Sais tu que certains zozos, anciens des Zouaves et du GUD, étaient interdits de séjour à Paris...sur décision judiciaire de notre belle justice républicaine! Donc, mesure répressive justifiée.jeandu53 a écrit : ↑11 février 2024 10:02Le motif des interpellations est assez surréaliste ! C'est donc tout ce qu'on a trouvé contre eux ?le Figaro a écrit :Elles ont été interpellées par des policiers de la Brav-M vers 16h00 à la sortie du cimetière de Charonne, dans le 20e arrondissement de la capitale, où elles venaient de rendre hommage à l'écrivain Robert Brasillach, condamné à mort et fusillé à la Libération pour des faits de collaboration, ont précisé ces sources. Parmi eux figurent des personnalités connues de la mouvance d'ultradroite, dont l'ancien chef du groupuscule dissous les «Zouaves», Marc de Cacqueray-Valmenier, ou Gabriel Loustau, une figure du Gud.![]()
Tu trouves anormal cette réaction de notre belle police républicaine?
En plus allez rendre hommage à un collabo condamné et fusillé!
Sacrés Marc de Cacqueray-Valmenier, ancien chef du groupuscule dissous Zouaves Paris, et Gabriel Loustau, du GUD, fils d’Axel Loustau, lui-même ancien leader de l’organisation étudiante d’extrême droite connue pour son radicalisme et sa violence.! Toujours dans les mauvais coups
Tu cautionnes pas ces zozos, mon zozo?Au moins deux d’entre eux étaient munis de béquilles, pouvant être considérées comme des armes par destination, a expliqué une source proche du dossier. Certains avaient interdiction de se rendre à Paris, a précisé la même source. Avant d’être interpellés, ces militants avaient aussi été vus à proximité d’une manifestation syndicale contre l’extrême droite qui se déroulait dans la capitale, place de la République, a-t-elle ajouté.
Marc de Caqueray-Valmenier, 24 ans, est actuellement mis en examen et placé sous contrôle judiciaire dans l’affaire de l’agression de militants de SOS Racisme lors d’un meeting d’Eric Zemmour, président du mouvement d’extrême droite Reconquête !, en décembre 2021.
En novembre 2023, treize personnes, dont sept « fichées S » d’ultradroite, avaient déjà été interpellées à Paris pour des tags de croix gammées au sol dans le 18e arrondissement de la capitale. Deux d’entre elles avaient été mises en examen pour apologie publique de crime ou délit, six autres pour refus de remettre aux autorités judiciaires le code de leur téléphone portable.