Ben moi, je constate que ces Français, parce que nés en France, sont Français...Logique, non ?

Ben moi, je constate que ces Français, parce que nés en France, sont Français...Logique, non ?
putain, celui là, t'as été le chercher loin.stirnersept9 a écrit : ↑10 mai 2021 18:45Ce n'est pas parce qu'un veau nait dans une écurie qu'il deviendra un cheval
proverbe Mapuches.
Il n'est pas question de couleur de peau;Fonck1 a écrit : ↑11 mai 2021 15:12putain, celui là, t'as été le chercher loin.stirnersept9 a écrit : ↑10 mai 2021 18:45
Ce n'est pas parce qu'un veau nait dans une écurie qu'il deviendra un cheval
proverbe Mapuches.
ça marche aussi pour les noirs?
Source:Le Figaro
Le tribunal de Bobigny a relaxé jeudi 21 mai un policier qui avait publiquement qualifié de «violeur» et «repris de justice» Adama Traoré, un jeune homme noir mort en 2016 après son interpellation par des gendarmes dans le Val-d'Oise.
"En droit, seuls les héritiers légaux sont légitimes à intenter une action en justice pour injure ou diffamation à la mémoire des morts", a d'emblée rappelé le tribunal dans sa décision lue à l'audience.
"Or, le policier «ne s'adresse [pas] à un quelconque héritier d'Adama Traoré» et ne pouvait supposer que ses propos étaient filmés et seraient diffusés, a-t-il estimé, précisant que les documents transmis par la famille du jeune homme décédé à 24 ans étaient «insuffisants» à établir leur lien d'héritiers. "
Le tribunal a également jugé qu'«aussi contestables» soient les propos tenus par ce fonctionnaire de 45 ans au regard de la déontologie, «l'intention de nuire n'est pas établie».
Présente sur place, Assa Traoré, emblème de la lutte contre les violences policières depuis la mort de son frère, n'a pas souhaité commenter cette décision dans l'immédiat.
À l'audience du 15 avril, le procureur Loïc Pageot s'était interrogé sur la recevabilité de la plainte pour ces mêmes motifs. Il avait toutefois requis une amende de 1000 euros avec sursis à l'encontre du policier, lui reprochant de n'avoir «pas respecté son devoir de réserve».
Le 22 juillet 2017, ce fonctionnaire en poste sur le réseau ferroviaire francilien avait été pris à partie par une demi-douzaine de militants du collectif «Justice pour Adama» alors qu'il contrôlait un passager voyageant sans titre de transport.
Une des militantes, qui se rendait à une marche blanche à Beaumont-sur-Oise en mémoire du jeune homme, lui avait alors demandé s'il savait pourquoi elle était à bord. Il avait répondu par l'affirmative, en qualifiant Adama Traoré de «repris de justice» et de «violeur». La scène, filmée, avait été diffusée sur les réseaux sociaux.
En mai 2016, un ancien codétenu avait porté plainte contre Adama Traoré pour agressions sexuelles. L'enquête a été classée sans suites à la mort du jeune homme.
En mars 2020, la Commission d'indemnisation des victimes d'infractions (CIVI) de Pontoise a indemnisé cet ancien codétenu pour le préjudice subi. Dans sa décision, elle n'a toutefois pas abordé la question de l'auteur du préjudice qu'elle a réparé. Sa famille a toujours nié ces accusations et porté plainte contre ceux qui les ont relayées publiquement.
Source:Le Parisien.
L’enquête visant à établir les causes de la mort de Mahamadou Fofana, présenté comme le cousin d’Adama Traoré par la famille et décédé en septembre alors qu’il était poursuivi par la police dans les Yvelines, a été classée sans suite, a indiqué vendredi le parquet de Versailles.
Le classement sans suite de cette enquête, confiée à un juge d’instruction, a eu lieu le 30 mars dernier, selon le parquet sollicité, car les investigations n’ont « pas permis d’établir l’existence d’une infraction pénale ».
L’avocat de la famille, Yassine Bouzrou, a moqué une « non-information », ajoutant qu’une plainte avec constitution de partie civile pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner » avait été déposée « en septembre » auprès du doyen des juges d’instruction de Versailles. « Suite à (cette) plainte », « une information judiciaire est toujours en cours », a assuré Me Bouzrou.
Son classement sans suite repose notamment sur des « expertises médico-légales »:
Le 14 septembre 2020, Mahamadou Fofana est décédé à l’âge de 35 ans alors que des policiers tentaient de l’interpeller dans les Yvelines. Son corps avait été retrouvé dans la Seine à Bougival par les policiers qui le poursuivaient. Selon la version des forces de l’ordre, aucune violence n’a été commise et l’homme serait mort noyé alors qu’il tentait de regagner la rive après avoir voulu leur échapper.
Son classement sans suite repose notamment sur des « expertises médico-légales (…) confirmées par les opérations de contre-autopsie sollicitées par la partie civile et menées par un collège d’experts », a précisé le parquet.
