Le Canon français dans le viseur de la gauche

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lepicard
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Re: Le Canon français dans le viseur de la gauche

Message par lepicard »

jeandu53 a écrit : 03 novembre 2025 09:01
lepicard a écrit : 02 novembre 2025 11:10
mais voyons , il 'est hors de question de les interdire ,,, mais de simplement pointer du doigt un procédé de galvanisation ,, voire de recrutement
sans être devin , on peut considérer que si au sortir du "banquet" on peut être gonflé à bloc .... mais , qu' au bout de 8 jours le soufflet retombe
Mais il faut lire : ils demandent bel et bien l'interdiction de ce banquet.
certes ,,,, moi j'ai demandé 1 million au père Noel :siffle:
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Re: Le Canon français dans le viseur de la gauche

Message par lepicard »

Patchouli38 a écrit : 03 novembre 2025 09:04
jeandu53 a écrit : 03 novembre 2025 09:01

Mais il faut lire : ils demandent bel et bien l'interdiction de ce banquet.
Je doute que les juges iront dans leur sens, il faut vraiment avoir une raison réelle et sérieuse pour que ce banquet soit interdit. Argumenter le fait que c'est d'extrême-droite ne suffira pas à l'interdire. Le Canon français ne fait rien de répréhensible (aucune allusion raciste, rien de tel) et chacun est libre d'y aller ou non. Nous sommes dans une démocratie.
évidemment ,,,, alors en faire un patacaisse ,, c'est du flan
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jeandu53
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Re: Le Canon français dans le viseur de la gauche

Message par jeandu53 »

Même le très politiquement correct Ouest-France n'a rien trouvé à y redire :

https://www.ouest-france.fr/bretagne/vi ... f7e1e0743d
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Yaroslav
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Re: Le Canon français dans le viseur de la gauche

Message par Yaroslav »

Même si personne n'est dupe quant aux intentions de Stérin qui finance en partie ces événements, je crois qu'il n'y a pas grand monde qui ait quelque chose à dire sur le déroulement de ces banquets. Le peu d'élus qui s'activent pour les interdire fond une grosse erreur sur la forme comme sur le fond.
«Il n'y a rien de plus terrible qu'un pouvoir illimité dans les mains d'un être borné.» Vassyl Symonenko (1935-1963)
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Re: Le Canon français dans le viseur de la gauche

Message par vivarais »

Yaroslav a écrit : 10 novembre 2025 13:39 Même si personne n'est dupe quant aux intentions de Stérin qui finance en partie ces événements, je crois qu'il n'y a pas grand monde qui ait quelque chose à dire sur le déroulement de ces banquets. Le peu d'élus qui s'activent pour les interdire fond une grosse erreur sur la forme comme sur le fond.
Et les fêtes de l'huma quel en est le but
Vous croyez que ceux qui y vont pour le caractère festif s'en soucient
Ils écoutent les artistes se produire , ils dansent et mangent de merguez et boivent de la bière (seule boisson autorisée en l'absence de licence IV
La seule différence c'est que dans les gueuletons de Canon ; il n'y a pas de discours militantismes sur ce qui est attribué à l'extrême droite comme crédo
On mange , on boit avec une modération imposée , on chante ; on rit et on dance
Qui est l'organisateur les convive s'en tapent , ils sont venus entre amis et voisins pour passer un bon moment ensemble tout simplement
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Corvo
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Cochon, Sardou et fachos en chemise à fleurs : le « banquet breton » comme si vous y étiez

Message par Corvo »

Cochon qui s'en dédit🐖🐷🐽

Il est presque midi, ce samedi 8 novembre. Dans la file d’attente pour pénétrer dans le château de Blossac à Goven (Ille-et-Vilaine), les sourires sont de mise. L’ambiance est bon enfant, ça rigole entre copains venus festoyer au « banquet breton » organisé par le Canon français, entreprise événementielle qui se vante de « faire vivre la convivialité et le terroir [avec] des banquets géants dans des lieux d’exception partout en France ». Vaste programme.

Dans la queue à côté de moi, une bande de trentenaires coiffés de bérets remarque les deux agents de sécurité qui effectuent une première vérification des billets à l’entrée du château :

« Ils sont là pour quoi tu crois ?

- Pour virer les gauchistes de merde [rires].

- Pas dur de les reconnaître avec les cheveux bleus.

- Ou rose aussi.

- Et avec leurs cerceaux dans le nez ! [rires] »

On passe le contrôle, en route pour la convivialité donc.

