vraiment le ridicule ne tue pas...le languis qu'il parle en chinois histoire de me faire rire un peu plus.....

T'oublie aussi la Sego, qui sans Bergé ne pourrait pas fanfaronné dans le monde entier...MICHEL31 a écrit : La fondation Bergé/St Laurent, la lutte contre le sida dont Line Renault est la présidente mais dont Bergé est le principal bailleur de fond .
dans ses possibilités je le trouve convaincant , toujours plus que notre président !Fouchtra a écrit :
Evoquer les droits de l'homme à propos de cette histoire.... On voit que les bobos - et ce Monsieur Bergé en est un beau - n'ont pas vraiment le sens des réalités...ou alors c'est un faux cul comme tous ceux de sa catégorie. Si on voulait imposer quelque chose aux chinetoques à propos des droits de l'homme...il fallait boycotter les JO.... et point barre... Le reste est du pipeau ... comme toujours.
Oui le voleur a volé ça me donne le droit de le voler!tisiphoné a écrit :
dans ses possibilités je le trouve convaincant , toujours plus que notre président !
et puis la Chine ferait bien de balayer devant sa porte car en parlant de vol
ils ont vandalisé le Tibet et se privent pas de contrefaire toute la technologie des autres pays
Oui et alors ? Comme disent certains sur ce forum, c'est son pognon et il est libre d'en faire se que bon lui semble car jusqu'à maintenant, il l'a plutôt bien utilisé. Me semble t il.kris1002 a écrit : T'oublie aussi la Sego, qui sans Bergé ne pourrait pas fanfaronné dans le monde entier...
Le financement de la vie politique est très encadré. Selon le site service-public.fr , dans le cadre de l'élection présidentielle, un candidat peut recevoir jusqu'à 4 600 euros pour une seule personne physique. Un parti politique peut recevoir jusqu'à 7 500 euros. Tous les dons sont donc plafonnés. Une personne morale, c'est-à-dire une entreprise ou une association, ne peut financer une campagne électorale.
En revanche, une association de loi 1901 n'est pas soumise à ces mêmes restrictions. Les dons ne sont pas limités, ni pour les personnes physiques, ni pour les personnes morales (comme d'autres associations). Seules les déductions d'impôts liées à ces dons sont plafonnées. Or, "Désirs d'avenir", l'association de Ségolène Royal, est une association de loi 1901, tout comme "les amis de Ségolène", présidée par Pierre Bergé. Autrement dit, le financement des "activités politiques" de Ségolène Royal n'entrent pas dans le cadre du financement des partis politiques ou des campagnes électorales.
Le soutien financier de Pierre Bergé est parfaitement légal. Comme le soulignait Ségolène Royal sur Europe 1 le 14 janvier 2008 : il y a ""des règles, des lois qui permettent à des associations de fonctionner, à des dons de se faire, à des structures de réfléchir et c'est tant mieux"". Mais ce financement légal est-il légitime ? Un responsable politique peut-il avoir un mécène ?
Les règles de financement de la vie publique obéissent à deux principes : égalité et transparence. Chaque parti reçoit des subventions pour vivre en fonction de sa représentativité (proportionnellement au nombre de voix obtenues lors des législatives). Les dons à des partis politiques ou à des candidats lors des campagnes électorales sont plafonnés pour éviter tout risque de corruption.
D'une manière générale, dans une démocratie, l'argent ne doit pas être un critère de sélection de candidats. Pourtant, le fait que Ségolène Royal sollicite un mécène pour financer ses activités politiques montre les limites d'un système où l'argent constitue manifestement une condition indispensable pour construire une carrière politique.
Mais quand il s'agit de responsables politiques qui se revendiquent "proches du peuple" et au côté des "milieux populaires", la question d'un mécénat de la part d'un milliardaire pose problème.
Désolé, je ne pourrais pas comprendre que des gens comme Tapie, Bergé, Seguela puissent porter des combats pour des défavorisés et se dire proche du peuple....Mais quand il s'agit de responsables politiques qui se revendiquent "proches du peuple" et au côté des "milieux populaires", la question d'un mécénat de la part d'un milliardaire pose problème.
Le gouvernement chinois réclame leur retour mais s'en tient a une position de principe: il réclame le retour des pièces pillées mais refuse de payer.Un collectionneur d'art chinois a annoncé lundi avoir acheté les deux bronzes chinois vendus la semaine dernière à Paris lors de la vente de la collection Yves Saint-Laurent-Pierre Bergé, mais a affirmé ne pas vouloir payer.
"Je crois que n'importe quel Chinois se serait levé à ce moment précis... J'essaie de tout faire pour faire face à mes responsabilités", a indiqué Cai Mingchao dans un communiqué.
"Mais je dois souligner que l'argent ne peut pas être payé", a-t-il ajouté.
"Depuis que la vente a eu lieu, il y a eu beaucoup de spéculations pour savoir qui était l'acheteur, j'annonce que l'acheteur est un Chinois qui doit être admiré", a indiqué, dans le communiqué, Niu Xianfeng, directeur adjoint du Fonds du patrimoine national de Chine, un organisme semi-gouvernemental qui tente depuis 2002 de récupérer des objets artistiques pillés.
"Nous voulons de nouveau souligner, comme l'a fait Cai Mingchao, que cet argent ne peut pas être versé", a-t-il ajouté.
Drôle de morale!paris16 a écrit :je propose que ces statuettes soient rendues au chinois à condition que ces derniers cessent immédiatement de copier en toute illégalité les produits des autres pays. Ou alors il suffit de leur refiler des contre façons de ces statuettes, eux qui sont les champions du monde du copier/coller n'auront rien à redire