Mais au fait puisque tout est réglé


il n'y a que toi qui en parle, on parle de l'uniforme là.
Tout à fait mais penser un seul instant que les fringues peuvent bloquer l'inventivité c'est oublier par exemple que dans les labos de recherche la plupart des chercheurs portent des blouses blanches identiques.Fonck1 a écrit : ↑06 octobre 2023 06:57De la différence on crée la productivité et l'inventivité.papibilou a écrit : ↑05 octobre 2023 19:10
On ne réfléchit pas avec ses fringues et ses godasses, mais avec son cerveau, et celui la, on ne peut le travestir. Cela dit si vous préférez une tenue générique, pourquoi pas. Pour moi c'est assimilable à un uniforme. Cela dit les familles aisées vont sortir leur portefeuille plus facilement qu'avec l'uniforme.
Des générations d'élèves ont porté l'uniforme et ça ne les a pas transformé en robots. Il faut éviter de penser qu'un vêtement peut transformer un élève.
ce qui fait qu'on est inventif c'est qu'on voit es choses sous un autre angle, pas qu'on voit les choses comme tout le monde, bien discipliné.
En attendant, dans les faits, actuellement, une partie des gosses se fout complètement de l'institution scolaire. Et parfois avec le consentement de leurs parents.
Vous avez l'impression que l'école nous pond des fournées d'enfants productifs et inventifs?
bah oui encore, même si c'est beaucoup moins qu'avant.
mais c'est déjà comme cela que l'on fait, et depuis des années.Quelque chose que plus personne ne nie (*): le niveau a considérablement baissé en 30 ans.
La position que vous exprimez pourrait aussi bien revenir à vous inquiéter de la couleur des murs des salles de classe: faut que la couleur soit différente partout parce que cela va améliorer les choses...
J'ai justement cette impression que beaucoup de jeunes à l'heure actuelle ont du mal "à composer" avec l'irréel....Plus précisément à tenter de deviner l'avenir,à se projeter dans l'imaginaire...En gros à ne penser que par eux-même pour avoir une vision de leur futur...Vous avez l'impression que l'école nous pond des fournées d'enfants productifs et inventifs?
Le ministre confirme ses bonnes intentions. C'est bien. A suivre...Qu’est-ce que la « tenue unique » bientôt expérimentée à l’école ?
L’uniforme va être expérimenté pendant deux ans dans plusieurs établissements publics où un kit de vêtements sera remis aux élèves. Les parents n’auront rien à débourser.
suite
mais bon, l'uniforme ne rends pas plus intelligent, bien au contraire.Le ministre de l’Education nationale, Gabriel Attal, annoncera « d’ici les fêtes » une « expérimentation d’ampleur » sur le port de l’uniforme à l’école, dans diverses collectivités locales, pour mesurer scientifiquement l’efficacité d’une telle mesure, a-t-il indiqué mercredi.
« Comme beaucoup de Français, je suis partagé sur la question de l’uniforme. (…) Je ne suis pas encore convaincu que c’est une solution qui permettrait de tout régler, et pas non plus convaincu, comme certains, qu’il ne faudrait pas en parler et l’essayer », a déclaré Gabriel Attal sur France Info. Le ministère de l’Éducation a détaillé cette expérimentation dans un guide envoyé aux collectivités volontaires. 20 Minutes fait le point sur cette expérimentation alors que plusieurs villes candidates, telles que Metz ou Denain, ont commencé à préparer le terrain.
Que contient le guide ?
Le ministère de l’Éducation a détaillé ses ambitions dans un guide envoyé aux collectivités volontaires. « Le port obligatoire d’une tenue vestimentaire commune concerne uniquement les élèves – et non pas les enseignants – et s’applique nécessairement à l’ensemble des classes de l’école, du collège ou du lycée volontaire », est-il écrit dans ce guide de quatre pages. « Cette démarche vise en tout premier lieu à renforcer la cohésion entre élèves et à améliorer le climat scolaire », explique la rue de Grenelle.
Selon le ministère, « le port d’une tenue vestimentaire commune est susceptible de créer une atmosphère de travail et d’égalité au sein de l’établissement ». C’est aussi « un moyen de valoriser l’image de l’école et de l’établissement en créant un sentiment d’appartenance et d’unité entre les élèves », selon le document.
L’uniforme évite « toutes formes d’inégalités et de prosélytisme ». Il peut « offrir des conditions de socialisation où les différences sociales se réduisent et permet de lutter contre le règne de l’apparence », ajoute-t-on.
Qu’avait dit Gabriel Attal ?
