Ça on le saura après, leur rencontre n'a pas concerné l'Ukraine, mais plutôt des enjeux financiers.
A savoir que Trump lors de son premier mandat, n'a jamais rien lâcher face aux russes.
Ça on le saura après, leur rencontre n'a pas concerné l'Ukraine, mais plutôt des enjeux financiers.
Non, la réunion a été écourtée et les enjeux économiques n'ont pas été abordés.
Ben c'est surtout la réalité qui dit Amen. Mais tu peux toujours prendre ta poubelle électrique et aller jusqu'en Ukraine prendre quelques bombes sur la tête histoire de faire quelque chose. N'oublies pas d'emmener avec toi le tartarin du piémont, depuis le temps que ce ventre mou nous bassine avec sa bravoure toute guerrière. Avec deux braves comme vous l'armée russe devrait reculer au moins jusqu'à Moscou.lepicard a écrit : ↑22 août 2025 17:25ok , donc on dit Amen et on joue la montre ,,,,, dès fois que ça se tasseraigare au gorille a écrit : ↑22 août 2025 16:36
Ben le problème c'est que vous ne savez pas ce qu'est une négociation. Dans toutes négociations il y a celui qui est en position de force et celui qui a besoin de négocier pour éviter le pire. Je n'ai jamais approuvé aucune exigence russe, mais contrairement à votre naïveté je sais qu'une négociation n'est pas une cours de justice ou sortira l'équité, une négociation c'est simplement la recherche d'un accord et cet accord il faut aller le chercher chez Poutine. Pas d'accord signifie la continuation de la boucherie et contrairement à votre analyse une usure de plus en plus dramatique des forces ukrainiennes. Pour l'heure Poutine n'a aucune force internationale en face de lui pour lui barrer la route et pour l'heure aucune nation européenne n'est prête au sacrifice, pas même la France malgré les fanfaronnades de son président.
Comme madame Méloni je pense qu'un mauvais accord impliquant des concessions serait ce qu'il peut arriver de mieux pout cesser le carnage et laisser à quelques pays décidés le temps de se mettre en ordre de marche pour parer à de nouvelles intentions belliqueuses russes sur l'Ukraine.![]()
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Merci de t'occuper de tes très petites affaires, et de poster des choses ...qui ne soient pas des attaques personnelles censurées par la modo.mic43121 a écrit : ↑23 août 2025 09:43 On sent ta colèrepas l'odeur ..ce que tu écris ..
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Pour traiter de roquet une personne qui n'a pas le même avis que toi ..
Je croyais que l'insulte était interdite ..
Tu as le droit d'aimer l'Ukraine ..de la défendre de te mettre en colère ..
Mais reste poli ...
DANS TOUS LES TRUCS QUI VONT SUIVRE ce ne sera pas la faute de GaG ..
Ni la tienne ...NOUS on COMMENTE ...d'autres COMMANDENT ...
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Non justement, je sais bien ce qu'est une négociation et ce qu'elle n'est pas.gare au gorille a écrit : ↑22 août 2025 16:36Ben le problème c'est que vous ne savez pas ce qu'est une négociation. Dans toutes négociations il y a celui qui est en position de force et celui qui a besoin de négocier pour éviter le pire. Je n'ai jamais approuvé aucune exigence russe, mais contrairement à votre naïveté je sais qu'une négociation n'est pas une cours de justice ou sortira l'équité, une négociation c'est simplement la recherche d'un accord et cet accord il faut aller le chercher chez Poutine. Pas d'accord signifie la continuation de la boucherie et contrairement à votre analyse une usure de plus en plus dramatique des forces ukrainiennes. Pour l'heure Poutine n'a aucune force internationale en face de lui pour lui barrer la route et pour l'heure aucune nation européenne n'est prête au sacrifice, pas même la France malgré les fanfaronnades de son président.
