Et maintenant, l'éducation est morte

Alogos a écrit : Pour ça, il existe les SEGPA - apprentissage obligatoire d'un futur métier.
Le hic, c'est en 6° qu'on peut être orienté vers un SEGPA : la suite du cursus scolo-universitaire est compromis (=euphémisme)
JF Copé a admis qu'il y a une batterie de tests d'évaluation avant l'entrée en 6° : alors à quoi sert un examen, qauf à diriger des gamins vers des ateliers où les attend un vie de galérien ?
Pourquoi si tard ?tisiphoné a écrit : est-ce qu'à 11 ans, on ne pourrait pas déjà envisager un autre circuit pour les enfants dont on sait qu'ils ne feront jamais d'études supérieures?
est-ce par trop prématuré ou peut-on sans faire d'ostracisme, l'envisager?
ya pas besoin de dépister,ils sont tous touchésdinosaure a écrit : Pourquoi si tard ?
Lefevbre avait déclaré qu'il fallait dépister les délinquants avant la maternelle alors on pourrait aussi dépister les futurs illettrés.
tout a fait vrai.faudrait il que les enseignants s'adaptent,mais la,c'est silence radio....tisiphoné a écrit : le problème avec le système éducatif en France c'est que,on a le sentiment que l'enseignement est conçu comme une peine, une contrainte pour l'élève, dont il ne saurait tirer aucun plaisir, alors que l'enseignement se devrait interactif, base necessaire pour stimuler la curiosité des élèves.
ya un centre de formation DUTROUX en belgiqueon peut développer des ateliers, découvertes....
de vrais projets, plutôt que l'ingestion d'un programme formel,où on dirait qu'on n'attend que de la passivité de l'élève.
tisiphoné a écrit : le problème avec le système éducatif en France c'est que,on a le sentiment que l'enseignement est conçu comme une peine, une contrainte pour l'élève, dont il ne saurait tirer aucun plaisir, alors que l'enseignement se devrait interactif, base necessaire pour stimuler la curiosité des élèves.
on peut développer des ateliers, découvertes....
de vrais projets, plutôt que l'ingestion d'un programme formel,où on dirait qu'on n'attend que de la passivité de l'élève.
ça n'existe plus les IUFMsanka a écrit :
les profs deja sont mal formés, et jeunes, ils sont catapultés dans des banlieues difficile
c est comme les flics, tu mets des jeunes dans les quartiers "chauds"
tu mets des gens sans experience là où on a besoin de gens matures responsables et vieux !
un jeune a plus de mal a se controler vis a vis d un jeune qui lui crache a la gueule
un vieux aura plus d outils pour desamorcer les situations en amont
enfin, ils sont bien gentils les profs et les profs de fac, ils ne sont la que pour enseigner un savoir
ben le jour ou un de leur jeune les braque pour payer leur cocaine, ils se sentiront un peu plus concernés peut etre !
voilà la question n est pas de savoir qui est responsable ( d ailleurs elle est nulle comme question )
il faut juste savoir quoi faire face à ces situations, et limite faire des guides de cet enfant montre des signes, comment eviter qu il sombre .... ?
enfin, bon, on peut pas demander a des profs d etre adultes, ils n ont pas quitté le milieu scolaire, alors ce qu ils savent de la vie.... ( surtout à la sortie de l iufm )
Bien sûr !PELINAC a écrit :
Tu es bien conscient que le capes n'est pas un gage de pédagogie...mais uniquement d'un savoir. Ensuite beaucoup de "charlatans " veulent faire passer "leur pédagogie".....très éloigné de la réalité . Bref la meilleur pédagogie s'apprend au fil du temps....aidé par les collégues (parfois..)
Désolé, la prononciation veut que l'on fasse la liaison lorsque le -s final est au contact avec une voyelle à l'initiale du mot qui suit. On lit "les-z-écoles" ; de plus les rimes féminines font pauvre, on les évite.dinosaure a écrit : Tu mélange orthographe et grammaire.
Et l'anglais a une structure beaucoup plus proche du français que les autres langues germaniques.
Le sujet ne se ballade pas en fin de phrase, pas de déclinaisons...
Pour en revenir à la phonétique quand tu écoutes une pièce de Molière tu ne vois pas les lettres muettes ("s" au pluriel par exemple) et pourtant tu comprends parfaitement.
Eax a répondu en me citant :tisiphoné a écrit : est-ce qu'à 11 ans, on ne pourrait pas déjà envisager un autre circuit pour les enfants dont on sait qu'ils ne feront jamais d'études supérieures?
est-ce par trop prématuré ou peut-on sans faire d'ostracisme, l'envisager?