c'est vrai,on peut aussi par ce biais apprendre aux gens à travailler,et à rester dans le circuit du travail.Ouais, vous me direz, ils pensent résoudre le chômage avec les emplois d'avenir, concept particulièrement innovant où l'on confie des choses à faire à des gens qui ne savent rien faire.
Ben, c'est la logique du truc qui m'éachappe.Fonck1 a écrit : c'est vrai,on peut aussi par ce biais apprendre aux gens à travailler,et à rester dans le circuit du travail.
mais je suis d'accord avec toi,l'emploi payé par l'état,ça me gonfle.
on peut apprendre par le travail,un copain a moi comme cela a trouvé sa vocation d'éducateur.Jarod1 a écrit : Ben, c'est la logique du truc qui m'éachappe.
On fait le constat - juste- que des milliers de personnes ne trouvent pas de job parce qu'ils ne savent rien faire (en termes plus polissés, on dit qu'ils ne sont pas "qualifiés")
On devrait donc se dire "que faire pour qu'ils soient qualifiés ?".
Ben non, on leur file un job.
les facs quand même sont un peu dépassées : quand on voit comment fonctionnent les écoles thématiques,plutôt que ces grands ensembles libertaires dans lesquels ont trouve des étudiants inscrits pour des raisons qu'ils ne savent pas toujours,qui ne savent pas ou ça les conduit non plus,et qui au final,ont pris des filières ou il n'y a pas d'emplois,il y a effectivement beaucoup de choses a revoir.Sov Strochnis a écrit : Cette tribune rejoint ce que je disais concernant le fait que les préocuppations doivent s'axer autour d'une meilleur pédagogie, cela dit concernant les 50% d'échecs des premières années que cette longue tribune met en exergue pour défendre ses arguments il faut signaler que ce n'est pas 50% des étudiants qui échouent d'être mauvais, mais 40% qui changent de filière, abandonnent (parc'que ça n'a rien à voir avec ce qu'ils croyaient). Et concernant les 10% restants qui sont trop mauvais pour reussir leur première année, l'année dernière des mesures (tutorat, etc) dans certaines filières leur ont permis de réussir. C'est donc 10% de réussite en plus pour les premières années (dans certaines facs je précise).
facultés de lettres ou l'on trouve beaucoup d' illettrés en plusJarod1 a écrit : "ces grands ensembles libertaires dans lesquels ont trouve des étudiants inscrits pour des raisons qu'ils ne savent pas toujours,qui ne savent pas ou ça les conduit non plus"
Voilà qui résume parfaitement ce qu'était à mes yeux la Faculté de Lettres d'AIX-EN-PROVENCE, voisine de celle où j'étudias jadis.
Arrête de me faire rire.Fonck1 a écrit : facultés de lettres ou l'on trouve beaucoup d' illettrés en plus
oui,même des mecs arrékrichna du genre,assis pieds dans les couilles,chauves,avec un quignon de pain sec a coté deux,méditant pour savoir s'ils ont le droit de le manger ou non.Jarod1 a écrit : Arrête de me faire rire.
Oui, arborant en général un t-shirt à l'effigie du Che n'ayant pas approché le tambour d'une machine à laver depuis des lustres.
Mais on y trouve aussi des jongleurs fumant des cigarettes mal roulées.
pour avoir fréquenté la faculté de lettres et celle de droit, je peux dire que c'est en droit que j'ai rencontré le plus de fachos et d'identitaires :roll:Fonck1 a écrit : facultés de lettres ou l'on trouve beaucoup d' illettrés en plus
MORT DE RIRE.Fonck1 a écrit : oui,même des mecs arrékrichna du genre,assis pieds dans les couilles,chauves,avec un quignon de pain sec a coté deux,méditant pour savoir s'ils ont le droit de le manger ou non.
c'est compliqué la fac de lettre.il faut l'avouer.
Certes, sans doute plus qu'en Lettres où l'ambiance est plus ethnique, musique du monde et "j't'e joue l'intro d'Imagine au coin du feu".tisiphoné a écrit : pour avoir fréquenté la faculté de lettres et celle de droit, je peux dire que c'est en droit que j'ai rencontré le plus de fachos et d'identitaires :roll:
