le cid a écrit : @ allora et lotus 95
Si j'ai parlé de pourcentage de malchance c'est parce que mon fils qui était un petit garçon en pleine épanouissement est devenu autiste vers 3 ans !
je pense qu'il ne faut pas se battre contre des moulins mais je souhaite simplement que les pays riches comme la Corée du Sud qui a fait une étude sur 55 000 enfants essaient d'en tirer quelques statistiques :
type de vaccin ; type d'adjuvant ; etc
si les études montrent un risque du à l'aluminium on pourra modifier les vaccins sans pour autant les supprimer.
Bien sur , si l'aluminium est un adjuvant de vaccin peu onéreux et doit être remplacé ...... on rentre dans un autre domaine qui redevient celui de mon premier commentaire : celui du risque de dommages collatéraux connu mais accepté pour raisons financières .
le phosphate de calcium a été utilisé comme adjuvant pendant une dizaine d'années sans dommage connu ... et on a arrêté de l'utiliser avec de sombres prétextes pour le remplacer par de l'hydroxyde d'aluminium ... possible que ce ne soit que pour des questions financières ou autres gains dans les procédés de fabrication, j'ai lu sur un site qu'une étude avait été falsifiée pour ça.
quand on sait que la rupture du DT Polio a été organisée pour forcer la vente des hexavalents et autres vaccins sur le marché à l'époque, on n'a pas de peine à le croire ...
aujourd'hui, on se fait fort de dire qu'il n'y a pas de preuves sur la toxicité de l'aluminium, pas de lien de causalité etc ....
sauf qu'on ne prouve pas davantage son innocuité et qu'on n'entend nulle part que l'on pousse les investigations plus loin en France ; c'est donc une bonne nouvelle d'entendre que ça se fait ailleurs
pourtant, on a su appliquer le principe de précaution sur les vaccins pour animaux, comme sur les produits d'hygiène même si ce n'est pas comparable du fait d'un mode d'absorption différent ... on sait en tout cas que l'aluminium est un risque et cela aurait du suffire pour étendre le principe de précaution aux vaccins pour les humains, qui plus est lorsqu'il s'agit de nourrissons
en tant qu'humains qui pouvons TOUS être touchés par cette espèce d'arrogance scientifique qui ne considère les individus que comme des % sur des statistiques, on ne peut pas se satisfaire de ces conclusions arbitraires du "pas de preuve" ;
quand on sait que seuls les grands labos ont les moyens financiers d'engager des études d'envergure pour établir les preuves de la toxicité d'une substance, il est illusoire de penser qu'ils vont se tirer une balle dans le pied en initiant des études qui leur feront du tort à terme, et demander à une victime de prouver un lien de causalité revient à botter en touche ...
heureusement que la justice a su à plusieurs reprises passer au dessus de ces diktats en se fondant sur des faits précis et concordants
et s'il n'y avait que l'aluminium ... on retrouve hélas les mêmes stratégies de contournement sur un bon nombre de sujets ; les scandales sanitaires passés en témoignent
c'est l'appât du gain qui prévaut dans tous les cas ; et dans le contexte d'une science loin d'être indépendante, ceux qui invoquent la suprématie de la science ou parlent de compétence sont totalement hors-sujet.