Le ministre de l’Education nationale s’est, mercredi, dit « intéressé de voir ce qu’une expérimentation de grande ampleur donnerait comme résultats en matière de climat scolaire, en matière d'élévation du niveau de nos élèves » ou d’impact « sur l’autorité à l’école, le harcèlement scolaire, les questions de laïcité ». Gabriel Attal va donc « annoncer très prochainement, d’ici les fêtes » cette expérimentation « avec un certain nombre d’établissements, dans des collectivités locales différentes qui expérimenteront l’uniforme dans notre pays à grande échelle ».
Interrogé sur l’âge des élèves concernés, le ministre a dit que cela « fera partie » des annonces à venir. Gabriel Attal a également assuré « travailler avec les collectivités locales concernées pour que l’expérimentation puisse se faire sans reste à charge pour les familles ». Côté financier, le ministère affirme en effet dans son guide qu'« afin de ne pas faire supporter aux familles le coût financier de la mise en œuvre de cette expérimentation, la fourniture des trousseaux est prise en charge par les collectivités locales qui peuvent bénéficier d’un appui financier du ministère ».
En quoi consisterait cet uniforme ?
Selon France Info qui cite les informations envoyées par la rue de Grenelle aux collectivités volontaires, cinq polos, deux pulls et deux pantalons devraient composer le « kit de base » d’une valeur de 200 euros. Ce sont les collectivités qui passeront commandes, et qui pourront n’en choisir qu’une partie. A noter que ces tenues pourront être personnalisées par les villes (écusson) et que le kit sera renouvelé chaque année. Ce dernier devrait être « financé à moitié par l’Etat, à moitié par la mairie, le département ou la région volontaire », ajoutent nos confrères.
A noter que rien n’indique pour le moment si cet uniforme sera le même pour les filles et les garçons ou s’il évoluera au fil des saisons, ni même si kit contient une tenue de sport, « une blouse ou un tablier pour les plus petits, en maternelle ».
Vers une généralisation ?
L’annonce de la liste des collectivités retenues par le ministre de l’Education nationale, Gabriel Attal, est prévue à la mi-décembre. Parmi elles, les villes de Denain, Metz, Tourcoing, Reims, Nice et les départements de l’Allier et des Alpes-Maritimes et la région Auvergne-Rhône-Alpes. L’expérimentation, elle, doit commencer en septembre 2024, « voire dès le printemps pour les collectivités les plus motivées », annonce ce lundi France Info. Avant de se lancer, chaque établissement devra « valider le projet en conseil d’administration ou en conseil d’école pour inscrire la mesure dans le règlement intérieur », indique encore France Info. Et rappelons que, mercredi, le ministre a promis « un vrai suivi de recherche pour mesurer l’efficacité » : « si l’on voit que c’est efficace, on pourra avoir un vrai débat sur la généralisation de l’uniforme en France, mais au moins ça se fera sur une base scientifique. »
Quelles sont les réactions ?
« Ce n’est pas le sujet du moment. La réussite scolaire est un sujet qui doit être traité au global. Peut-être que l’uniforme est un élément à prendre en compte mais ce n’est certainement pas un élément central », a réagi Frédéric Leturque, maire centriste d’Arras (Pas-de-Calais) et coprésident de la commission Education de l’Association des maires de France (AMF). « Ce n’est pas d’un (seul) uniforme dont on a besoin, mais d’un uniforme de printemps, un d’été, un d’hiver et un pour le sport, ce qui représente un engagement financier important, a-t-il ajouté. Ce n’est ni aux familles ni aux communes d’en supporter le coût. »
mais çà ote les barrières socialesFonck1 a écrit : ↑12 décembre 2023 07:22 Uniforme à l’école : Dates, budget, kit de base, villes candidates… Le point sur l’expérimentationmais bon, l'uniforme ne rends pas plus intelligent, bien au contraire.Le ministre de l’Education nationale, Gabriel Attal, annoncera « d’ici les fêtes » une « expérimentation d’ampleur » sur le port de l’uniforme à l’école, dans diverses collectivités locales, pour mesurer scientifiquement l’efficacité d’une telle mesure, a-t-il indiqué mercredi.
« Comme beaucoup de Français, je suis partagé sur la question de l’uniforme. (…) Je ne suis pas encore convaincu que c’est une solution qui permettrait de tout régler, et pas non plus convaincu, comme certains, qu’il ne faudrait pas en parler et l’essayer », a déclaré Gabriel Attal sur France Info. Le ministère de l’Éducation a détaillé cette expérimentation dans un guide envoyé aux collectivités volontaires. 20 Minutes fait le point sur cette expérimentation alors que plusieurs villes candidates, telles que Metz ou Denain, ont commencé à préparer le terrain.
Que contient le guide ?
