« C’est vraiment très compliqué » la fin des véhicules thermiques 2035

[Fonck1]

on construit encore des lignes TVG pourtant il est sorti il y a plus de 45 ans.
posez vous les bonnes questions.

Question a se poser en premier:

"la charrue avant les bœufs"

C'est le "mal" français..

Je roule actuellement et c'est systématique la queue devant les chargeurs que ce soit autoroute ou nationale a proximité d'une petite ville...

tu vas quand même pas me dire que tu roules plus de 200 bornes tous les jours.

[Mickey]

on construit encore des lignes TVG pourtant il est sorti il y a plus de 45 ans.
posez vous les bonnes questions.

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"la charrue avant les bœufs"

C'est le "mal" français..

Je roule actuellement et c'est systématique la queue devant les chargeurs que ce soit autoroute ou nationale a proximité d'une petite ville...

Et de voir les bobos gauche caviar se foutre sur la gueule parce que l'autre bobo attend la charge à 100% alors que 80% suffit est assez jouissif pour un spectateur non concerné.

[LOFOTEN]

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"la charrue avant les bœufs"

C'est le "mal" français..

Je roule actuellement et c'est systématique la queue devant les chargeurs que ce soit autoroute ou nationale a proximité d'une petite ville...

tu vas quand même pas me dire que tu roules plus de 200 bornes tous les jours.

Ben non mais je vais souvent en Bretagne (famille) soit prés de 900kms....a Nice aussi et encore plus a Grenoble......(entre autre)

[lepicard]

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"la charrue avant les bœufs"

C'est le "mal" français..

Je roule actuellement et c'est systématique la queue devant les chargeurs que ce soit autoroute ou nationale a proximité d'une petite ville...

tu vas quand même pas me dire que tu roules plus de 200 bornes tous les jours.

ça peut ;;; y'en a qui font 5/600 bornes sans pisser ( c'est pas bon pour les reins)
simple calcul ;; 2/300 bornes = 4heures ,,,, on se demande ce qu'il foutent de leur journée ,,, rien d'étonnant que tout coute cher

[LOFOTEN]

tu vas quand même pas me dire que tu roules plus de 200 bornes tous les jours.

ça peut ;;; y'en a qui font 5/600 bornes sans pisser ( c'est pas bon pour les reins)
simple calcul ;; 2/300 bornes = 4heures ,,,, on se demande ce qu'il foutent de leur journée ,,, rien d'étonnant que tout coute cher

conneries après conneries......rien ne change

[lepicard]

ça peut ;;; y'en a qui font 5/600 bornes sans pisser ( c'est pas bon pour les reins)
simple calcul ;; 2/300 bornes = 4heures ,,,, on se demande ce qu'il foutent de leur journée ,,, rien d'étonnant que tout coute cher

conneries après conneries......rien ne change

ma prose est spécialement adaptée à vos capacités

[mic43121]

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"la charrue avant les bœufs"

C'est le "mal" français..

Je roule actuellement et c'est systématique la queue devant les chargeurs que ce soit autoroute ou nationale a proximité d'une petite ville...

tu vas quand même pas me dire que tu roules plus de 200 bornes tous les jours.

Rien d'extraordinaire ..
Ma petite fille fait 180KM par jour ..

[Fonck1]

tu vas quand même pas me dire que tu roules plus de 200 bornes tous les jours.

Rien d'extraordinaire ..
Ma petite fille fait 180KM par jour ..

elle peut donc avoir une électrique rentrer le soir et recharger pour le lendemain chez elle, ou en bornes, voir même au travail.

[LOFOTEN]

Près de la moitié des propriétaires de véhicules électriques veulent revenir au thermique

Le marché des véhicules électriques, autrefois en pleine expansion, connaît actuellement une phase de stagnation. Une étude de McKinsey & Co. révèle que près de la moitié des propriétaires de véhicules électriques aux États-Unis envisagent de revenir aux voitures thermiques.
EN BREF

Selon McKinsey, 46 % des propriétaires de véhicules électriques aux États-Unis envisagent de revenir aux voitures thermiques, citant le manque d'infrastructure de recharge et le coût élevé.
Les propriétaires de VE signalent des difficultés à trouver des stations de recharge et des coûts de possession élevés, malgré les économies à long terme sur le carburant et l'entretien.
Pour inverser cette tendance, l'industrie doit améliorer l'infrastructure de recharge, réduire les coûts de possession et éduquer les consommateurs sur les avantages des VE.