Dans la cour du château de Blossac, ils sont plusieurs centaines de « canonniers ». Une très grande majorité d’hommes, essentiellement dans la tranche 25-40 ans. Beaucoup de groupes de potes, avec des dress codes divers mais pas très variés : chemises à carreaux et pantalons à bretelles ici, jeans et marinières là, chemises à fleurs là-bas, bérets un peu partout. Quelques familles, très peu d’enfants, une relative diversité sociale mais tout le monde est blanc.

On est accueillis avec un collier de fleurs en tissu, une écocup siglée le Canon français et cinq petits jetons en plastique à échanger contre des boissons au bar. En plus du vin servi généreusement à table (deux bouteilles pour huit avec l’entrée, deux autres bouteilles avec le plat, une bouteille avec le dessert, et d’autres qui circulent d’une table à l’autre pour les plus assoiffés), chacun pourra donc compléter avec cinq verres (33cl) de bière ou de cidre. Ou avec des softs, il y en a aussi mais de ce que l’on a vu ils ne rencontrent pas un franc succès.

Sous un grand chapiteau monté pour l’occasion, des immenses tablées nous attendent. Tout cela est très bien organisé, avec une équipe de placeurs qui remplit les tables au fur et à mesure. La mécanique est huilée, et les 800 « canonniers » sont installés en une trentaine de minutes. En ce qui me concerne, je suis visiblement l’un des rares à être venu seul et j’ai essayé de prévoir une histoire à peu près crédible : un ami devait me rejoindre depuis Paris mais son train a été annulé, il va peut-être arriver plus tard, pas de problème installez-vous on garde une place vide pour lui.

Digression (1) : En préparant ce reportage, j’ai hésité quant à l’attitude à adopter une fois sur place. Mentir un peu, beaucoup, passionnément ? Pour finalement me résoudre à adopter une attitude « Ni trop ni trop peu » : ne pas révéler mon identité ni mon objectif mais ne pas non plus m’inventer une vie ni surjouer le « canonnier » ou, au contraire et le cas échéant, l’indigné. On n’est pas chez Frontières ici : lorsque l’on fait un reportage ce n’est pas dans le but de créer l’événement et/ou l’incident que l’on prétendra ensuite avoir simplement couvert.
Mes voisins de table sont sympas. Une grande famille (ils sont 22), venue d’un peu partout en Ille-et-Vilaine, pour certains de plus loin. M. m’explique que son gendre avait déjà fréquenté une initiative du Canon français lors d’un enterrement de vie de garçon, qu’il avait adoré et qu’il a proposé à la famille de se retrouver à l’occasion de ce « banquet breton ». J’opine du chef et je raconte mon histoire d’ami coincé à Paris, sourires compatissants, j’ai un peu honte de mentir à ces gens très aimables mais mon excuse est toute trouvée pour multiplier les photos et prendre des notes sous forme de textos que je m’envoie : « C’est pour mon pote il va être dégoûté. »

Sur la scène, un gentil organisateur prend le micro pour ouvrir les festivités. Il fait longuement applaudir le propriétaire du château de Blossac qui a aimablement accepté d’accueillir, au débotté, l’initiative, après que le château des Pères, situé à une quarantaine de kilomètres, a renoncé à héberger le Canon français suite à une mobilisation locale avec pétition signée par plus de 700 personnes. Ovation pour le propriétaire donc, qui en profite pour expliquer que, sa courageuse décision lui valant certaines animosités et la perte de plusieurs contrats, il en appelle à la générosité des « canonniers », avec possibilité de faire un don sur internet.

Géraud du Fayet de la Tour, fondateur du Canon français et principale figure de l’entreprise au côté de Pierre-Alexandre Mortemard de Boisse, deux individus d’extraction populaire donc, lance officiellement le banquet. Il en fait des tonnes sur le « terroir », la « ripaille », la « convivialité » et, bien sûr, « la France » et « les Français », non sans prendre le temps de faire huer, au passage, ceux qu’il appelle les « anti-fête » : « On compte sur la Bretagne, c’est la terre de la fête, contre les anti-fête ! » « Les antifas oui », souffle un type derrière moi, provoquant les rires de ses copains.

