Le gouvernement dévoile sa stratégie nationale biodiversité

[Hdelapampa]

Vous êtes prédisposé politiquement et philosophiquement (même haine, même peur des animaux sauvages)à écouter avec complaisance ce que racontent les éleveurs.

Je ne leur fais pas la morale, ni à eux, ni à ceux qui les écoutent benoîtement: je les dénonce, ce sont des menteurs, des escrocs.

Moi, je les ai observés en train de "travailler".
De la même façon que j'observe les animaux sauvages qui survivent encore à la dent et aux crottes des dizaines de milliers de moutons dans ces milieux.
Leurs troupeaux ne sont pas gardés la plupart du temps et restent donc seuls.
Comment est-ce possible?
Depuis le "moyen âge" des années 50 où la vie des BERGERS était rude, "on" a construit des routes qui desservent estives et pâturages.
Il est donc facile de faire le trajet aller retour en deux ou trois heures depuis la plaine où se trouve l'exploitation agricole du producteur de viande.
Les bergers, les GARDIENS de troupeaux disparaissent.
On peut donc observer si on y prête attention que la plupart des troupeaux voient leurs propriétaires une heure ou deux une fois tous les...
Là je ne peux pas donner de chiffres.
Personne ne compte à l'INSEE.
Mais il est fortement probable que cette "présence" éphémère soit vraiment très insuffisante pour garantir les bêtes de toute perte évitable.
Ce sont des dizaines de milliers de bêtes qui sont perdues chaque été, là où il n'y a AUCUN prédateur.
Les pertes sont alors dues aux orages, soit par la foudre soit par les mouvements de panique (attribués généreusement au Loup et à l'Ours voire même aux vautours, aux renards; les Buses attendent leur tour) ).
Elles sont dues au piétin,à d'autres maladies, à la pluie, aux chiens errants (souvent ceux des éleveurs EUX MÊMES).

Je connais aussi leurs talents de comédiens devant les caméras des journalistes.

Je pourrais raconter plus en détail, ce que des éleveurs m'ont raconté alors que je faisais le naïf, le touriste DE PASSAGE.
A force de parler des bobos citadins, ils prennent a priori leurs interlocuteurs pour des ignorants.


Les éleveurs espagnols ont à peu près la même mentalité MAIS l'attitude de l'Etat est différente.
Et pourtant avec deux fois plus de moutons et deux fois plus de loups, les pertes sont presque deux fois moindres.

POURQUOI?
Vous ne répondez pas, car vous n'êtes pas un spécialiste mais vous préférez les explications foireuses des éleveurs français.

En plus vous êtes un HYPOCRITE, par ce que si l'on vous prend au sérieux (ce qui n'est pas mon cas) la production de viande artificielle mettrait les éleveurs sur la paille plus sûrement que les loups.
Alors ne venez pas pleurnicher sur leur avenir qui n'est en rien menacé par le Loup.
Il est possible, l'Espagne le montre, de cohabiter pacifiquement (du SEUL côté de l'Etat et des non éleveurs chasseurs) avec cette espèce en diminuant les pertes sans tuer des loups.

[papibilou]

S'il n'y avait pas de problèmes de cohabitation entre éleveurs et loups ou ours, nous n'en parlerions pas. Sauf qu'il y en a. Si on pense que les deux vivent en montagne et pas en milieu urbain, il ne leur reste plus que 2 solutions : cohabiter ou éradiquer celui qui est considéré comme " l'ennemi".
Les montagnes étant vastes on peut penser que certaines zones puissent être réservées aux loups et aux ours d'autres au pastoralisme.
Enfin, en l'absence de prédateurs du loup ou de l'ours, l'homme devra accepter tôt ou tard de limiter la prolifération de ces animaux.

[Hdelapampa]

Ce sont les éleveurs qui ne veulent pas cohabiter.
Or ils ne sont pas propriétaires des estives et alpages et ont des comptes à rendre.
-à leurs clients, les consommateurs.
-au contribuable dont les impôts servent à payer les subventions qu'ils perçoivent sans contre partie.