Selon cette étude de McKinsey, 46 % des propriétaires de véhicules électriques aux États-Unis envisagent de revenir aux voitures thermiques, citant des raisons telles que le manque d'infrastructure de recharge et le coût élevé de possession. Ce phénomène surprenant met en évidence les défis persistants auxquels l'industrie des véhicules électriques est confrontée, malgré les investissements massifs et les progrès technologiques récents. Pour inverser cette tendance, des améliorations sont nécessaires en termes d'accessibilité des bornes de recharge, de réduction des coûts initiaux et d'éducation des consommateurs sur les avantages à long terme des véhicules électriques.

Une proportion élevée de déçus

Selon le Mobility Consumer Pulse de McKinsey pour 2024 que vous pouvez consulter dans son intégralité, 46 % des propriétaires de véhicules électriques américains se disent « très » susceptibles de revenir à un véhicule à essence pour leur prochain achat. Ce chiffre est non seulement surprenant mais aussi préoccupant pour l'industrie automobile, qui a massivement investi dans l'électrification des véhicules ces dernières années. Philipp Kampshoff, chef du McKinsey's Center for Future Mobility, a exprimé sa surprise face à cette tendance, soulignant que l'on pouvait s'attendre à ce que les propriétaires de véhicules électriques restent fidèles à cette technologie.
L'une des principales raisons invoquées pour ce désenchantement est le manque d'infrastructure de recharge disponible. Environ 35 % des répondants ont cité cette carence comme leur principale motivation pour retourner aux véhicules à moteur à combustion interne. De nombreux propriétaires de VE ont signalé des difficultés à trouver des stations de recharge lors de leurs déplacements longue distance, ce qui a souvent entraîné des retards et des désagréments considérables. Cette situation est particulièrement problématique pour les conducteurs qui parcourent régulièrement de longues distances et qui dépendent de la fiabilité et de la rapidité de la recharge pour leur itinéraire.
Le coût total de possession d'un VE est une autre préoccupation majeure pour les consommateurs. Environ 34 % des propriétaires de VE interrogés ont trouvé que les dépenses liées à l'achat, à l'entretien et à la recharge des VE étaient trop élevées par rapport à celles des véhicules thermiques. Bien que les VE offrent des économies sur les coûts de carburant et d'entretien à long terme, le prix d'achat initial et les coûts associés à l'installation de bornes de recharge domestiques peuvent représenter des freins significatifs pour de nombreux consommateurs.

Un contexte mondial contrasté

Cette tendance à vouloir revenir aux véhicules thermiques n'est pas unique aux États-Unis. L'étude de McKinsey a également révélé que dans d'autres pays comme l'Australie, la proportion de propriétaires de VE souhaitant revenir aux véhicules thermiques est même supérieure, atteignant 49 %. En comparaison, la moyenne mondiale est de 29 %, avec des pays comme la Chine (28 %), la France (18 %), l'Allemagne (24 %) et la Norvège (18 %) affichant des chiffres inférieurs mais tout de même préoccupants.
Les résultats de cette étude montrent la nécessité pour l'industrie de s'attaquer à plusieurs problématiques majeures pour améliorer la satisfaction des consommateurs et encourager l'adoption continue des véhicules électriques. Parmi ces défis figurent l’amélioration de l'infrastructure de recharge, la réduction des coûts de possession et les incitations gouvernementales et les innovations technologiques nécessaires pour rendre les VE plus abordables à l'achat et à l'entretien. Cela inclut des initiatives pour réduire le coût des batteries, augmenter leur durée de vie et faciliter l'accès à des options de recharge domestique à moindre coût. Enfin, il serait probablement judicieux d’informer les consommateurs sur les avantages à long terme des VE et sur les progrès réalisés en matière d'infrastructure et de technologies pour aider à atténuer les préoccupations et à encourager une adoption plus large.
En dépit de ces écueils, l'industrie automobile a le potentiel de surmonter ces obstacles et de continuer à croître. Les avancées technologiques et les investissements dans l'infrastructure de recharge, combinés à une prise de conscience accrue des avantages environnementaux des VE, peuvent contribuer à inverser cette tendance et à renforcer la confiance des consommateurs dans les véhicules électriques.

Près de la moitié des propriétaires de véhicules électriques veulent revenir au thermique

Près de la moitié des propriétaires de véhicules électriques veulent revenir au thermique

Selon le Mobility Consumer Pulse de McKinsey pour 2024, 46 % des propriétaires de véhicules électriques américains se disent « très » susceptibles de revenir à un véhicule à essence pour leur prochain achat.