Ça commence avec un généreux plateau de charcuterie et Michel Delpech dans les enceintes : le Chasseur (évidemment), rapidement on se lève, on se prend bras dessus bras dessous, pas vraiment le choix, et ça chante en se balançant en cadence tandis que « par-dessus l’étang, soudain j’ai vu passer les oies sauvaaaaaages ». La « convivialité » passe aussi par le contact physique non sollicité. Ça enchaîne avec la Marseillaise, tout le monde debout, beaucoup ont la main sur le cœur, ça chante fort, ça s’applaudit, une fanfare prend le relais, on se rassoit, le sang impur a bien abreuvé les sillons, il est temps de dégommer la charcuterie.

Ce sera la seule fois où l’hymne national est lancé depuis la sono, mais il y aura, au cours de l’après-midi, une demi-douzaine de Marseillaise « spontanées » à l’initiative de petits groupes dont le look, la gestuelle et la coordination ne laissent guère planer de doute sur le fait qu’ils fréquentent les tribunes des stades du coin.

Le plat de résistance n’est pas encore arrivé, côté musique on alterne entre une fanfare du Sud-ouest, un groupe de reprises de chansons françaises et les binious du Souffle celtique de Crevin (ville voisine). Soudain tout s’interrompt et le speaker/chanteur annonce alors l’arrivée d’une « star internationale », requérant la pleine attention du public. Quelques minutes plus tard la « star » fait son entrée par le fond du chapiteau et traverse l’allée centrale : il s’agit du cochon, ou plutôt des cochons entiers cuits à la broche, applaudissements, on se rassoit, il est temps de manger la star.

Comme pour la charcuterie, le vin et, bientôt, le plateau de fromage, je me dis que c’est bon mais sans plus. En tout cas ça ne vaut certainement pas les 80 euros déboursés et je repense à l’article que j’ai lu quelques jours plus tôt sur lundimatin : « Le Canon français fait payer cher ce qui existe déjà en gratuit ou à des tarifs abordables, en enrobant le tout d’une histoire, d’un récit sur les français-béret-pinard-bons-vivants, d’un storytelling banal d’une marque qui appelle "concept" le fait de vendre pour le prix d’un pass navigo mensuel ce que toutes les asso de Bretagne font à 25 euros maximum ». Effectivement.

Pour le reste, en réalité, pas grand-chose à signaler. Les banquets du Canon français ne sont pas des meetings politiques au sens classique du terme, au micro c’est le terroir la ripaille et la France mais sinon rien ne dépasse. Un journaliste présent sur place, que j’ai déjà croisé par le passé et qui a compris que je n’étais pas là seulement pour manger du cochon me confirme, en aparté près du bar, que les organisateurs savent que les projecteurs sont braqués sur eux et qu’ils sont donc particulièrement vigilants afin d’éviter tout « dérapage ». Les potentiels excités l’ont visiblement eux aussi compris, et à Goven ce samedi 8 novembre il n’y aura ni chants à la gloire de Bardella ni drapeaux royalistes ni saluts nazis comme cela a pu se produire par le passé.

Un peu d’agitation tout de même à proximité de la table où je suis installé lorsqu’un groupe de jeunes gars, cheveux très courts, physiques de sportifs et tatouages qui ont davantage à voir avec les runes nordiques qu’avec le folklore breton, se prennent en photo au côté d’un barbu, visiblement une star à leurs yeux. Un coup d’œil me permet de voir que le type en question est Yovan Delourme, plus connu sous son pseudo « Le Jarl », un influenceur rennais d’extrême droite, ancien chef de la sécurité du 1988 Live Club et connu pour son goût du coup de poing, entre autres contre les soirées organisées par « les gauchistes ». Une figure de la mouvance néofasciste locale dont j’ai pu constater, durant la journée, la popularité auprès de certaines petites bandes de mecs présentes au banquet, malgré une notable tendance à la retenue et à la discrétion.

Il ne fait cependant aucun doute que pour mes voisins comme pour bien d’autres convives, Le Jarl ne représente rien. D’ailleurs, après le petit moment d’agitation, les gens de ma tablée me disent qu’ils ne le connaissent pas et que, globalement, ils s’en foutent. Ils sont là pour passer un bon moment, chanter, bien manger et bien boire, et plusieurs d’entre eux me diront que la politique ne les intéresse pas et que la polémique autour de l’organisation des banquets c’est « à cause des réseaux sociaux ». L’argument de « Ceux qui n’aiment pas s’amuser » semble porter chez plusieurs d’entre eux, j’évite d’insister et m’abstiens de réagir lorsqu’à plusieurs reprises, au bar ou à la pause clope, j’entends parler des « gauchistes » qui ont voulu « gâcher la fête ».

