BenFis a écrit : ↑06 mai 2025 12:08
Le "one pedal driving" est la méthode utilisée par le gouvernement.
On accélère sur les subventions pour les freiner ensuite.
Il semblerait bien que la fameuse transition énergétique qu'on met en place nous coute un pognon de dingue, tellement dingue qu'elle devient impossible à financer.
je me demande combien à couté le passage de la malle poste diligence au chemin de fer ,,, ou le passage de la lampe à pétrole à l'électrification
serions nous moins capables que nos aïeuls ,qui dans le même laps de temps sont parvenus à construire des écoles et financer des guerres ???
Deja, sur ma MG5 sans one pedal, je n'utilise le frein quasi uniquement que pour marquer l'arrêt. Alors j'imagine avec le one pedal, on doit changer les garnitures de freins parce qu'elles sont périmées avant d'être usées...
je crois bien que le one pédal ne prendra pas ,,, personne n'en voudra , c'est un gadget trop destabilisant et certainement pas très sécuritaire
Pas de souci pour Max Verstappen mais s'il s'agit d'un octogénaire avec un début d'Alzheimer et passant des 3 pédales à une seule, on peut légitimement craindre le pire....
BenFis a écrit : ↑06 mai 2025 12:08
Le "one pedal driving" est la méthode utilisée par le gouvernement.
On accélère sur les subventions pour les freiner ensuite.
Il semblerait bien que la fameuse transition énergétique qu'on met en place nous coute un pognon de dingue, tellement dingue qu'elle devient impossible à financer.
je me demande combien à couté le passage de la malle poste diligence au chemin de fer ,,, ou le passage de la lampe à pétrole à l'électrification
serions nous moins capables que nos aïeuls ,qui dans le même laps de temps sont parvenus à construire des écoles et financer des guerres ???
C'est que nous avons de nouveaux paramètres à prendre en compte ; notamment l'environnement, donc le dérèglement est l'aboutissement de toute cette course en avant déjà opérée par nos aïeux.
lepicard a écrit : ↑02 mai 2025 21:55
la première question est ;;; a-t-on besoin ou envie de se déplacer loin => avion ou bateau
plus simplement ,, un sejour aux maldives ou à Bali est il vraiment indispensable pour vivre heureux
La plupart des gens en ont envie et on fait tout pour l'entretenir ; non seulement pour partir dans des îles de rêve, mais pour faire venir des millions de touristes du monde entier dans la capitale.
Selon ChatGPT, mis à part l'épisode du Covid-19, le voyage touristique nécessitant les transports aériens ne fait qu'augmenter d'une année sur l'autre.
Ne parlons même pas du petit voyage touristique de 6 personnes en fusée qui ont utilisé plus de 500000l d'hydogène+oxygène pour parcourir 107 km. (voyage très vertueux en lui-même puisque zéro CO²/passager/km a été produit durant ce vol ).
Donc à partir de là, je ne vois pas pourquoi je m'inquiéterais pour les émission de CO² de ma voiture diesel ?
Parce que :
"l’empreinte carbone des transports se décompose comme suit :
53 % de l'impact serait imputable aux voitures particulières ;
27 % aux poids lourds ;
15 % aux véhicules utilitaires légers (VUL) ;
3 % à l’aérien ;
3 % aux autres modes de transport (deux-roues, ferroviaire et maritime)."
La plupart des gens en ont envie et on fait tout pour l'entretenir ; non seulement pour partir dans des îles de rêve, mais pour faire venir des millions de touristes du monde entier dans la capitale.
Selon ChatGPT, mis à part l'épisode du Covid-19, le voyage touristique nécessitant les transports aériens ne fait qu'augmenter d'une année sur l'autre.
Ne parlons même pas du petit voyage touristique de 6 personnes en fusée qui ont utilisé plus de 500000l d'hydogène+oxygène pour parcourir 107 km. (voyage très vertueux en lui-même puisque zéro CO²/passager/km a été produit durant ce vol ).
Donc à partir de là, je ne vois pas pourquoi je m'inquiéterais pour les émission de CO² de ma voiture diesel ?
Parce que :
"l’empreinte carbone des transports se décompose comme suit :
53 % de l'impact serait imputable aux voitures particulières ;
27 % aux poids lourds ;
15 % aux véhicules utilitaires légers (VUL) ;
3 % à l’aérien ;
3 % aux autres modes de transport (deux-roues, ferroviaire et maritime)."
Ce sont des moyennes qui n'intègrent pas le déficit carbone indirect impacté notamment par la déforestation que génère la construction automobile, ni les autres postes de pollution comme par ex. le secteur du tourisme qui selon l'ADEME, a généré 97 millions de tonnes de CO₂ en France en 2022 (11 % des émissions nationales de gaz à effet de serre).
Mais ces moyennes sont certainement utiles aux gouvernements pour prendre leurs décisions de passer des VT aux VE.
Je reste persuadé que cela ne changera pas grand chose au final et que si nous voudrions vraiment réduire la pollution humaine, c'est sur la décroissance qu'il faudrait miser, notamment démographique. Ce qui n'est guère possible dans un monde capitaliste basé sur une croissance sans fin.
).