D'abord , tu parles d'une histoire personnellecoincetabulle a écrit : tu choisis mal le sujet pour parler de lutte des classes et de syndicat bornés.
d'une, je ne suis pas syndiqué.
de deux, c'est bien la direction qui nous a superbement ignoré pendant plus d'un mois malgré nos 4 demandes d’entretien
de trois, c'est moi, au bout de ce temps qui ai fini par tomber sur le dos du directeur d'agence, qui m'a envoyé chier en déclarant que c'était comme ça et pas autrement et qu'il n'y avait pas lieu de discuter
de quatre, à aucun moment nous n'avons envisagé de mouvements de gréve
de cinq, il a fallut qu'on les menace de se barrer pour les faire réagir et commencer le dialogue.
alors le fantasme du patron vertueux face aux méchants travailleurs ça me fait bien marrer et surtout ça te fait perdre toute crédibilité. moi je te parle de la vrai vie, pas celle relaté dans le figaro.
un jour il faudra retirer tes œillères. l’extrémisme syndical démarre bien souvent avec les fins de non recevoir qu'on nous balance à la gueule à longueur de temps.
Arrête d'utiliser des "poncifs éculés " =
1)Patrons et ouvriers gentils ou méchants
2) je ne lis pas le Figaro = mais il semble que si on est de droite , on prend pour argent comptant ce qui se dit dans le Figaro ; crois-tu que tous les gens de gauche croient ce qui se dit dans l'Huma.
3)je n'ai pas d'œillère et ai en sainte horreur tous les extrémistes .
4)j'ai travaillé en banque où l'on fait rarement grève ; donc guère de fin de non recevoir





