L'éducation et l'information concernant le vin?Rananen a écrit : outre le coté totalement inhumain ; ça serait totalement impossible a mettre en place , car le cancer a pour la plupart des cas des cause multifactoriel .
du plus ou nous arrêtons nous ensuite ? si le mec il a pas mangez ses 5 fruit et légumes par jour , on le rembourse pas non plus ? si il a pas mis d écharpe avant de sortir on lui rembourse pas son rhume ?
non ça ne tient pas debout comme idées .
pour la taxe sur le vin , je suis dubitatif . en effet l alcoolique na pas besoin de vin cher pour se bourrer la gueule , l amateur modérez lui préfère les vin de qualité donc plus cher . donc ça risque d être l amateur modérez qui paye le plus que l alcoolique .
aussi je pense que pour que cette taxe soit juste il faudrait pas qu elle soit mis en % comme habituellement mais a un tarif fixe . genre 30 centime quelque soit le prix du vin .
je pense quand même que c est surtout par l éducation et l information qu on pourra améliorez les chose dans ce domaine .
Métaux lourds et pesticides dans le vin : l'omerta française
http://blogs.rue89.com/mise-en-bouteill ... -francaise
Dans un rapport récent, l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) indique que 3% des adultes dépassent la dose journalière admissible de sulfites, et ce « principalement en raison de la consommation de vin », lequel représente environ 70% de nos apports en sulfites à lui seul. La dose journalière admissible établie par l’OMS étant de 0,7 mg par kg de poids par jour : soit environ 50 mg par jour pour un individu de 70 kg.
En clair, si l’on s’en tient aux derniers recensements réalisés par l’Insee, plus d’un million de Français sont en surdose de sulfites à cause du seul vin.
Bien sûr, parmi les quelque 40 millions de Français qui boivent du vin au cours de l’année, il s’agit là des consommateurs les plus réguliers.
Ce sont, mathématiquement, les plus exposés à cet additif chimique participant à la conservation du vin, qu’on appelle couramment sulfite, soufre, ou plus précisément dioxyde de soufre (SO2).
Mais ce ne sont pas pour autant des alcooliques s’envoyant leur litron et demi quotidien, cette « dose journalière admissible » de sulfites pouvant être atteinte bien avant ce stade. Dans certains cas de vins particulièrement sulfités, 20 ou 25 cl de vin peuvent ainsi suffire pour la dépasser. Cette quantité restant dans les clous d’une consommation raisonnable, fixés par l’OMS, à savoir deux ou trois verres par jour (fonction du sexe, du poids, etc.).