« Des auditions », « des constatations opérées sur les lieux » ou une « analyse des liaisons radio » ont également été menées avant d’aboutir au classement de la plainte, a-t-il précisé.
Mahamadou Fofana est présenté par la famille comme le cousin d’Adama Traoré, un jeune homme noir de 24 ans mort en 2016 dans des circonstances controversées après son interpellation par des gendarmes dans le Val-d’Oise.
L’avocat de la famille, Yassine Bouzrou, a moqué une « non-information », ajoutant qu’une plainte avec constitution de partie civile pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner » avait été déposée « en septembre » auprès du doyen des juges d’instruction de Versailles. « Suite à (cette) plainte », « une information judiciaire est toujours en cours », a assuré Me Bouzrou.
...Son classement sans suite repose notamment sur des « expertises médico-légales (…) confirmées par les opérations de contre-autopsie sollicitées par la partie civile et menées par un collège d’experts », a précisé le parquet.
« Des auditions », « des constatations opérées sur les lieux » ou une « analyse des liaisons radio » ont également été menées avant d’aboutir au classement de la plainte, a-t-il précisé.
Source:Ouest-France.
Un nouveau complément d’expertise médicale rendu le 22 août confirme un précédent rapport selon lequel la mort d’Adama Traoré en 2016 a été causée par un « coup de chaleur » aggravé par la « contrainte » de trois gendarmes.
La confirmation d’une première analyse:
Quatre experts belges avaient conclu en janvier 2021 que la mort de ce jeune homme noir, le 19 juillet 2016 dans la caserne de Persan (Val-d’Oise), avait été causée, en ce jour de canicule, par un « coup de chaleur » qui n’aurait toutefois « probablement » pas été mortel sans son interpellation par les gendarmes, qui avaient menotté le jeune homme alors qu’il se débattait allongé sur le ventre. Ils n’ont pas été mis en examen dans l’information judiciaire au long cours.
Ces experts ont été sollicités une nouvelle fois, en juin 2021, pour un complément d’expertise après le versement au dossier de nouveaux témoignages et d’éléments médicaux.
Trois des quatre experts initiaux ainsi qu’un quatrième ont conclu le 22 août que « les nouvelles auditions et les documents médicaux établis par la médecine du travail ne modifient pas les conclusions du rapport d’expertise collégiale précédent ».
« C’est comme si son corps ne réagissait pas »:
Parmi ces nouvelles auditions, un témoin direct, qui connaissait Adama Traoré depuis l’enfance et l’avait aidé à s’échapper après sa première interpellation, dans la journée du 19 juillet 2016. Selon lui, « Adama était essoufflé. […] Je n’ai pas l’habitude de le voir essoufflé, mais c’est vrai que là quand je suis intervenu, j’ai été un peu surpris de le voir fatigué ».
« C’est comme si son corps ne réagissait pas. […] Pour moi, il était dans un état qui n’est pas habituel, il ne parlait pas », a raconté ce témoin.
Pour les quatre experts belges, ce témoignage « renforce l’hypothèse avancée par le collège précédent selon laquelle l’hypoxémie provoquée par le coup de chaleur à l’exercice évoluait depuis bien avant l’interpellation de M. Adama Traoré ».
« Au moment de la seconde interpellation, l’hypoxémie était donc bien installée, entretenue » notamment par la sarcoïdose – une pathologie rare – dont souffrait Adama Traoré, d’après eux.
Ces éléments « renforcent même (leur) conviction quant aux mécanismes physiopathologiques ayant mené au décès », ajoutent-ils.
Une étude interprétée de façon opposée par défense et accusation:
« Il n’y a pas de responsabilité directe des gendarmes car la cause principale du décès, c’est le coup de chaleur à l’exercice entretenu par la sarcoïdose », a commenté maître Rodolphe Bosselut, avocat de deux des trois gendarmes.
Pour maître Yassine Bouzrou, avocat de la famille du défunt, « sans l’interpellation violente des gendarmes, Adama Traoré ne serait pas mort. Autrement dit les gendarmes ont causé (sa) mort. La mise en examen et le renvoi devant une juridiction s’imposent en droit. »
Le changement de politique se fera si les français le décident !gare au gorille a écrit : ↑09 juillet 2023 18:31
Mais surement pas au dam de la France qui a grand besoin de ce changement de politique !! Mais vous pouvez toujours voter pour LFI, ils risquent de manquer de voix aux prochaines consultations électorales.
Georges61 a écrit : ↑09 juillet 2023 19:11 Les manifestations sont autorisées, sauf si elles déplaisent au pouvoir en place, alors il demande au préfet de l'interdire sous le prétexte de risque que cela se passe mal. Avec ce genre d'excuse les préfets qui ne sont pas, rappelons le, indépendant, sont à la botte du gouvernement, peuvent interdire toutes les manifestations.
On s'éloigne de plus en plus de la démocratie.