Digression (2) : J’ai fait le choix, avant même de me rendre sur place, de ne pas chercher à « faire parler » les gens, autrement dit de ne pas les entraîner dans des discussions qu’ils n’auraient pas eux-mêmes choisies. Une façon de vivre, autant que possible, le banquet comme l’un des nombreux « canonniers » qui sont venus sans arrière-pensée politique explicite, et donc de tenter d’identifier les principaux traits de cette expérience festive sans faire usage de mes a priori et en n’oubliant pas que par mon identité sociale je ressemble au convive moyen.

L’après-midi s’écoule, plateau de fromages, chants, farandoles, Sardou à plein tubes, et pour finir concert de Mathieu Bost, un compagnon de route du Canon français qui a même signé une chanson éponyme, la seule production originale qu’il offrira au public breton puisque tout le reste de sa setlist se compose de reprises de tubes de variété française. À noter en cours d’après-midi un « C’est à babord/tribord qu’on gueule le plus fort », avec un succès incontesté de bâbord, sans doute une preuve de l’esprit d’ouverture du Canon français, prêt à aller jusqu’à accepter une victoire de la gauche.

Au total, ce banquet de cinq heures peut donc se résumer à : du cochon, de l’alcool, de la chanson française pas récente et plutôt masculine (Delpech, Sardou, Aznavour, Montagné, Halliday, Sébastien, Bruel, Piaf, Vartan…), avec quelques incursions à l’international (type Life is Life ou I Will Survive, qui est toutefois pour bien des gens « la chanson des Bleus » en 1998), et des discours, depuis la scène, vantant le terroir, les traditions et la convivialité. Ni plus ni moins.

Ce qui frappe est, paradoxalement, ce qui est absent : la diversité culinaire (c’est cochon ou rien), la diversité musicale (c’est chanson française ou rien, et rarement récent) et la diversité sociale qui semble écrasée par un processus d’homogénéisation, entre autres vestimentaire, des convives, n’oubliez pas d’acheter votre béret le Canon français pour la modique somme de 39 euros, nous sommes tous des canonniers.

Dans les mots du sociologue Benoît Coquard, cela donne « la promotion sélective d’un passé et de traditions qui parlent à des jeunes nostalgiques d’époques qu’ils et elles n’ont pas directement connues, sauf à travers des récits ou goûts musicaux de leurs parents ». Et au-delà, « faire la fête avec des gens "comme nous", se dire que la bande de potes d’à côté pense comme nous. C’est la promesse d’un entre-soi rassurant, avec le divertissement en prime. » Pas mieux.

Un « entre-soi rassurant » qui, au nom d’un passé mythifié, exclut tout en affirmant inclure et construit un « Nous » qui, sans jamais le dire explicitement, se démarque d’un « Eux » omniprésent par son absence. Et c’est sans doute cela le plus insidieux, au moins autant que cette désagréable impression que si l’on n’apprécie pas c’est parce que l’on méprise la « culture populaire », comme si une fête franchouillarde à 80 euros l’entrée organisée par une entreprise dirigée par deux aristos était la quintessence de ladite culture.



Un banquet qui, aussi « convivial » puisse-t-il se prétendre et aussi aimables puissent être certains convives, en tout cas à l’égard de ceux qui sont sur place et font donc, a priori, partie des leurs, est un espace dans lequel des bandes de petits fachos se sentent comme des poissons dans l’eau et dans lequel des millions de personnes n’auraient besoin que de quelques minutes pour sentir qu’elles n’ont pas leur place. Ce qui n’est pas de l’ordre du détail.

Il est presque 17h, les festivités prennent fin. Sur scène, l’animateur annonce qu’on lui a apporté la carte bleue de Monsieur X ainsi que celle de Monsieur Y, et qu’ils sont invités à venir les récupérer. Avant d’ajouter : « On m’a aussi apporté un string, donc n’hésitez pas non plus ». Ça rigole un peu trop fort autour de moi, il est temps d’y aller.

https://www.blast-info.fr/articles/2025 ... Ncqhx5zwgg
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Re: Cochon, Sardou et fachos en chemise à fleurs : le « banquet breton » comme si vous y étiez

Message par Victor »

Pas vu de femmes voilées dans l'assistance.
Il semble donc que ce banquet était bien fréquenté.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
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Re: Cochon, Sardou et fachos en chemise à fleurs : le « banquet breton » comme si vous y étiez