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[Fonck1]

Près de la moitié des propriétaires de véhicules électriques veulent revenir au thermique

Le marché des véhicules électriques, autrefois en pleine expansion, connaît actuellement une phase de stagnation. Une étude de McKinsey & Co. révèle que près de la moitié des propriétaires de véhicules électriques aux États-Unis envisagent de revenir aux voitures thermiques.
EN BREF

Selon McKinsey, 46 % des propriétaires de véhicules électriques aux États-Unis envisagent de revenir aux voitures thermiques, citant le manque d'infrastructure de recharge et le coût élevé.
Les propriétaires de VE signalent des difficultés à trouver des stations de recharge et des coûts de possession élevés, malgré les économies à long terme sur le carburant et l'entretien.
Pour inverser cette tendance, l'industrie doit améliorer l'infrastructure de recharge, réduire les coûts de possession et éduquer les consommateurs sur les avantages des VE.


Selon cette étude de McKinsey, 46 % des propriétaires de véhicules électriques aux États-Unis envisagent de revenir aux voitures thermiques, citant des raisons telles que le manque d'infrastructure de recharge et le coût élevé de possession. Ce phénomène surprenant met en évidence les défis persistants auxquels l'industrie des véhicules électriques est confrontée, malgré les investissements massifs et les progrès technologiques récents. Pour inverser cette tendance, des améliorations sont nécessaires en termes d'accessibilité des bornes de recharge, de réduction des coûts initiaux et d'éducation des consommateurs sur les avantages à long terme des véhicules électriques.

Une proportion élevée de déçus

Selon le Mobility Consumer Pulse de McKinsey pour 2024 que vous pouvez consulter dans son intégralité, 46 % des propriétaires de véhicules électriques américains se disent « très » susceptibles de revenir à un véhicule à essence pour leur prochain achat. Ce chiffre est non seulement surprenant mais aussi préoccupant pour l'industrie automobile, qui a massivement investi dans l'électrification des véhicules ces dernières années. Philipp Kampshoff, chef du McKinsey's Center for Future Mobility, a exprimé sa surprise face à cette tendance, soulignant que l'on pouvait s'attendre à ce que les propriétaires de véhicules électriques restent fidèles à cette technologie.
L'une des principales raisons invoquées pour ce désenchantement est le manque d'infrastructure de recharge disponible. Environ 35 % des répondants ont cité cette carence comme leur principale motivation pour retourner aux véhicules à moteur à combustion interne. De nombreux propriétaires de VE ont signalé des difficultés à trouver des stations de recharge lors de leurs déplacements longue distance, ce qui a souvent entraîné des retards et des désagréments considérables. Cette situation est particulièrement problématique pour les conducteurs qui parcourent régulièrement de longues distances et qui dépendent de la fiabilité et de la rapidité de la recharge pour leur itinéraire.
Le coût total de possession d'un VE est une autre préoccupation majeure pour les consommateurs. Environ 34 % des propriétaires de VE interrogés ont trouvé que les dépenses liées à l'achat, à l'entretien et à la recharge des VE étaient trop élevées par rapport à celles des véhicules thermiques. Bien que les VE offrent des économies sur les coûts de carburant et d'entretien à long terme, le prix d'achat initial et les coûts associés à l'installation de bornes de recharge domestiques peuvent représenter des freins significatifs pour de nombreux consommateurs.

Un contexte mondial contrasté

Cette tendance à vouloir revenir aux véhicules thermiques n'est pas unique aux États-Unis. L'étude de McKinsey a également révélé que dans d'autres pays comme l'Australie, la proportion de propriétaires de VE souhaitant revenir aux véhicules thermiques est même supérieure, atteignant 49 %. En comparaison, la moyenne mondiale est de 29 %, avec des pays comme la Chine (28 %), la France (18 %), l'Allemagne (24 %) et la Norvège (18 %) affichant des chiffres inférieurs mais tout de même préoccupants.
Les résultats de cette étude montrent la nécessité pour l'industrie de s'attaquer à plusieurs problématiques majeures pour améliorer la satisfaction des consommateurs et encourager l'adoption continue des véhicules électriques. Parmi ces défis figurent l’amélioration de l'infrastructure de recharge, la réduction des coûts de possession et les incitations gouvernementales et les innovations technologiques nécessaires pour rendre les VE plus abordables à l'achat et à l'entretien. Cela inclut des initiatives pour réduire le coût des batteries, augmenter leur durée de vie et faciliter l'accès à des options de recharge domestique à moindre coût. Enfin, il serait probablement judicieux d’informer les consommateurs sur les avantages à long terme des VE et sur les progrès réalisés en matière d'infrastructure et de technologies pour aider à atténuer les préoccupations et à encourager une adoption plus large.
En dépit de ces écueils, l'industrie automobile a le potentiel de surmonter ces obstacles et de continuer à croître. Les avancées technologiques et les investissements dans l'infrastructure de recharge, combinés à une prise de conscience accrue des avantages environnementaux des VE, peuvent contribuer à inverser cette tendance et à renforcer la confiance des consommateurs dans les véhicules électriques.