Comme madame Méloni je pense qu'un mauvais accord impliquant des concessions serait ce qu'il peut arriver de mieux pout cesser le carnage et laisser à quelques pays décidés le temps de se mettre en ordre de marche pour parer à de nouvelles intentions belliqueuses russes sur l'Ukraine.
merci pour cette réponse d'acculé rétrograde et.... sponsorisé ,,, ça démontre encore que votre fourvoiement vous condamne à lui lécher les bottesgare au gorille a écrit : ↑23 août 2025 01:59Ben c'est surtout la réalité qui dit Amen. Mais tu peux toujours prendre ta poubelle électrique et aller jusqu'en Ukraine prendre quelques bombes sur la tête histoire de faire quelque chose. N'oublies pas d'emmener avec toi le tartarin du piémont, depuis le temps que ce ventre mou nous bassine avec sa bravoure toute guerrière. Avec deux braves comme vous l'armée russe devrait reculer au moins jusqu'à Moscou.
En gros tout ce qui vous manque. Il ne vous reste que la vantardise, la contemplation de votre petit nombril et la couardise ordinaire de ceux qui vivent l'héroïsme par procuration bien à l'abri derrière leur clavier.
Yaroslav a écrit : ↑23 août 2025 12:27Non justement, je sais bien ce qu'est une négociation et ce qu'elle n'est pas.gare au gorille a écrit : ↑22 août 2025 16:36Ben le problème c'est que vous ne savez pas ce qu'est une négociation. Dans toutes négociations il y a celui qui est en position de force et celui qui a besoin de négocier pour éviter le pire. Je n'ai jamais approuvé aucune exigence russe, mais contrairement à votre naïveté je sais qu'une négociation n'est pas une cours de justice ou sortira l'équité, une négociation c'est simplement la recherche d'un accord et cet accord il faut aller le chercher chez Poutine. Pas d'accord signifie la continuation de la boucherie et contrairement à votre analyse une usure de plus en plus dramatique des forces ukrainiennes. Pour l'heure Poutine n'a aucune force internationale en face de lui pour lui barrer la route et pour l'heure aucune nation européenne n'est prête au sacrifice, pas même la France malgré les fanfaronnades de son président.
Comme madame Méloni je pense qu'un mauvais accord impliquant des concessions serait ce qu'il peut arriver de mieux pout cesser le carnage et laisser à quelques pays décidés le temps de se mettre en ordre de marche pour parer à de nouvelles intentions belliqueuses russes sur l'Ukraine.
Vous ne proposez pas de négocier avec les Russes.
Ce que vous proposez, c'est de laisser les Russes présenter leurs exigences et de leur dire simplement "OK".
OK à tout ce que réclament les Russes et sans rien demander en échange.
Cela n'a jamais constitué une négociation qui implique que les 2 parties réclament des choses dans leur intérêt (sinon il n'y a rien à négocier).
En réalité, c'est donc vous qui ne savez pas ce qu'est une négociation (ou plutôt, vous faites semblant, comme à votre habitude).
Vous continuez à faire semblant de ne pas comprendre.gare au gorille a écrit : ↑23 août 2025 16:37Mais quand comprendrez vous qu'une négociation n'est pas un acte de justice ni la recherche de l'équité.
En échange de concessions par l'Ukraine ce qui est demandé aux Russes qui sont en position de force c'est l'arrêt des combats, et le renoncement à la conquête.
Après vous pouvez toujours demander tout ce que vous voulez mais vous n'obtiendrez jamais rien, Poutine est en position de force et ne cédera rien. Dire cela n'est en rien être dans le camp russe, je n'ai rien à faire de la Russie, il s'agit simplement de la réalité des choses.
La négociation n'est pas un arbitrage, il n'y a pas un jury qui viendrait dire le droit de chacun et surtout il n'y a aucune force internationale qui est prête à s'engager militairement pour faire entendre raison à Poutine et rétablir la justice dans ce conflit.