[Hdelapampa]

S'il n'y avait pas de problèmes de cohabitation entre éleveurs et loups ou ours, nous n'en parlerions pas. Sauf qu'il y en a. Si on pense que les deux vivent en montagne et pas en milieu urbain, il ne leur reste plus que 2 solutions : cohabiter ou éradiquer celui qui est considéré comme " l'ennemi".
Les montagnes étant vastes on peut penser que certaines zones puissent être réservées aux loups et aux ours d'autres au pastoralisme.
Enfin, en l'absence de prédateurs du loup ou de l'ours, l'homme devra accepter tôt ou tard de limiter la prolifération de ces animaux.

1) C'est faux. Les montagnes ne sont vastes que dans votre imagination de bobo qui n'y a mis les pieds que pour ses loisirs.
En réalité, il y a MAINTENANT tellement de routes et de pistes que TOUS les vastes espaces sont à au maximum deux ou trois heures de route de la plaine.

2) L'élevage est présent jusque dans le coeur des zones "réservées" à la vie sauvage où la nature est "protégée".

3) Vous avez donc des "zones" à proposer?

Où? A part dans vos élucubrations très abstraites, de "principe"?

[Victor]

Ce sont les éleveurs qui ne veulent pas cohabiter.

Allez prendre leur métier de berger une saison et après on en reparle ?
C'est vraiment trop facile ce que vous faites.

[Victor]

Vous êtes prédisposé politiquement et philosophiquement (même haine, même peur des animaux sauvages)à écouter avec complaisance ce que racontent les éleveurs.

Je ne leur fais pas la morale, ni à eux, ni à ceux qui les écoutent benoîtement: je les dénonce, ce sont des menteurs, des escrocs.

Moi, je les ai observés en train de "travailler".
De la même façon que j'observe les animaux sauvages qui survivent encore à la dent et aux crottes des dizaines de milliers de moutons dans ces milieux.
Leurs troupeaux ne sont pas gardés la plupart du temps et restent donc seuls.
Comment est-ce possible?
Depuis le "moyen âge" des années 50 où la vie des BERGERS était rude, "on" a construit des routes qui desservent estives et pâturages.
Il est donc facile de faire le trajet aller retour en deux ou trois heures depuis la plaine où se trouve l'exploitation agricole du producteur de viande.
Les bergers, les GARDIENS de troupeaux disparaissent.
On peut donc observer si on y prête attention que la plupart des troupeaux voient leurs propriétaires une heure ou deux une fois tous les...
Là je ne peux pas donner de chiffres.
Personne ne compte à l'INSEE.
Mais il est fortement probable que cette "présence" éphémère soit vraiment très insuffisante pour garantir les bêtes de toute perte évitable.
Ce sont des dizaines de milliers de bêtes qui sont perdues chaque été, là où il n'y a AUCUN prédateur.
Les pertes sont alors dues aux orages, soit par la foudre soit par les mouvements de panique (attribués généreusement au Loup et à l'Ours voire même aux vautours, aux renards; les Buses attendent leur tour) ).
Elles sont dues au piétin,à d'autres maladies, à la pluie, aux chiens errants (souvent ceux des éleveurs EUX MÊMES).

Je connais aussi leurs talents de comédiens devant les caméras des journalistes.

Je pourrais raconter plus en détail, ce que des éleveurs m'ont raconté alors que je faisais le naïf, le touriste DE PASSAGE.
A force de parler des bobos citadins, ils prennent a priori leurs interlocuteurs pour des ignorants.


Les éleveurs espagnols ont à peu près la même mentalité MAIS l'attitude de l'Etat est différente.
Et pourtant avec deux fois plus de moutons et deux fois plus de loups, les pertes sont presque deux fois moindres.

POURQUOI?
Vous ne répondez pas, car vous n'êtes pas un spécialiste mais vous préférez les explications foireuses des éleveurs français.

En plus vous êtes un HYPOCRITE, par ce que si l'on vous prend au sérieux (ce qui n'est pas mon cas) la production de viande artificielle mettrait les éleveurs sur la paille plus sûrement que les loups.
Alors ne venez pas pleurnicher sur leur avenir qui n'est en rien menacé par le Loup.
Il est possible, l'Espagne le montre, de cohabiter pacifiquement (du SEUL côté de l'Etat et des non éleveurs chasseurs) avec cette espèce en diminuant les pertes sans tuer des loups.

Mais expliquez-nous pourquoi les éleveurs et les bergers sont remontés contre les loups si ce sont les chiens errants, la foudre, les maladies, etc. qui sont le réel problème ?

