Alogos a écrit : 53 % des suffrages exprimés = ça fait pas lourd. En tout cas ce n'est pas la moitié de la population
Et puis les expat' votent à droite par habitude, ou bien ils donnent procuration, ça revient au même.
Attendons la fin de l'affaire Karachi. Les rétro-commissions risquent de lui péter au nez, qu'il a fort grand d'ailleurs.
Pinocchio, pinocchio ...
effectivement, 53 % ça fait pas lourd, particulièrement lorsqu'on déduit les abstentions et les non votants. c'est très franco français de toujours considérer une victoire comme écrasante en faisant fie de ce genre de détails.
perso j'ai la haine contre les français, particulièrement contre les générations en retraites, qui votent en masse pour ces connards alors qu'ils n'ont plus qu'un pied dans la vie active, ces pauvres cons, qui ont besoin de la police municipale pour aller retirer de l'argent (cf chalon sur saone), et tous les abrutis qui se considèrent en danger parce que sur le JT de TF1, on dit que l'insécurité augmente. à croire qu'on vit au yemen ....
tu parles de karachi, moi je prédis un grand vide, il ne se passera rien, tout sera étouffé comme d'habitude, la France n'est plus un état de droit, et encore moins une démocratie, et j'attends avec impatience le moment ou on descendra dans la rue pour caillasser les flics assez cons pour se considérer dans leur bon droit au nom de leur uniforme et le service de la France avec un grand F.
je ne m'intéresse plus à la politique, et depuis peu, j'ai pris la décision de ne plus en parler IRL, parce que à chaque fois, je m'énerve comme c"est pas permis. je suis en train de développer une haine totale envers les élus et la représentation de l'autorité de l'état. je sais que c'est stupide, mais c'est plus fort que moi.
voila, c'est un billet d'humeur, pour une journée pourrie qui a très mal commencée et qui c'est terminé sur le même ton.
le chômage n'augmente pas, il y a un manque d'emploi.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.