Sandek a écrit : Tu es sûr sembala ?

Recalcule bien...
Fonck > une recherche toute simple de votre part sur internet sera plus utile qu'un pavé de 5 kms de long
Ben, oui, je confonds, à juste titre. (comment est-ce qu'on a fait fumer une femme, comment on lui a dit que porter une mini-jupe c'était une révolution

, comment on a inventé "la rebellitude" sans cause... ?)
Sandek dis moi, tu es conscient que nous sommes faits de partcules elementaires, oui ou non ?
Les etoiles fabriquent des atomes en effectuant la fusion, a ce moment precis notre Soleil frabrique de l'helium a partir d'hydrogene !
Tout ce qui existe, a une existence physique a travers les partiucles elementaires !
Une conscience c'est un "mot" avant tout, ce que represente ce mot est un mecanisme dont a l'heure actuelle nous ignorons le fonctionnement et comment le cerveau créé ce phenomene !
Pourtant tu as le culot de dire que 'la conscience collective" existe ! Maintenant dis nous ce que s'est, ? Parce que tu peux citer autant de chercheurs que tu veux, mais concretement, dans la realité, les seuls domaines où il y a des recherches concretes sont la scientifiques, les philosophes n'ont meme plus le langage a etudier il est passé dans le domaine de la Science, ils n'ont plus que l'etude des langues ! (langage est different de langues) !
Howard Bloom :
Howard Bloom (né en 1943) est un auteur américain et ancien publicitaire dans l'industrie musicale.
Howard Bloom a écrit des ouvrages sur les concepts de superorganisme (sociologie), de mème (Mémétique), de cerveau global (intelligence collective) et de sélection de groupe
A part ca c'est moi Rael !
C'est un simple ecrivain, si demain un mec lambda se met a ecrire et qu'il est publié, et qu'il a un certain succes dans ses ventes, en quoi cela prouve que ce qu'il dit est VRAI , s'il n' y a pas de preuves scientifiques ????
J'ai remarqué que tu prenais des phrases de WIKI sont le mentionner, de plus qui n'ont rien avoir avec le sujet :
Palo Alto n'a rien avoir avec le sujet :
L'École de Palo Alto est un courant de pensée et de recherche ayant pris le nom de la ville de Palo Alto en Californie, à partir du début des années 1950. On le cite en psychologie et psycho-sociologie ainsi qu'en sciences de l'information et de la communication. Ce courant est notamment à l'origine de la thérapie familiale et de la thérapie brève. Parmi ses principaux fondateurs on trouve Gregory Bateson, Donald D. Jackson, John Weakland, Jay Haley, Richard Fisch, William Fry, Paul Watzlawick et la famille Rockefeller.
Le Projet Bateson
En 1952 l'anthropologue Gregory Bateson obtient le financement de la fondation Rockefeller pour une étude du « paradoxe de l'abstraction dans la communication ». Bateson réunit une équipe au sein du Veterans Administration Hospital de Palo Alto, composée de l'étudiant en communication Jay Haley, de l'étudiant en psychiatrie William Fry et de l'anthropologue John Weakland. L'équipe s'intéresse notamment à l'humour, au Zen (ils rencontrent Alan Watts et Daisetz Teitaro Suzuki) et à l'hypnose (nombreuses rencontres avec Milton Erickson).
Bateson est fortement influencé par le courant cybernétique, né des conférences Macy auxquelles il participe de 1942 à 1953. Lors de ces conférences, Bateson a travaillé au sein d'un groupe interdisciplinaire de mathématiciens, logiciens, anthropologues, psychologues et économistes qui s'étaient donnés pour objectif d'édifier une science générale du fonctionnement de l'esprit. Les participants aux conférences sont parmi les scientifiques les plus brillants de l'époque, parmi lesquels Norbert Wiener, Warren McCulloch, Arturo Rosenblueth, Lawrence Kubie, John von Neumann, Claude Shannon, Heinz von Foerster et William Ross Ashby.