[Hdelapampa]

Allez prendre leur métier de berger une saison et après on en reparle ?
C'est vraiment trop facile ce que vous faites.

Il n'en est pas question.
S'il fallait être enseignant pour parler des enseignants, ça se saurait.

[Hdelapampa]

Mais expliquez-nous pourquoi les éleveurs et les bergers sont remontés contre les loups si ce sont les chiens errants, la foudre, les maladies, etc. qui sont le réel problème ?

Enfin une bonne question.
Deux réponses, car il y a deux causes.

1) Figurez vous qu'un éleveur a une image de lui., une estime de lui, PROFESSIONNELLE. Attribuer la mort d'une brebis au Loup, c'est dire "le Diable me persécute". C'est plus sexy que de dire et d'admettre "je ne protège pas mon troupeau, j'attends de gagner mon fric avec ce qui reste de bêtes en fin de saison".

2) En "zone à loups ou à ours", l'éleveur est indemnisé avec l'argent de l'Etat non seulement pour chaque bête perdue par une attaque "prouvée" mais aussi pour le dérangement et le stress causé au troupeau.

[mic43121]

Ca y est, ça devient concret...
La ministre de la biodiversité" (à la sauce FNSEA) "salue la brigade loup de l'Aveyron"
https://www.bfmtv.com/politique/gouvern ... 60691.html

La nouvelle secrétaire d'État à la biodiversité s'est réjoui de l'arrivée d'une brigade loup dans l'Averyon, une promesse d'Emmanuel Macron. Ce dispositif qui permet d'utiliser des "tirs de défense" contre les canidés et donc de les tuer suscite la colère des écologistes. "On doit de concilier l'activité humaine et la présence du loup", défend son cabinet.

Après les passes d'armes autour du Service civique universel, place à celles autour des animaux sauvages. Sarah El Haïry, fraîchement nommée à la Biodiversité lors du dernier remaniement, a salué "la mise en place de la deuxième brigade loup aujourd’hui à Rodez". De quoi faire réagir sur les bancs de la gauche.

"Commencer la prise de fonction biodiversité par tuer les loups", avance ainsi la députée écologiste Sandrine Rousseau.

Une patrouille et ses "tirs de défense renforcée"

Même son de cloche pour certaines figures de défense de l'environnement à l'instar de Mathieu Orphelin, ex-président de la ligue de protection des oiseaux. "Tuer plus de loups est contre-productif car détruisant les meutes et l'effet d'apprentissage", a fait savoir l'ancien parlementaire écologiste, un temps Renaissance.

J' attends la réaction de Jadot et des écolos "raisonnables".
En attendant, vive Sandrine Rousseau, une fois de plus.
Concilier l'activité humaine avec la présence du Loup passerait par...tuer le Loup.
Ce pelé, ce galeux, ce NUISIBLE dont les éleveurs les plus arriérés (FNSEA) réclament la tête, pour pouvoir continuer à ne pas garder leurs troupeaux.
Voilà la "stratégie Biodiversité" du gouvernement bourgeois au service des lobbies: continuer le saccage sous couvert de vaines paroles.

Je suis d'accord avec toi ..ce sont les chiens qui gardent les moutons ..
Les bergers montent en moto ou en 4X4 pour leur porter de la nourriture ..
Après il y a des bergers (professionnels ou amateurs ) qui font des regroupements ...là ils sont payés et restent en montagne ..
Les moutons sont marqués ..il faut les reconnaître ..

[Victor]

Mais expliquez-nous pourquoi les éleveurs et les bergers sont remontés contre les loups si ce sont les chiens errants, la foudre, les maladies, etc. qui sont le réel problème ?

Enfin une bonne question.
Deux réponses, car il y a deux causes.

1) Figurez vous qu'un éleveur a une image de lui., une estime de lui, PROFESSIONNELLE. Attribuer la mort d'une brebis au Loup, c'est dire "le Diable me persécute". C'est plus sexy que de dire et d'admettre "je ne protège pas mon troupeau, j'attends de gagner mon fric avec ce qui reste de bêtes en fin de saison".