Message par Corvo »

Victor a écrit : 12 novembre 2025 17:31 Pas vu de femmes voilées dans l'assistance.
Il semble donc que ce banquet était bien fréquenté.
Pourquoi toujours tout ramener aux musulmans et particulièrement aux femmes voilées dont on demande bien ce qu'elles viennent faire ici ?... :content116
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Re: Cochon, Sardou et fachos en chemise à fleurs : le « banquet breton » comme si vous y étiez

Message par Victor »

Corvo a écrit : 12 novembre 2025 17:41
Victor a écrit : 12 novembre 2025 17:31 Pas vu de femmes voilées dans l'assistance.
Il semble donc que ce banquet était bien fréquenté.
Pourquoi toujours tout ramener aux musulmans et particulièrement aux femmes voilées dont on demande bien ce qu'elles viennent faire ici ?
C'est important. Il ne s'agit pas de se retrouver en mauvaise fréquentation lors d'un banquet, tout de même ?
Vous ne trouvez pas ?
Vous êtes bizarre.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
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Re: Cochon, Sardou et fachos en chemise à fleurs : le « banquet breton » comme si vous y étiez

Message par Mickey »

Ce pied de porc et ses patates me semblent délicieux, où peut on s'inscrire pour le prochain banquet ?
Celà dit, cinq bouteilles est un peu limite. J'espère que la cave est pleine.
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Re: Le Canon français dans le viseur de la gauche

Message par Fonck1 »

ça a l'air tellement franchouillard et tellement has been....
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Re: Cochon, Sardou et fachos en chemise à fleurs : le « banquet breton » comme si vous y étiez

Message par Corvo »

Victor a écrit : 12 novembre 2025 17:52
Corvo a écrit : 12 novembre 2025 17:41
Pourquoi toujours tout ramener aux musulmans et particulièrement aux femmes voilées dont on demande bien ce qu'elles viennent faire ici ?
C'est important. Il ne s'agit pas de se retrouver en mauvaise fréquentation lors d'un banquet, tout de même ?
Vous ne trouvez pas ?
Vous êtes bizarre.
Tout à fait et c'est d'ailleurs pour cette raison que vous et moi ne festoierons jamais ensemble.
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Re: Le Canon français dans le viseur de la gauche

Message par vivarais »

Fonck1 a écrit : 12 novembre 2025 18:04 ça a l'air tellement franchouillard et tellement has been....
Décidément vous aimez la france passionnément
Moi tout çà me fait saliver
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Re: Le Canon français dans le viseur de la gauche

Message par Fonck1 »

vivarais a écrit : 12 novembre 2025 18:13
Fonck1 a écrit : 12 novembre 2025 18:04 ça a l'air tellement franchouillard et tellement has been....
Décidément vous aimez la france passionnément
Moi tout çà me fait saliver
J'aime la France qui se tire vers le haut, la France de la réussite, la France technicienne (tiens les premiers charcutiers ou cuisiniers de France par exemple), la France de l'excellence, pas la France du rouge qui tâche et du cholestérol, ça ne m’intéresse pas du tout.
chacun son chemin, je suis un passionné, pas un aviné.

ça demande du travail, des efforts, de l'excellence, de se sortir les doigts du cul pour arriver, du savoir, de l'abnégation, ces trucs faciles sans personnalité n'ont absolument aucun intérêt.
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Re: Le Canon français dans le viseur de la gauche

Message par latresne »

Fonck1 a écrit : 12 novembre 2025 18:21
vivarais a écrit : 12 novembre 2025 18:13

Décidément vous aimez la france passionnément
Moi tout çà me fait saliver
J'aime la France qui se tire vers le haut, la France de la réussite, la France technicienne (tiens les premiers charcutiers ou cuisiniers de France par exemple), la France de l'excellence, pas la France du rouge qui tâche et du cholestérol, ça ne m’intéresse pas du tout.
chacun son chemin, je suis un passionné, pas un aviné.

ça demande du travail, des efforts, de l'excellence, de se sortir les doigts du cul pour arriver, du savoir, de l'abnégation, ces trucs faciles sans personnalité n'ont absolument aucun intérêt.

A droite on veut une France débarassée du sectarisme gauchiste,une France libre de manger et boire ce qu'elle veut, surtout dans des endroits privés.Ras le bol de ces nouveaux arrivants qui veulent islamiser le pays.
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