Le ministère de l’Éducation a détaillé ses ambitions dans un guide envoyé aux collectivités volontaires. « Le port obligatoire d’une tenue vestimentaire commune concerne uniquement les élèves – et non pas les enseignants – et s’applique nécessairement à l’ensemble des classes de l’école, du collège ou du lycée volontaire », est-il écrit dans ce guide de quatre pages. « Cette démarche vise en tout premier lieu à renforcer la cohésion entre élèves et à améliorer le climat scolaire », explique la rue de Grenelle.
Selon le ministère, « le port d’une tenue vestimentaire commune est susceptible de créer une atmosphère de travail et d’égalité au sein de l’établissement ». C’est aussi « un moyen de valoriser l’image de l’école et de l’établissement en créant un sentiment d’appartenance et d’unité entre les élèves », selon le document.
L’uniforme évite « toutes formes d’inégalités et de prosélytisme ». Il peut « offrir des conditions de socialisation où les différences sociales se réduisent et permet de lutter contre le règne de l’apparence », ajoute-t-on.
Qu’avait dit Gabriel Attal ?
Le ministre de l’Education nationale s’est, mercredi, dit « intéressé de voir ce qu’une expérimentation de grande ampleur donnerait comme résultats en matière de climat scolaire, en matière d'élévation du niveau de nos élèves » ou d’impact « sur l’autorité à l’école, le harcèlement scolaire, les questions de laïcité ». Gabriel Attal va donc « annoncer très prochainement, d’ici les fêtes » cette expérimentation « avec un certain nombre d’établissements, dans des collectivités locales différentes qui expérimenteront l’uniforme dans notre pays à grande échelle ».
Interrogé sur l’âge des élèves concernés, le ministre a dit que cela « fera partie » des annonces à venir. Gabriel Attal a également assuré « travailler avec les collectivités locales concernées pour que l’expérimentation puisse se faire sans reste à charge pour les familles ». Côté financier, le ministère affirme en effet dans son guide qu'« afin de ne pas faire supporter aux familles le coût financier de la mise en œuvre de cette expérimentation, la fourniture des trousseaux est prise en charge par les collectivités locales qui peuvent bénéficier d’un appui financier du ministère ».
En quoi consisterait cet uniforme ?
Selon France Info qui cite les informations envoyées par la rue de Grenelle aux collectivités volontaires, cinq polos, deux pulls et deux pantalons devraient composer le « kit de base » d’une valeur de 200 euros. Ce sont les collectivités qui passeront commandes, et qui pourront n’en choisir qu’une partie. A noter que ces tenues pourront être personnalisées par les villes (écusson) et que le kit sera renouvelé chaque année. Ce dernier devrait être « financé à moitié par l’Etat, à moitié par la mairie, le département ou la région volontaire », ajoutent nos confrères.
A noter que rien n’indique pour le moment si cet uniforme sera le même pour les filles et les garçons ou s’il évoluera au fil des saisons, ni même si kit contient une tenue de sport, « une blouse ou un tablier pour les plus petits, en maternelle ».
Vers une généralisation ?
L’annonce de la liste des collectivités retenues par le ministre de l’Education nationale, Gabriel Attal, est prévue à la mi-décembre. Parmi elles, les villes de Denain, Metz, Tourcoing, Reims, Nice et les départements de l’Allier et des Alpes-Maritimes et la région Auvergne-Rhône-Alpes. L’expérimentation, elle, doit commencer en septembre 2024, « voire dès le printemps pour les collectivités les plus motivées », annonce ce lundi France Info. Avant de se lancer, chaque établissement devra « valider le projet en conseil d’administration ou en conseil d’école pour inscrire la mesure dans le règlement intérieur », indique encore France Info. Et rappelons que, mercredi, le ministre a promis « un vrai suivi de recherche pour mesurer l’efficacité » : « si l’on voit que c’est efficace, on pourra avoir un vrai débat sur la généralisation de l’uniforme en France, mais au moins ça se fera sur une base scientifique. »
Quelles sont les réactions ?
« Ce n’est pas le sujet du moment. La réussite scolaire est un sujet qui doit être traité au global. Peut-être que l’uniforme est un élément à prendre en compte mais ce n’est certainement pas un élément central », a réagi Frédéric Leturque, maire centriste d’Arras (Pas-de-Calais) et coprésident de la commission Education de l’Association des maires de France (AMF). « Ce n’est pas d’un (seul) uniforme dont on a besoin, mais d’un uniforme de printemps, un d’été, un d’hiver et un pour le sport, ce qui représente un engagement financier important, a-t-il ajouté. Ce n’est ni aux familles ni aux communes d’en supporter le coût. »