Mesoke a écrit : ↑21 juin 2025 23:58
Globalement je pense que vu que ça fait vingt ans que les médias de droite libérale ont pris le pouvoir médiatique en serinant à tour de JT qu'il y a trop d'assistés et qu'on paye trop d'impôts, bah les gens le croient bêtement. C'est de la fabrique de l'opinion, de la propagande, pas une réalité basée sur des données comprises par les gens. Et là ils ont trouvé un moyen "fun" de diffuser leur propagande avec un mème, ils vont en profiter, forcément.
Ben vous avez toujours le même problème avec la réalité. Nous sommes l'un des pays ou les prélèvements fiscaux sont les plus hauts du monde et vous êtes la à nous expliquer que les gens le croient "bêtement". Et cela ferait partie de la fabrique du mensonge des médias de monsieur Bolloré.
Ben non, c'est vous qui bêtement nous sortez des âneries, si les citoyens en sont arrivés à penser que nous payons trop d'impôts c'est juste que contrairement à vous ils ont un regard lucide sur la réalité, nous sommes bel et bien l'un des pays les plus taxés au monde.
a quoi donc vous sert votre intelligence si c'est comme toujours pour nier la réalité des choses.
60% de français ne paient pas l'impôt sur le revenu. La taxe d'habitation a été supprimée, ainsi que celle sur l'audiovisuel.
Pourtant, cela ne suffit pas. Les français ne veulent plus payer d'impôts et profiter des services publics financés par.... les impôts. Dans la vie, faut savoir ce que l'on veut.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
Ceux qui ont des raisons d'être en colère à propos des impôts sont ceux qui en paient premièrement.
Et ils sont moins nombreux que ceux qui n'en paient guère. Le jeune urbain qui n'a pas de voiture et n'est pas propriétaire ne paie plus de taxe d'habitation, il ne paie pas de taxe foncière, il paie peut-être un peu d'IR, et il paie la TVA sur sa consommation ordinaire ou extraordinaire, et la taxe sur l'électricité. Pas un drame.
Le drame du jeune urbain parisien est qu'il ne peut plus guère acheter à Paris, et que le loyer est très élevé.
Et vous...vous préférez l'habitat urbain ou l'habitat rural ?
J'ai les moyens de payer les deux *****modéré - je vous rappelle que la cordialité est indispensable sur le forum.
“Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu'ils en chérissent les causes." Jacques-Bénigne Bossuet.
Le débat économique autour de l’immigration oppose deux lectures. D’un côté, le think tank Terra Nova estime que l’immigration est nécessaire pour compenser le vieillissement démographique et soutenir les secteurs en tension. De l’autre, l’Observatoire de l’immigration et de la démographie (OID) affirme que l’immigration aggrave les déséquilibres budgétaires et affaiblit la productivité globale. Que faut-il en penser ?
Sur la base des données de l’OCDE pour la période 2006-2018, l’économiste Sylvain Catherine a comparé le coût et la contribution des immigrés et des natifs aux finances publiques. Son constat est très net: l’immigré moyen coûte, certes, 6 % de moins que le natif moyen (ratio de 0,94), mais il coûte presque le double dans des postes de dépenses comme le logement et 30 % de plus en politique familiale et en assurance chômage. Lorsque l’on regarde de près le tableau de l’OCDE, on se rend compte effectivement que le ratio est égal ou supérieur à 1 pour quatre types de dépenses : maladie / invalidité (1), politique familiale (1,35), chômage (1,29), logement (1,81). En revanche, il est de 0,94 pour la santé, 0,29 pour l’éducation, 0,88 pour la retraite. Pour l’économiste, cela s’explique par le fait qu’un immigré « a très peu de chance d’être en âge d’aller à l’école, et un peu moins de chance d’être déjà à la retraite ».
Sylvain Catherine remarque toutefois que si l’immigré moyen coûte « un peu moins », il contribue aussi « nettement moins » : 12 % en prélèvements obligatoires en moins par rapport à un natif. Il se fonde cette fois-ci sur un autre tableau de l’OCDE qui montre les recettes relatives par habitant dans le budget de l’État. De manière générale, le ratio entre un immigré et un natif est bien de 0,88. On peut lire, dans le détail, que l’immigré moyen paie 10 % de taxes indirectes en moins que le natif ; 1 % de taxes sur le capital en moins ; 7 % de contributions sociales employeur en moins et 21 % de taxes et de contributions sociales sur le logement en moins.
