Bin ouais, les houthis sont à la botte des mollahs, et on peut aussi ajouter des milices pro-Iran basées en Irak et en Syrie.papibilou a écrit : ↑11 janvier 2024 10:45L'Iran est effectivement le facteur clé du conflit. Vous pouvez rajouter les Houtils qui, comme le Hamas et le Hezbollah sont armés par l'Iran. Mais si l'Iran veut mettre le souk au moyen Orient en espérant en tirer profit, je pense que la coalition alliée en mer Rouge finira tôt ou tard par aller bombarder les Houtis au Yémen et si Israël arrête son action à Gaza dans les prochains jours le Hezbollah ne voudra pas se retrouver tout seul face à l'armée israélienne. Quant à l'Iran ils n'ont aucun intérêt à recevoir des bombes sur leur sol d'autant que l'on vient de voir qu'ils doivent aussi s'occuper de Daesh qui vient de commettre un attentat.Relax a écrit : ↑11 janvier 2024 10:03
Tu a raison, la guerre de Gaza a changé de nature.
Les troupes israéliennes ont fait le plus gros du boulot, les réservistes sont démobilisés et rentrent dans leurs foyers
Israël procède plutôt par frappes ciblées sur les dirigeants et rassemble du renseignement pour préparer l'assaut final et libérer les 130 otages détenus à Gaza.
La défaite du hamas est consommée, mais le front semble se déplacer au nord contre le hezbollah sous la botte de l'Iran.
L'avenir du moyen-Orient est suspendu à la décision du hezbollah d'intensifier les affrontements ou pas.
L'Iran actionne un par un ses caniches alors que ce serait plus efficace militairement de coordonner leurs forces en même temps.
Mais l'Iran donne plutôt l'impression de vouloir temporiser, probablement pour finaliser la réalisation de son arme nucléaire.
Mais le régime des mollahs ne tient que par la terreur, il ne peut pas se permettre une guerre chez lui.
De plus l'Iran est le principal soutien militaire de Poutine dans sa guerre contre l'Ukraine, si le régime des mollahs tombe, le rapport de force deviendra favorable à Zelinsky !
La décision du hezbollah sera déterminante sur les conflits entre Israël et les islamistes d'une part, et d'autre part entre Poutine et le monde occidental démocratique.