2) En "zone à loups ou à ours", l'éleveur est indemnisé avec l'argent de l'Etat non seulement pour chaque bête perdue par une attaque "prouvée" mais aussi pour le dérangement et le stress causé au troupeau.

On va vous envoyer garder les troupeaux en pleine nuit avec les loups.
Le résultat sera forcément positif.
Soit vous redescendez vivant et vous arrêtez de sortir vos âneries.
Soit vous ne redescendez pas et le résultat est là aussi positif.

[Hdelapampa]

On va vous envoyer garder les troupeaux en pleine nuit avec les loups.
Le résultat sera forcément positif.
Soit vous redescendez vivant et vous arrêtez de sortir vos âneries.
Soit vous ne redescendez pas et le résultat est là aussi positif.

Il y a des éleveurs qui gardent les troupeaux la nuit?
Et qui se font tuer par le Loup?
Le dépit vous fait dire n'importe quoi.
J'ai dormi à la belle étoile de nombreuses fois en Vallée d'Aspe en zone non pas à loups mais à ours.
Près d'un troupeau (plus haut que lui pour avoir une vue d'ensemble).
Dans le massif de Sesques.
Pas vu de gardien, à peine un chien qui n'a pas détecté ma présence.
Et l'Ours n'a attaqué personne: ni le troupeau, ni le chien, ni moi.
D'ailleurs il n'est pas venu.

[gare au gorille]

Ce sont les éleveurs qui ne veulent pas cohabiter.

Allez prendre leur métier de berger une saison et après on en reparle ?
C'est vraiment trop facile ce que vous faites.

Tiens pour une fois je suis bien d'accord avec toi Victor. Ce monsieur de la Pampa ne connait pas du tout le sujet. J'ai une amie fille et petite fille de berger et qui a un troupeau de brebis Brigasques qu'elle garde en ce moment en Alpage sur les hauteurs à 2700 m d'altitude tout près de la frontière Italienne.
Pratiquement tous les soirs les loups tournent autour du troupeau et c'est pour eux un véritable cauchemar. Il lui arrive de trouver au petit matin un chevreuil déchiqueté par la meute, elle a compté jusqu'à dix loups dans une meute.
Si pour certain qui n'en subissent pas le danger au quotidien le loup c'est sympa, pour d'autres c'est un problème qui est venu leur pourrir la vie.

[Hdelapampa]

Ben moi j'ai plein de témoignages bien différents et des observations personnelles.
J'ai été en personne sur le terrain pendant des années pour relever des empreintes d'ours ce qui fait que je connais moins le sujet que vous sans doutes.
Le coup de Bambi déchiqueté, c'est touchant de naïveté et de mièvrerie.
Vous voulez faire pleurer dans les chaumières?

Tous les soirs autour du troupeau, les loups?
Sans manger pendant des semaines donc?
Je ne gobe pas ce "témoignage" cousu de fils blancs.
Ce n'est pas la première fois que vous mentez (discours de Boumediene à l'ONU sur le ventre des femmes musulmanes).

[papibilou]

Ce sont les éleveurs qui ne veulent pas cohabiter.

Avons nous demandé aux loups et aux ours ? Peut-être que eux non plus ...

[papibilou]

S'il n'y avait pas de problèmes de cohabitation entre éleveurs et loups ou ours, nous n'en parlerions pas. Sauf qu'il y en a. Si on pense que les deux vivent en montagne et pas en milieu urbain, il ne leur reste plus que 2 solutions : cohabiter ou éradiquer celui qui est considéré comme " l'ennemi".
Les montagnes étant vastes on peut penser que certaines zones puissent être réservées aux loups et aux ours d'autres au pastoralisme.
Enfin, en l'absence de prédateurs du loup ou de l'ours, l'homme devra accepter tôt ou tard de limiter la prolifération de ces animaux.

1) C'est faux. Les montagnes ne sont vastes que dans votre imagination de bobo qui n'y a mis les pieds que pour ses loisirs.
En réalité, il y a MAINTENANT tellement de routes et de pistes que TOUS les vastes espaces sont à au maximum deux ou trois heures de route de la plaine.

2) L'élevage est présent jusque dans le coeur des zones "réservées" à la vie sauvage où la nature est "protégée".

3) Vous avez donc des "zones" à proposer?

Où? A part dans vos élucubrations très abstraites, de "principe"?

Vous y vivez ?