Ce n’est pas tout. L’OCDE permet aussi d’évaluer la contribution fiscale nette d’un immigré par rapport à un natif, c’est-à-dire la différence entre ce qu’il coûte et ce qu’il rapporte à l’État. Elle est de -0,85 pour un immigré et de -3,25 pour un natif. Sylvain Catherine utilise ces chiffres pour quantifier la part du déficit public attribuable à la population immigrée. Il en déduit qu’elle est disproportionnée par rapport à leur poids dans la population générale : elle explique 20 % du déficit public (0,85 / (0,85 + 3,25) = 20 %), alors qu’elle représente environ 10 % de la population totale.
Contrairement à ce qu’affirme Terra Nova, on ne peut pas vraiment dire que l’immigration soit une chance pour nos finances publiques. Oui, certains flux migratoires répondent à des besoins économiques ponctuels. Le problème est que l’État accorde presque autant de droits, d’avantages et d’aides sociales aux immigrés qu’aux natifs. Il alimente ainsi des comportements opportunistes, voire parasitaires, même s’il existe évidemment autant de situations différentes qu’il y a d’individus. Quant à la question démographique, elle va de pair avec une politique d’assimilation, à la manière de pays comme la Suisse. Or, l’État-providence à la française est un véritable obstacle.
Elodie MESSEANT
"Qui cherche la vérité doit-être prêt à l'inattendu" Héraclite d'Ephèse.
Agnostirex a écrit : ↑23 juin 2025 12:46
Il faut savoir entendre la colère qui commence à monter ! Quand la pression fiscale sur certains devient trop lourde, il est sain qu'ils le fassent savoir avant toute "explosion"... Aux élus de l'entendre...
Ceux qui ont des raisons d'être en colère à propos des impôts sont ceux qui en paient premièrement.
Et ils sont moins nombreux que ceux qui n'en paient guère. Le jeune urbain qui n'a pas de voiture et n'est pas propriétaire ne paie plus de taxe d'habitation, il ne paie pas de taxe foncière, il paie peut-être un peu d'IR, et il paie la TVA sur sa consommation ordinaire ou extraordinaire, et la taxe sur l'électricité. Pas un drame.
Le drame du jeune urbain parisien est qu'il ne peut plus guère acheter à Paris, et que le loyer est très élevé.
Les salaires de la région parisien parisienne sont proportionnels au cout de la vie à paris
Des logements se vendent en région parisienne et donc s'achètent
Il n'y a que la surface de logements qui changent par le cout au m² https://france-inflation.com/carte_prix ... par_m2.php
Il y a des coût au m² ailleurs qu'à paris qui sont bien plus élevés
Essayez d"acheter un bien dans un trou perdu comme GORDES https://www.rosier.pro/proprietes-a-la-vente-w10.html
Ce don à la Société des transports de Tunis agace certains internautes, qui reprennent l’expression «C’est Nicolas qui paie», en vogue sur internet pour désigner les contribuables qui paient, par leurs impôts, toutes les dépenses des pouvoirs publics. La Région et IDFM, de leur côté, balayent une «polémique sans objet».
Des bus franciliens en Tunisie. Le pays a réceptionné cette semaine la deuxième et dernière tranche des 165 bus offerts par Île-de-France Mobilités (IDFM) et la RATP. Elle comprend 85 bus reconditionnés, après une première livraison de 80 bus en avril dernier. Ces véhicules «ont servi au transport des athlètes handisport dans le cadre des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024», précise la direction générale du Trésor dans une brève économique publiée vendredi.
Ces bus sont «accessibles aux personnes à mobilité réduite, et qui ont été équipés pour transporter les para-athlètes de Paris 2024», note ainsi l’ambassade de France en Tunisie sur son compte X. Ces véhicules, «à moteur thermique à basses émissions», sont en effet «équipés de rampes automatiques pour les personnes à mobilité réduite», précise Bercy, de même que d’un système de ventilation, de climatisation, de caméras de surveillance et d’une transmission automatique. «Fabriqués essentiellement en France», affirme l’ambassade, ces bus «seront progressivement mis en circulation sur le Grand Tunis».
«C’est Nicolas qui paie»
Ce don d’IDFM et la RATP à la Société des transports de Tunis (Transtu) s’inscrit dans le cadre d’un accord de coopération entre la région Île-de-France et la Tunisie, «en faveur d’une mobilité durable et inclusive». Sauf que ce cadeau ne passe pas auprès de certains internautes. «C’est Nicolas qui paie», peut-on lire sous les posts sur les réseaux sociaux annonçant ce don, reprenant cette nouvelle expression en vogue sur internet pour désigner, de façon ironique, les contribuables qui paient, par leurs impôts, toutes les dépenses, même les plus fantaisistes, des pouvoirs publics.