Des milliers d'hommes laissent chaque semaine leur vie en ce moment, l'urgence logique me semble d'obtenir l'arrêt des combats et madame Méloni a raison de vouloir mettre sur pied une coalition militaire hors cadre de l'U.E. de quelques pays volontaires pour voler au secours de l'Ukraine si Poutine remettait le couvert. Mais cela prendra du temps, l'urgence est dans la négociation pour essayer d'obtenir l'arrêt des combats, même si elle ne peut passer que par des concessions à Poutine et même si elle n'a que très peu de chances d'aboutir.
le pire , c'est que l'idiot du kremlin se prive de mâle reproducteurs => d'ici 20 ans son pays est mort (c'est déja un peu le cas)Corvo a écrit : ↑23 août 2025 21:12 "Les Russes s'en foutent, de leurs hommes" : dans le Donbass, la Russie grignote quelques kilomètres carrés au prix de lourdes pertes
Dans cette région de l'est de l'Ukraine, l'armée russe conquiert régulièrement de nouveaux villages grâce à l'envoi de petits groupes de soldats, mais accumule les morts et les blessés. Et ne fait rien pour les récupérer, selon les militaires ukrainiens mobilisés sur le front.
Moscou en a fait sa priorité : conquérir le Donbass. Et malgré les discours affichés autour de sa volonté de conclure un accord de paix, la Russie poursuit son offensive dans cette région de l'est de l'Ukraine. Vendredi 22 août, elle a d'ailleurs revendiqué la prise de trois nouveaux villages. Quelques kilomètres carrés grignotés au prix de nombreux morts et blessés, puisque dans les rangs de l'armée russe, la vie d'un soldat importe peu. C'est en tout cas ce que constatent les militaires ukrainiens qui les combattent au quotidien sur le front.
Severin nous reçoit dans une cave d'un immeuble de Kramatorsk. Ce jeune chef d'unité ukrainien s'assoit sur un banc, et rapidement il le reconnaît, oui les Russes avancent actuellement sur le front, mais au prix de "pertes beaucoup plus importantes que les nôtres, note-t-il. Les Russes peuvent arriver par vagues : trois soldats s'approchent, on les tue. Une demi-heure après, cinq soldats de plus, on les tue. Ils envoient des hommes, des hommes, encore des hommes."
Saturer le champ de bataille de petits groupes de soldats, voilà la nouvelle stratégie très coûteuse en vies humaines de l'état-major russe. "Ce qui me frappe le plus, c'est leur indifférence absolue envers leurs soldats, relève-t-il. Par exemple, ils envoient trois de leurs fantassins vers nos positions, avec une seule arme automatique, deux chargeurs pleins, un vide, et un paquet de clopes. Les mecs s'approchent et on les tue. Les Russes s'en foutent, de leurs hommes."
"On n'abandonne pas les nôtres"
Severin éprouverait presque de la pitié pour ces soldats russes envoyés en première ligne, souvent mal formés, mal équipés, et finalement abandonnés sur le champ de bataille par leurs camarades. "Je ne les ai jamais vus récupérer ni leurs blessés, ni leurs morts, même quand ils le pouvaient", affirme-t-il.
"Quand un de leurs blessés graves se vide de son sang, ils s'approchent simplement pour lui faire une sorte de piqûre d'adrénaline et c'est tout."
Severin, soldat ukrainien à franceinfo
"Je ne les ai jamais vus s'occuper l'un de l'autre, contrairement à nous, affirme Severin. Par exemple, une fois, on combattait des militaires russes professionnels, c'était très dur, on avait beaucoup de nos fantassins blessés. Et durant ces quatre jours sur les positions, à deux, on a réussi à ramener 12 de nos blessés. Nous, on n'abandonne pas les nôtres."
Peu importe la manière : pour Moscou l'essentiel est de gagner du terrain. Depuis le début de la guerre, la Russie a perdu deux à trois fois plus de soldats que l'Ukraine.
https://www.franceinfo.fr/monde/europe/ ... =DM1137678