La cybernétique
L'influence de la « première cybernétique » sur l'École de Palo Alto s'est traduite par le fait que le thérapeute ne considère plus son patient comme un individu isolé sur lequel il devrait poser un diagnostic psychiatrique mais s'intéresse aux interactions actuelles du patient avec son environnement qui maintiennent son problème. En d'autres termes, le thérapeute se demande comment le système maintient l'homéostasie. On passe d'une explication individuelle, linéaire et diachronique à une explication systémique, circulaire et synchronique.
Dans une deuxième étape, suivant les travaux de la « deuxième cybernétique » de Humberto Maturana, qui étudie comment les systèmes évoluent loin de leur point d'équilibre et créent des nouvelles structures (morphogenèse), les thérapeutes se sont intéressés aux possibilités de changement que recèle la situation de crise (voir aussi les structures dissipatives de Ilya Prigogine). Comme le souligne Prigogine, « si différents régimes sont possibles avec des molécules, des régimes beaucoup plus variés et plus nombreux sont possibles dans les communautés humaines. » Cette vision a amené les thérapeutes à penser la situation de crise comme un moment privilégié de l’intervention contrairement à l’idée généralement admise selon laquelle on ne travaille pas avec les gens dans l’urgence et dans la crise (il faut d’abord apaiser la souffrance). Ainsi, le « client » de l'intervention thérapeutique est une personne en souffrance, c'est-à-dire loin de son point d'équilibre, et prête à faire quelque chose pour atteindre un nouvel équilibre.
Enfin, influencés par les travaux de Heinz von Foerster sur la « cybernétique de deuxième ordre », où l’observateur s’inclut lui-même dans le système observé, les thérapeutes ont pris davantage en compte de l’existence de l’observateur dans l’observation. Dans cette perspective, on soulignera, par exemple, que si le patient « résiste », c'est que le thérapeute est en train d'exercer une pression sur lui.
MDR, encore des doctrines qui ne se basent sur rien de concret, mais uniquement des suppositions, mais en plus ce n'est pas le sujet !
Si tu veux me citer des personnes qui recherchaient la vérité, parle moi d'Einstein, de Bohr, de Wolgang Paulie, de Max Planck, de Heisenberg, de Shrodinger, de Watson et Crick.....
On ne sait pas comment le cerveau fonctionne, seul la Science le découvrira, car il faut se baser sur des experiences concretes et non abstraite. Tu dois étudier la philo ou la psycho, donc tu nous sors non pas le résultat de ta réflexion mais uniquement ton soi disant savoir appris.
Libre arbitre :
Le libre arbitre est la faculté qu’aurait l'être humain de se déterminer librement et par lui seul, à agir et à penser, par opposition au déterminisme ou au fatalisme, qui affirment que la volonté est déterminée dans chacun de ses actes par des « forces » qui l’y nécessitent. « Se déterminer à » ou « être déterminé par » illustrent l’enjeu de l’antinomie du destin ou de la « nécessité » d'un côté et du libre arbitre de l'autre.
Le principe d'incertitude, la théorie du chaos voire les théorèmes d'incomplétude de Gödel ont, selon certains, apporté des éléments nouveaux à ce débat, sans pour autant le trancher.
Le concept de libre arbitre a fait l’objet de trois catégories de critiques, l’une théologique (attribuer à l’homme un libre arbitre, n’est-ce pas nier ou du moins, minimiser le rôle de la grâce divine dans l'œuvre du salut ?).
Bon la je n'argumente même pas !
l’autre philosophique (le libre arbitre ne revient-il pas à nier l’influence des motifs ou des mobiles qui déterminent nos choix et nos actions ?),
Nous ne sommes pas les raisons qui nous poussent a faire des choix, nous sommes nos choix : Un meurtrier n'est pas juger sur pourquoi il a assassiné mais qu'il a assassiné !
et la dernière d'ordre soit psychanalytique (le libre arbitre n'est possible que si l'on est en mesure de dominer son inconscient) soit de ce que l'on appelle les sciences humaines.
Montre moi l'inconscient, qui n'est encore qu'une expression beaucoup trop repandu, et on en reparlera !
De toute manière on sort du sujet ! Des homos sont comme les autres homos sapiens, ils font des choix, on ne doit les juger que sur cela !
"Nos théories sont des représentations symboliques qui jamais ne s'identifient au monde. Entre les deux, aussi raffinée que soit notre connaissance, la distance n'est jamais nulle".
Michel Paty