Ce que la Région et Île-de-France Mobilités démentent auprès du Figaro : «La Tunisie a acheté 600 bus d’occasion à la RATP qui étaient en circulation pour un montant de six millions d’euros en 2024. Cet achat était accompagné d’un don de 165 bus (...) qui avaient plus de quinze ans d’âge et qui ne pouvaient plus être mis en circulation. Leur acheminement a été payé par la Tunisie.» Et de balayer une «polémique est sans objet, car il s’agit d’une opération de bonne gestion du parc de bus car les recycler aurait coûté plus cher».
Plusieurs dons de bus par des villes françaises à des pays étrangers
En parallèle, la Société des transports de Tunis a réceptionné il y a quelques jours 111 bus neufs chinois - sur une commande totale de 300 bus -, cette fois-ci dans le cadre d’un contrat d’achat.
Ce n’est pas la première fois que la France fait don de bus à des pays étrangers. En mai 2022, une flotte de 50 autobus a été offerte par la France au Liban, pour faire «face à la grave crise que traverse le Liban qui affecte durement la capacité des Libanais à se déplacer», expliquait à l’époque le Trésor français. En avril dernier, la ville de Reims (Marne) a fait don de trois bus de son réseau à la ville de Tchernihiv, en Ukraine, avec laquelle la cité du champagne est jumelée, et dont «une partie du parc de transport urbain a été détruite par le conflit» avec Moscou, rapportait l’exploitant Transdev.
Voilà qui donne du grain à moudre à Nicolas. Lamentable, bien des villes et agglomérations françaises auraient aimé recevoir un tel cadeau !
“Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu'ils en chérissent les causes." Jacques-Bénigne Bossuet.
Ce don à la Société des transports de Tunis agace certains internautes, qui reprennent l’expression «C’est Nicolas qui paie», en vogue sur internet pour désigner les contribuables qui paient, par leurs impôts, toutes les dépenses des pouvoirs publics. La Région et IDFM, de leur côté, balayent une «polémique sans objet».
Des bus franciliens en Tunisie. Le pays a réceptionné cette semaine la deuxième et dernière tranche des 165 bus offerts par Île-de-France Mobilités (IDFM) et la RATP. Elle comprend 85 bus reconditionnés, après une première livraison de 80 bus en avril dernier. Ces véhicules «ont servi au transport des athlètes handisport dans le cadre des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024», précise la direction générale du Trésor dans une brève économique publiée vendredi.
Ces bus sont «accessibles aux personnes à mobilité réduite, et qui ont été équipés pour transporter les para-athlètes de Paris 2024», note ainsi l’ambassade de France en Tunisie sur son compte X. Ces véhicules, «à moteur thermique à basses émissions», sont en effet «équipés de rampes automatiques pour les personnes à mobilité réduite», précise Bercy, de même que d’un système de ventilation, de climatisation, de caméras de surveillance et d’une transmission automatique. «Fabriqués essentiellement en France», affirme l’ambassade, ces bus «seront progressivement mis en circulation sur le Grand Tunis».
«C’est Nicolas qui paie»
Ce don d’IDFM et la RATP à la Société des transports de Tunis (Transtu) s’inscrit dans le cadre d’un accord de coopération entre la région Île-de-France et la Tunisie, «en faveur d’une mobilité durable et inclusive». Sauf que ce cadeau ne passe pas auprès de certains internautes. «C’est Nicolas qui paie», peut-on lire sous les posts sur les réseaux sociaux annonçant ce don, reprenant cette nouvelle expression en vogue sur internet pour désigner, de façon ironique, les contribuables qui paient, par leurs impôts, toutes les dépenses, même les plus fantaisistes, des pouvoirs publics.
Ce que la Région et Île-de-France Mobilités démentent auprès du Figaro : «La Tunisie a acheté 600 bus d’occasion à la RATP qui étaient en circulation pour un montant de six millions d’euros en 2024. Cet achat était accompagné d’un don de 165 bus (...) qui avaient plus de quinze ans d’âge et qui ne pouvaient plus être mis en circulation. Leur acheminement a été payé par la Tunisie.» Et de balayer une «polémique est sans objet, car il s’agit d’une opération de bonne gestion du parc de bus car les recycler aurait coûté plus cher».
Plusieurs dons de bus par des villes françaises à des pays étrangers
En parallèle, la Société des transports de Tunis a réceptionné il y a quelques jours 111 bus neufs chinois - sur une commande totale de 300 bus -, cette fois-ci dans le cadre d’un contrat d’achat.
