampa a écrit : ↑06 décembre 2022 19:00 1) Que des réacteurs soient arrêtés ou que leur production soit réduite, ne change rien au problème.
Une baisse de quelques pourcents est négligeable, et quand on compare cela à votre assertion FAUSSE que des réacteurs seraient arrêtés à chaque sécheresse/canicule, c'est même insignifiant.
Argument dépourvu du moindre sens, à moins de considérer que "beaucoup plus" = quelques pourcents.il y a moins d'électricité produite, alors qu'il en faudra plus, beaucoup plus pour remplacer les carburants fossiles.
Et en plus, vous abandonnez en rase campagne votre argument sur l'inadaptabilité au changement climatique pour passer à celui-ci.
Je réitère, parce que vous oubliez ce que vous avez dit: non, pas "à chaque fois".Pas de réacteurs arrêtés?
Vous êtes obligé de remonter à 2020 pour en trouver, car pendant la sécheresse de 2022, aucun réacteur n'a été mis à l'arrêt en raison des conditions climatiques.
Ce qui n'est pas arrivé.3 août 2022
...pouvant aller jusqu'à l'arrêt d'une tranche"
Pas possible?Mais pour EDF, les intérêts financiers priment sur la protection des écosystèmes aquatiques.
Sortir du nucléaire crache sur le nucléaire?
Stupéfiant!
Le reste, vous meublez avec du vide mais aussi du n'importe quoi, colportez par Sortir du nucléaire.
La contribution de Fessenheim à cette hausse était complètement insignifiant, faut avoir aucune idée des volumes utilisées par un réacteur et ce qui coule dans un fleuve pour penser qu'une paire de réacteurs va chauffer le Rhin de 3 degrés.En 100 ans, la température du Rhin a augmenté de près de 3°C, notamment à cause de la centrale de Fessenheim.
Mais cela, Sortir du nucléaire se garde bien de le dire.
Ces types sont à la science ce qu'une moissoneuse batteuse est à l'aérodynamisme.
Bon, je ne vais pas plus commenter Sortir du nucléaire: c'est de l'étron en boîte.
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Re: Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
Parce que les matériaux qui composent les éoliennes et les panneaux solaires eux sont produits...?Hdelapampa a écrit : ↑06 décembre 2022 19:12 il n'est pas pour autant renouvelable.
Il est aussi produit à l'étranger
Ben pas en France non plus.
Vous allez apprécier: voici en graphique le besoin en matériau pour différents moyens de production électrique pour une même quantité d'électricité produite.

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Re: Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
Non mais le type ne sait pas lire un graphique.
Je lui dis où les informations se trouvent exactement sur le graphique, plusieurs fois... il ne les voit toujours pas.
Il y a quand même un problème.
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Re: Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
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Re: Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
même pas ,, c'était avant en 98/99 les premières A ou Ble chimple a écrit : ↑06 décembre 2022 14:51Celles qui avaient et qui ont une motorisation Renault
Je reconnais que Mercedes a bien baissé ...
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Re: Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
Ah le ? Co 2 ..Ah oui le truc qui est grave quand une voiture Française en produit 10,et sans importance quand une voitureVictor a écrit : ↑06 décembre 2022 17:51Vous verrez que la transition vers les VE continuera.Le Merlu a écrit : ↑06 décembre 2022 17:43 La Suisse va limiter l'utilisation de la voiture électrique, pour faire face aux risques de pénurie d'approvisionnement en électricité :
https://www.automobile-magazine.fr/voit ... lectriques.
J'ai toujours pensé que cette nouvelle mode de voiture électrique finirait en eau de boudin.
Tout simplement parce que le pétrole et donc les carburants sont des énergies fossiles, donc épuisables.
Sans compter les émissions de CO2.
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Re: Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
T'as peut etre raison , les moteurs Renault ont été montés sur la dernière version de Class Alepicard a écrit : ↑06 décembre 2022 20:01même pas ,, c'était avant en 98/99 les premières A ou Ble chimple a écrit : ↑06 décembre 2022 14:51
Celles qui avaient et qui ont une motorisation Renault
Je reconnais que Mercedes a bien baissé ...
Sofa , ma Class A de2003 , j'ai trouvé ça l'an dernier , tout neuf , du cellophane sur les sièges , 45 milles Km , un papy ...
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Re: Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
Et mercedes l'ayant adapté à sa sauce, celui-ci est parfaitement fiable.le chimple a écrit : ↑06 décembre 2022 20:17
T'as peut etre raison , les moteurs Renault ont été montés sur la dernière version de Class A![]()
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Re: Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
une fois ; pendant la vidange du CLS le garage m'en avait prété une (diesel) pour l'après midi ,,, eh ben j'ai été ravi de l'auto , je l'avais même recommandée à une nièce qui l'a gardée des années ..... puis elle l'a changée pour une clio et ,c'est la que les emmerdes ont commencé pour ellele chimple a écrit : ↑06 décembre 2022 20:17T'as peut etre raison , les moteurs Renault ont été montés sur la dernière version de Class A![]()
Sofa , ma Class A de2003 , j'ai trouvé ça l'an dernier , tout neuf , du cellophane sur les sièges , 45 milles Km , un papy ...![]()
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Re: Voiture électrique, pourquoi tant de haine ?
Auto magazine anti VE a mort, et encore moins toi allez préciser que cette mesure sera prise en dernier recours sachant qu'il y en a d'autres bien plus prioritaires. La Suisse est très dépendante des pays étrangers et apprécie l'anticipation.Le Merlu a écrit : ↑06 décembre 2022 17:43 La Suisse va limiter l'utilisation de la voiture électrique, pour faire face aux risques de pénurie d'approvisionnement en électricité :
https://www.automobile-magazine.fr/voit ... lectriques.
J'ai toujours pensé que cette nouvelle mode de voiture électrique finirait en eau de boudin.
L’ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne
Pierre Desproges
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