Près de la moitié des propriétaires de véhicules électriques veulent revenir au thermique

Près de la moitié des propriétaires de véhicules électriques veulent revenir au thermique

Selon le Mobility Consumer Pulse de McKinsey pour 2024, 46 % des propriétaires de véhicules électriques américains se disent « très » susceptibles de revenir à un véhicule à essence pour leur prochain achat.

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c'est quand même mieux de mettre des sources.
1. cette étude n'est pas en France, mais aux states.

Selon cette étude de McKinsey, 46 % des propriétaires de véhicules électriques aux États-Unis envisagent de revenir aux voitures thermiques, citant des raisons telles que le manque d'infrastructure de recharge et le coût élevé de possession.

donc ce n'est pas une problème de véhicule, mais de recharge.
quand aux réparations, ils ne sont peut être pas prêts.


les states niveau électrique, c'est loin d'être la france.

[LOFOTEN]

Oubli....

https://www.autoplus.fr/environnement/v ... 36089.html

[LOFOTEN]

Voici la médaille d’or de la marque qui tombe le plus en panne

L’assureur Leocare a établi un classement des marques de voitures qui sont tombées le plus en panne. Et les marques françaises semblent être en première ligne !

À l’heure des grands départs (ou retours) en vacances d’été, on espère qu’une chose quand on prend sa voiture : c’est qu’elle ne tombera pas en panne. Ça gâcherait effectivement un peu la fête. Pourtant, il semblerait que le parc automobile français soit de plus en plus vieux, ce qui le rend aussi de fait de plus en plus vulnérable à d’éventuelles pannes. Ainsi l’Union des assisteurs précise que l’âge moyen de l’ensemble du parc automobile français est de 10,8 ans, et 12,5 ans en ne comptant que les voitures de plus de 4 ans soumises au contrôle technique. Ce qui devrait augmenter encore avec des voitures neuves et d’occasion toujours plus chères. Qui dit parc automobile plus vieux, dit plus de pannes. L'assurance Leocare vient justement de publier une étude déterminant les marques de voitures qui tombent le plus en panne. Mauvaise nouvelle, dans les cinq premières, trois sont françaises !
Le top 10

Avant de donner des noms, précisons que Leocare a relevé, sur un échantillon de près de 10 000 demandes d’assistance auprès de ses services, entre le 1er mars 2023 et le 30 avril 2024, cinq types d’incidents différents : la panne, l’accident, la crevaison, le vandalisme et le vol.

Dans chacun de ces cinq types d’incidents, Renault arrive en première position, juste devant Peugeot. Et pour compléter le podium, on trouve Volkswagen, arrivé troisième là aussi dans toutes les catégories. Pour la suite du Top 10, dans l’ordre, on trouve Mercedes (4), Citroën (5), Audi (6), Ford (7), Opel (8), Fiat (9) et Toyota (10). Mais l’arrivée des marques françaises en tête, sur le marché français, n’est-elle pas tout simplement logique ?
Renault arrive en tête des voitures en panne...

suite:

https://www.automobile-magazine.fr/occa ... s-en-panne

[Fonck1]

oui enfin ça ne concerne pas les véhicules électriques.

[Mickey]

Ce n'est pas une nouveauté, les marques françaises sont les pires en matière de fiabilité.

[Fonck1]

Ce n'est pas une nouveauté, les marques françaises sont les pires en matière de fiabilité.

non c'est les italiennes les pires.
les anglaises (enfin ce qu'il en reste) aussi sont pas mal.
nous avons ( mise à part le récent puretech) souvent de très bons moteurs.
c'est toujours le reste le problème.

mais bon rien à voir avec les voitures électriques.