Ce n’est pas la première fois que la France fait don de bus à des pays étrangers. En mai 2022, une flotte de 50 autobus a été offerte par la France au Liban, pour faire «face à la grave crise que traverse le Liban qui affecte durement la capacité des Libanais à se déplacer», expliquait à l’époque le Trésor français. En avril dernier, la ville de Reims (Marne) a fait don de trois bus de son réseau à la ville de Tchernihiv, en Ukraine, avec laquelle la cité du champagne est jumelée, et dont «une partie du parc de transport urbain a été détruite par le conflit» avec Moscou, rapportait l’exploitant Transdev.
Voilà qui donne du grain à moudre à Nicolas. Lamentable, bien des villes et agglomérations françaises auraient aimé recevoir un tel cadeau !
Il s'agit d'un très beau geste. Au lieu de voir leur vieux bus partir à la ferraille, ces derniers retrouveront une seconde vie en Turquie.
Les régies de transport ne sont pas en manque de véhicules, mais de chauffeurs pour les conduire.
Il s'agit d'une solidarité envers les pays pauvres ou en guerre. La solidarité n'a pas de frontière. Je dis bravo à tous ces transporteurs.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
Ce n'est pas en Turquie, mais en Tunisie qui est un pays ami.
C'est inadmissible, le contribuable est spolié, les bus auraient du être vendus aux enchères dans l'intérêt du contribuable, c'est à dire tous et toutes. C'est même du vol.
“Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu'ils en chérissent les causes." Jacques-Bénigne Bossuet.
Ceux qui ont des raisons d'être en colère à propos des impôts sont ceux qui en paient premièrement.
Et ils sont moins nombreux que ceux qui n'en paient guère. Le jeune urbain qui n'a pas de voiture et n'est pas propriétaire ne paie plus de taxe d'habitation, il ne paie pas de taxe foncière, il paie peut-être un peu d'IR, et il paie la TVA sur sa consommation ordinaire ou extraordinaire, et la taxe sur l'électricité. Pas un drame.
Le drame du jeune urbain parisien est qu'il ne peut plus guère acheter à Paris, et que le loyer est très élevé.
Et vous...vous préférez l'habitat urbain ou l'habitat rural ?
LeGrandNoir a écrit : ↑30 juin 2025 14:03
Ce n'est pas en Turquie, mais en Tunisie qui est un pays ami.
C'est inadmissible, le contribuable est spolié, les bus auraient du être vendus aux enchères dans l'intérêt du contribuable, c'est à dire tous et toutes. C'est même du vol.
Ce n'est pas le contribuable qui paie. Ces sociétés de transports vivent grâce aux nombres de lignes ouvertes et donc aux abonnements, à la vente de tickets, etc. Tu paies que si tu prends le bus. Le contribuable n'investit rien là-dedans à moins que vous me fournissiez une preuve du contraire.
Ces régies ne font que respecter la loi. Ces véhicules, trop vieux pour nous, auront le mérite de trouver une nouvelle vie ailleurs, dans un autre pays.
La solidarité n'a pas de frontière, aider les pays les plus pauvres est un acte à saluer et non à réprimer.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
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Fonck1 a écrit : ↑30 juin 2025 15:48
ya qua faire payer les riches qui sont exonérés de taxes tous azimuts.
Moi je dis qu'il faut faire payer à bloc les fonx !
Déjà qu'ils nous coûtent un bras ! faut leur mettre un impôt à 85% de leur revenu (non justifié) et les retraites des fonx, il faut les taxer à 95 % !
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
J'observe plusieurs choses :
D'abord, dans le texte cité par LeGrandNoir lui-même, ce passage qu'il a peut-être pas lu lui-même :
«La Tunisie a acheté 600 bus d’occasion à la RATP qui étaient en circulation pour un montant de six millions d’euros en 2024. Cet achat était accompagné d’un don de 165 bus (...) qui avaient plus de quinze ans d’âge et qui ne pouvaient plus être mis en circulation. Leur acheminement a été payé par la Tunisie.» Et de balayer une «polémique est sans objet, car il s’agit d’une opération de bonne gestion du parc de bus car les recycler aurait coûté plus cher».
Puis, en chechant sur Qwant "don de bus Tunisie" ça donne surtout des liens vers la presse de droite/extrême droite. On voit que les algorithmes fonctionnent bien chez X et google et compagnie : servir la même soupe, des mêmes gamelles, qu'on vous a déjà servi avant.
Les français qui bossent et paient des impôts commencent à en avoir plus que marre de payer pour financer toutes les glandouilles, les assistés et autres immigrés venus en France pour faire un max de mômes et toucher les allocs.
La mayonnaise est en train de prendre et un candidat et un parti qui proposera de mettre fin à cette exploitation des français honnêtes et travailleurs pourraient très bien gagner les futures élections.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville